Je viens d'ouvrir un courriel, que je trouve non pas comme un insulte, (adressé sans doute aussi à au moins Bettina) Avec une citations d'un gouvernant Australien.
La société, (à la taille du monde) est formaté, par une petite quantité de nantis, et je doute que si des gens comme les gouvernants s'exprimant de la sorte, les autres couches de la société, puisent être taxés de xénophobes, de racistes.
Il me semble que ma grand-mère disait que le mal il faut l'attaquer à la racine.Je trouve injuste, stérile, nie tout agression à des personnes de la masse, sans s'attaquer aux promoteurs. La pédagogie, même aux moments difficiles, me semble plus payant que l'agression directe. Cela reste une opinion encore personnelle, que n'engage que moi! petit ouvrier immigré, dans un poste qui peu bien être celui d'un éboueur.
Omerta sogrenue des intellectuels
Je me trouve très étonné non pas de cette allergie ou aversion épidermique d'un 10% des personnes vis à vis de certains sujets. Mais du silence d'une élite intellectuelle; qui de cette manière approuve une nauséabonde évolution en escalade médiatique de stigmatisation.Il faut voir plus loin que le but du nez! Qui en profite de l'affrontement programmé du petit peuple, qui alors s'entredéchire pour un but de tissu au visage de a peine 0,00000307% de 65 millions d'habitants d'un pays. (2000 femmes sur 65 millions d'habitants) Alors que les autorités religieuses toutes religions confondues, devraient à mon sens impartir une "vraie" éducation sur le comportement, que dis-je, l'éducation tout cour devrait avoir "l'éducation civique" au sein de laquelle l'éducation sexuelle, (mariages arrangés dans les pays du Maghreb des filles à l'âge de la puberté, l'excision clitoridienne d'une autre époque, etc.)
Là je suis en colère non pas contre le fruit des années de dés-éducation, moins encore contre le fruit de l'ablation de la conscience! mais contre les bâtards ou abrutis que l'on mise en place.
La société, (à la taille du monde) est formaté, par une petite quantité de nantis, et je doute que si des gens comme les gouvernants s'exprimant de la sorte, les autres couches de la société, puisent être taxés de xénophobes, de racistes.
Il me semble que ma grand-mère disait que le mal il faut l'attaquer à la racine.Je trouve injuste, stérile, nie tout agression à des personnes de la masse, sans s'attaquer aux promoteurs. La pédagogie, même aux moments difficiles, me semble plus payant que l'agression directe. Cela reste une opinion encore personnelle, que n'engage que moi! petit ouvrier immigré, dans un poste qui peu bien être celui d'un éboueur.
Omerta sogrenue des intellectuels
Je me trouve très étonné non pas de cette allergie ou aversion épidermique d'un 10% des personnes vis à vis de certains sujets. Mais du silence d'une élite intellectuelle; qui de cette manière approuve une nauséabonde évolution en escalade médiatique de stigmatisation.Il faut voir plus loin que le but du nez! Qui en profite de l'affrontement programmé du petit peuple, qui alors s'entredéchire pour un but de tissu au visage de a peine 0,00000307% de 65 millions d'habitants d'un pays. (2000 femmes sur 65 millions d'habitants) Alors que les autorités religieuses toutes religions confondues, devraient à mon sens impartir une "vraie" éducation sur le comportement, que dis-je, l'éducation tout cour devrait avoir "l'éducation civique" au sein de laquelle l'éducation sexuelle, (mariages arrangés dans les pays du Maghreb des filles à l'âge de la puberté, l'excision clitoridienne d'une autre époque, etc.)
Là je suis en colère non pas contre le fruit des années de dés-éducation, moins encore contre le fruit de l'ablation de la conscience! mais contre les bâtards ou abrutis que l'on mise en place.