bye a écrit:Merci, cher Grammophone, pour cette brillante analyse.
Et la division internationale du travail est toujours opérante: les métiers à forte dominante manuelle quittent la plupart des pays de l'Occident ( textile, chaussure,..) et l'on peut le déplorer, certes!
Mais, suivant un accord implicite, les métiers à forte technologie, ou faisant l'objet de recherche permanente, sont accaparés par ces pays, jusqu'à une production automatisée: informatique,..
L'aéronautique, la machine-outil, une partie de l'automobile ( et surtout les centres de recherche, pour l'instant ), les produits chimiques, les armes hélas, les matériels pour traction et déplacement à très grande vitesse ( TGV,..) sont encore traités dans ces pays aussi, en aspirant s'il le faut au passage, la matière grise des pays émergents.
Les circuits de débouchés y sont, pour le moment, plus attractifs ( quoique l'aéronautique, par exemple, a subi pendant un temps de fortes tensions pour être délocalisée ), et valident encore le fossé entre pays majoritairement hébergeurs de métiers à main ou de production de service à garnde échelle ( centres d'appels délocalisés ), et pays à forte plus value ajoutée.
Une chance
Les pays qui ont encore une longueur d'avance en matière de technologie gardent pour un temps, certes, et la technologie et l'emploi. C'est un fait, encore une chance, tu le soulignes très bien.
Nous pouvons constater par les chiffres la désertification des métier comment l'agriculture ou la production manufacturière se trouvent décimes, en 50 ans, comment le preuve le "Rapport économique, sociale et financier 2011, (projet de finances, tome II annexe statistique) dans sa page 10
qui nous présente la valeur ajouté par branche, où l'agriculture passe d'une valeur ajouté en % de 13,9% en 1960 à 1,7% en 2009, l'industrie manufacturière dans la même période passe de 22,7% de la valeur ajoute à 9,1% alors que les services principalement marchands passent pour la même période de 37,5 à 56,7%
Mais depuis ma toute petite place de béotien, d'ignare en économie, économie politique, et finances, je constata que la législation sur les mouvements financiers et bancaires est de loin très faible, si nous comparons cela avec la fiscalité sur le travail de transformation de la matière.
Voilà, mon très cher ami BYE que mes notes portent sur l'erreur majeur des politiques "sans distinctions des clivages" de motiver les nantis (en fin de se laisser mener par leur lobby) en transformant la société au passage:
Un ouvrier voit circuler dans ses 8 heures d'une journée même pas le centième des sommes qui passent par les mains d'une caisse de supermarché. pire encore insignifiant vis à vis des millions que passent virtuellement dans un écran d'ordinateur pour un treder dans le même temps
Cela pour conforter mon opinion de fond
Une île, forcé par ses caractéristiques (insulaire) à trouver dans le tertiaire, dans les assurances, les finances, la banque, une source de revenu, arrive à imposer à la terre entière sont fonctionnement.
Je critique ici, le travail idéologique, de Keynes, de Ricardo entre autres, d'ailleurs copié collé par des pays dans le monde de manière vulgaire; toujours en détriment de la valeur du travail, en détriment du revenu de ceux et celles qui créée la valeur ajouté, ceux et celles qui produisent la vraie plus-valu
Car quelque soit l'idéologie, quelque soit la certitude vendu par n'importe quelle école d'économie!
Personne jusqu'aujourd'hui pourrais faire que de l'argent dans un coffre, ou même manipulé; dans le respet de la morale et de éthique, se multiplie.
tandis que des machines sans doute mais conduites par des mains humaines, le travail des êtres humains transformant la matière, dans des activités, diverses créent par l'action, de la valeur ajouté, du plus-valu, du métal dans diverses formes arrive dans une usine, cela génère du travail pour le fournisseur, pour le transporteur, (de la valeur ajouté) puis par l'action de l'être humain se transforme la matière en produit fini, qui encore une fois se transforme en valeur ajouté, avec une action sociale clé, qui semble peu considéré, car créer de l'emploi reste une action clé de la transformation de la matière.
Je ne sais pas si le lecteur suive mon raisonnement, car je crois que l'Angleterre, est une île, est doit s'adapter à sa condition mais de là à imposer au monde sa forme de s'enrichir sans le vrai travail de transformation, je ressent une gène, un malaise, je ne suis pas d'accords, mais alors de tout de tout!
Je crois logique devoir payer des assurances, mais je crois aussi que cela reste un service publique comme l'eau, l'électricité, la santé! et ne doit en aucun cas, se convertir en source d'enrichissement privée. Cela n'est pas de moi c'est Evo Morales président (ex-leader syndicale) du Bolivie, qui l'exprime dans un discours!
Touts mes plus sincères salutations et remerciements pour m'avoir donné l'opportunité de rendre publique mon idée ici
Sorry because I don't speak very well in French, but i love to learn French)
thank you for you're comments