je me suis séparée au mois de juillet de mon 'ami', 'compagnon', je ne sais comment dire aujourd'hui, par obligation, je n'avais plus le choix, après plus de quatre années tumultueuses (il y avait déjà eu une rupture en 2012..) : exclusivité, réflexions, exigences,.. je ne me sentais jamais libre, nous ne vivions pas ensemble, j'ai deux enfants et lui pas, la rupture a été un vrai cauchemars, j'en ai pris plein la figure, j'ai failli porter plainte pour harcèlement et aucune discussions, possible, aucune écoute sur ce qui m'était insupportable, aucune remise en question de son coté.
Aujourd'hui encore, je reçois du courrier(j'ai bloqué tous les autres moyens de communication) je ne réponds plus depuis des mois, et pourtant j'ai l'impression que c'était hier, que je ne pourrais jamais me détacher complètement de cette relation, c'est moi la 'mauvaise', je continue à être touchée par ses propos,j'ai mis du temps à accepter que je ne serais jamais entendue, et du temps à tenir bon.
J'habite une petite ville et cela ne simplifie pas les choses, j'évite certains endroits pour ne pas le croiser et je sors beaucoup mois..IL est né dans cette ville, connait tout le monde, et moi pas, je suis née et j'ai vécu à paris près de 40 ans..
J'ai pensé très naïvement au début de notre rencontre que notre maturité respective et notre passé ferait de notre relation quelque chose de simple, de serein, débarrassé des 'enjeux' habituels, je me suis bien plantée, je n'ai cessé de me justifier à la moindre occasion,
mon comportement ne convenait jamais et ses réactions disproportionnées face aux événements.. les meilleures moments sont ceux que nous avons passé loin de cette ville et que tous les deux, forcément..pas de 'parasitage' dans cette bulle qu'il voulait pour nous deux.
A chaque fois que j'ai été loin ou pas disponible pour x raison, c'était l'enfer et cela se terminait toujours par une dispute, enfin, disons plutôt que c'était moi qui sortais de mes 'gongs', lui ne s'énervait jamais (!)..très habile..je n'ai subit sa colère qu'au moment de la séparation, avec les propos qui vont avec..
Je termine ma complainte, amère avec les blessures vivantes d'un amour gâché et maltraité, je ne perçois pas le bout du tunnel...Merci à ceux qui me liront.
Aujourd'hui encore, je reçois du courrier(j'ai bloqué tous les autres moyens de communication) je ne réponds plus depuis des mois, et pourtant j'ai l'impression que c'était hier, que je ne pourrais jamais me détacher complètement de cette relation, c'est moi la 'mauvaise', je continue à être touchée par ses propos,j'ai mis du temps à accepter que je ne serais jamais entendue, et du temps à tenir bon.
J'habite une petite ville et cela ne simplifie pas les choses, j'évite certains endroits pour ne pas le croiser et je sors beaucoup mois..IL est né dans cette ville, connait tout le monde, et moi pas, je suis née et j'ai vécu à paris près de 40 ans..
J'ai pensé très naïvement au début de notre rencontre que notre maturité respective et notre passé ferait de notre relation quelque chose de simple, de serein, débarrassé des 'enjeux' habituels, je me suis bien plantée, je n'ai cessé de me justifier à la moindre occasion,
mon comportement ne convenait jamais et ses réactions disproportionnées face aux événements.. les meilleures moments sont ceux que nous avons passé loin de cette ville et que tous les deux, forcément..pas de 'parasitage' dans cette bulle qu'il voulait pour nous deux.
A chaque fois que j'ai été loin ou pas disponible pour x raison, c'était l'enfer et cela se terminait toujours par une dispute, enfin, disons plutôt que c'était moi qui sortais de mes 'gongs', lui ne s'énervait jamais (!)..très habile..je n'ai subit sa colère qu'au moment de la séparation, avec les propos qui vont avec..
Je termine ma complainte, amère avec les blessures vivantes d'un amour gâché et maltraité, je ne perçois pas le bout du tunnel...Merci à ceux qui me liront.