Bye, je reviens sur ce que tu dis, je voudrais compléter, je fais comme toi! Je rebondis, et des bribes s'ajoutent!!!
Pour le message, ci-dessus, tout est bon!!!
(Je reviens, sur les messages plus haut)
Par rapport au terme de Bettina sur l'humanité, je crois et elle nous précisera peut-être, elle fait référence à la part d'humanité et d'inhumanité d'homo sapiens, et de la conscience, la pensée consciente de sa propre existence, propre à l'humain.
D'ailleurs, ce que tu dis Bye, et ce que dit Bettina, pour moi ce n'est pas antinomique, mais différent. Je souscris au deux, je m'explique.
Pour moi c'est un choix personnel, et individuel qui appartient à chacun. Il s'agit là d'un choix d'adultes, de faire un enfant ou pas.
Non pas un choix d'enfant, qui choisirait ou pas de faire partie de ce monde, ça pour moi n'est pas le sujet que tu soulèves Bye, si j'ai bien compris ; je le distingue de l'idée que je développais au-dessus (la Réponse pour BettinaMia) parce qu'un enfant qui se pose des questions existentielles, ne se pose pas ou vraiment très rarement la question de reproduction, il en est encore loin. Quand il se pose la question de qui il est et pourquoi il est... c'est déjà pas mal remue méninge...
Donc, pour l'adulte qu'il choisisse de procréer ou pas, consciemment, sont tous les deux des choix valables. Pour moi, l'un n'est pas plus égoïste que l'autre.
Ce que je rejette, c'est le choix d'un inconscient collectif, ou le jugement de la société, attribué à celui qui ferait un enfant de "manière inconsciente" faute de moyen, ou parce que dans un monde que l'inconscient collectif penserait comme plus valable.C'est là où pour moi est l'eugénisme.
En revanche que toi, Bye, et moi, nos conjoints ayant choisi de faire des enfants, comme Bettina et son chéri, et tes amis qui ont choisi de ne pas en faire ; chacun d'entre nous sommes en toute conscience, légitime, d'avoir fait ce choix. Il est personnel, l'un n'est pas plus égoïste que l'autre.
C'est la même raison qui me fait dire que les femmes, les hommes aussi, ont le droit de choisir de ne pas avoir d'enfant, et que c'est tout aussi honorable que d'en avoir. (mais pèse ce poids, plus sur les femmes, "une pas vraiment femme, parce que pas de désir de maternité"). Il n'y a pas de déterminisme pour moi, seul le libre arbitre en dehors de l'instinct nous permet ces choix, par notre part d'humanité. En toute conscience, pour chacun d'entre nous.
Pour le message, ci-dessus, tout est bon!!!
(Je reviens, sur les messages plus haut)
Par rapport au terme de Bettina sur l'humanité, je crois et elle nous précisera peut-être, elle fait référence à la part d'humanité et d'inhumanité d'homo sapiens, et de la conscience, la pensée consciente de sa propre existence, propre à l'humain.
D'ailleurs, ce que tu dis Bye, et ce que dit Bettina, pour moi ce n'est pas antinomique, mais différent. Je souscris au deux, je m'explique.
Pour moi c'est un choix personnel, et individuel qui appartient à chacun. Il s'agit là d'un choix d'adultes, de faire un enfant ou pas.
Non pas un choix d'enfant, qui choisirait ou pas de faire partie de ce monde, ça pour moi n'est pas le sujet que tu soulèves Bye, si j'ai bien compris ; je le distingue de l'idée que je développais au-dessus (la Réponse pour BettinaMia) parce qu'un enfant qui se pose des questions existentielles, ne se pose pas ou vraiment très rarement la question de reproduction, il en est encore loin. Quand il se pose la question de qui il est et pourquoi il est... c'est déjà pas mal remue méninge...
Donc, pour l'adulte qu'il choisisse de procréer ou pas, consciemment, sont tous les deux des choix valables. Pour moi, l'un n'est pas plus égoïste que l'autre.
Ce que je rejette, c'est le choix d'un inconscient collectif, ou le jugement de la société, attribué à celui qui ferait un enfant de "manière inconsciente" faute de moyen, ou parce que dans un monde que l'inconscient collectif penserait comme plus valable.C'est là où pour moi est l'eugénisme.
En revanche que toi, Bye, et moi, nos conjoints ayant choisi de faire des enfants, comme Bettina et son chéri, et tes amis qui ont choisi de ne pas en faire ; chacun d'entre nous sommes en toute conscience, légitime, d'avoir fait ce choix. Il est personnel, l'un n'est pas plus égoïste que l'autre.
C'est la même raison qui me fait dire que les femmes, les hommes aussi, ont le droit de choisir de ne pas avoir d'enfant, et que c'est tout aussi honorable que d'en avoir. (mais pèse ce poids, plus sur les femmes, "une pas vraiment femme, parce que pas de désir de maternité"). Il n'y a pas de déterminisme pour moi, seul le libre arbitre en dehors de l'instinct nous permet ces choix, par notre part d'humanité. En toute conscience, pour chacun d'entre nous.