gramophone a écrit:Hommage aux médiats
Oui monsieurs, il y a des emissions qui son bien pour tant, bien sur, nous sommes là, face à nombre de facteurs qui permettent de nuancer le fond.
Dans le fond nous avons au fait la société, qui existe au sein d'une zone géographique, difficile alors de donner des frontières à une culture.
Les journalistes dans tout ça? Ne sont pas que des travailleurs, au même titre qu'un médecin, un ingénieur ou tous autres métiers?
Par la suite nous avons d'autres facteurs comment l'économie. Je ne cherche pas à être sarcastique, par tout, nous avons des exceptions et peu des professionnels font un travail sur un cadre étique et morale; parmi eu, bien entendu monsieur Yves Calvi.
Personnellement, mon opinion ne compte pas! Parlons on, les films, les retransmissions d'ordre sportif, les spectacles, d'intronisation de nouveaux artistes de conception "in vitro" voir les nouvelles étoiles génétiquement modifiées, sont aussi des facteurs en termes d'audience. Une certaine qualité de télévision pour en rester dans ce médiat là, est programmée en fonction de taux d'audience. Les documentaires genre "Envoyez spécial", "à vous de juger", "arrêt sur image", oui ce genre là même déprogramme! Ce sont des émissions, où le but n'est pas à la recherche de records d'audience mais sur un fond d'éthique et moral, du vrai travail d'un journaliste. Genre de métier de nous jours rare voir en voie d'extinction.
Mais pour quoi?
Parce que les médiats sont des entreprises avec coûts de production et l'audience reste l'indicateur majeur non pas de qualité, mais la mesure fondamental pour conquérir des clients qui sont ceux qu'à l'achat d'espace publicitaire font vivre les médiats et cela sans la moindre intention d'épiloguer.
Pas de tout?
C'est exact, ce n'est pas les médiats qui font la société, mais la société qui fait les médiat tandis que la société ou la conscience sociale est à son tour le fruit d'une alchimie où la politique défini à long terme à travers des programmes, la conscience sociale. Nous pensons en fin ce que les politiques veulent bien nous faire croire.
Difficile alors de s'attaquer aux journalistes, et moins à la qualité du contenu des médiat si nous sommes suffisamment à l'hauteur des circonstances.
calvi plutôt mauvais aujourd'hui!