01avr 2009
Les stock options et la financiarisation de l’économie : un cadeau de la gauche
plurielle au patronat
http://rmjennar.free.fr/?p=751
Les stock options ont été conçus selon les principes de l’école de Chicago, célèbre pour ses choix monétaristes, son hostilité aux services publics et aux entreprises
publiques, son soutien aux politiques économiques de Pinochet, son appui aux
politiques de la Banque Mondiale et du FMI de démantèlement des politiques
publiques dans les pays en développement.
L’exonération des charges sociales sur les stock options a été voulue par Dominique Strauss-Kahn, ministre de l’Economie et des Finances et décidée par le gouvernement de la gauche plurielle (PS-PC-Verts). Elle est à l’origine d’une fiscalité toujours plus avantageuse pour ceux qui ont les moyens financiers de conserver leur stock options. Cette politique a été poursuivie par Laurent Fabius dans le même
gouvernement Jospin.
Un rapport présenté à l’Assemblée nationale en décembre 2003 indiquait : « c’est en France que la part des stock options dans la rémunération totale est la plus élevée en Europe et même par rapport aux États-Unis. »
En France, la valeur des stock options représente entre 50 et 100 % du salaire de base, ce qui dépasse les pratiques du monde anglo-saxon.
Les stock options et la financiarisation de l’économie : un cadeau de la gauche
plurielle au patronat
http://rmjennar.free.fr/?p=751
Les stock options ont été conçus selon les principes de l’école de Chicago, célèbre pour ses choix monétaristes, son hostilité aux services publics et aux entreprises
publiques, son soutien aux politiques économiques de Pinochet, son appui aux
politiques de la Banque Mondiale et du FMI de démantèlement des politiques
publiques dans les pays en développement.
L’exonération des charges sociales sur les stock options a été voulue par Dominique Strauss-Kahn, ministre de l’Economie et des Finances et décidée par le gouvernement de la gauche plurielle (PS-PC-Verts). Elle est à l’origine d’une fiscalité toujours plus avantageuse pour ceux qui ont les moyens financiers de conserver leur stock options. Cette politique a été poursuivie par Laurent Fabius dans le même
gouvernement Jospin.
Un rapport présenté à l’Assemblée nationale en décembre 2003 indiquait : « c’est en France que la part des stock options dans la rémunération totale est la plus élevée en Europe et même par rapport aux États-Unis. »
En France, la valeur des stock options représente entre 50 et 100 % du salaire de base, ce qui dépasse les pratiques du monde anglo-saxon.