par Dois-je comrendre que le fronde, élément nourricier de l'affranchissement, doive se rendre aux pieds des doctes monuments de la magnifiscence, sans une once de compréhension pour la chair et la terre dont je suis l'humble olivier,
Ta clémence qui faisait, comme ton juste courroux, la force des traits uniques de ton caractère, ne sont plus que ravages de ton ire, et voudraient transpercer ce qu'il me reste de sang pour en humecter la Terre,
Je suis prêt à reconnaître mon impudence, ô noble et incomparable Isis, mais pense à l'ombre de ta fierté que tu daignes faire naître dans les innombrables arpents de ton terrestre domaine, et jusqu'en l'iris de nos pupilles aspirées par ton frère destin,
Mais puisqu'en toi j'ai ouvert une brêche, souffre qu'à ta puissance exacerbée, je n'ai commis qu'une défense somme toute, humaine, et je me détournerai de cet abandon de mon orgueil et, comme je ne serai plus que l'infâme dernier de ton culte,
Accepte que ce bail soit échelonné en plusieurs siècles, que je prenne le temps de grandir, et de m'époumonner à fleurir ta splendeur et de concourir à détruire les petits maléfices que des lectures corruptrices et de perfides alluvions ont ensemencées en mon coeur sous de traîtres zéphirs.
Ta clémence qui faisait, comme ton juste courroux, la force des traits uniques de ton caractère, ne sont plus que ravages de ton ire, et voudraient transpercer ce qu'il me reste de sang pour en humecter la Terre,
Je suis prêt à reconnaître mon impudence, ô noble et incomparable Isis, mais pense à l'ombre de ta fierté que tu daignes faire naître dans les innombrables arpents de ton terrestre domaine, et jusqu'en l'iris de nos pupilles aspirées par ton frère destin,
Mais puisqu'en toi j'ai ouvert une brêche, souffre qu'à ta puissance exacerbée, je n'ai commis qu'une défense somme toute, humaine, et je me détournerai de cet abandon de mon orgueil et, comme je ne serai plus que l'infâme dernier de ton culte,
Accepte que ce bail soit échelonné en plusieurs siècles, que je prenne le temps de grandir, et de m'époumonner à fleurir ta splendeur et de concourir à détruire les petits maléfices que des lectures corruptrices et de perfides alluvions ont ensemencées en mon coeur sous de traîtres zéphirs.
