A qui la faute ?
Il ne faut pas s'étonner que le quidam, soit allergique à la politique.
D'abord des faits, en moins d'un mois, le gouvernement et les parlementaires ont trouvé moyen pour garantir 360 milliards d'euros pour la sauvegarde du système financière. En fait en une semaine.
Les entreprises usurières de la finance, ayant joué à gagner un maximum de bénéfices, adjugeant de juteux salaire à ces cadres dirigeants, avec des onéreux bénéfices aux actionnaires; ont pris de risques inconsidérés. Comme des enfants, en jouant, finalement leur jouet a cassé; puis le vilain canard (dans une "excellente" société de liberté d'entreprendre et de gagner ou perdre) du gouvernement; tout d'un coup devenu "le père Noël" même avant l'heure. Il faut dire que dans l'hémicycle pour ces décision il y avait le plein de nous très "chers" élus.
Le scandale !
Difficulté et absentéisme pour voter une loi équivalente à 0.42% de l'aide aux financier, c'est-à-dire 1 milliard et demi d'euros.
Lorsque l'on voulez trouver des ressources pour le rebâtissait RMI en RSA, l'hémicycle déjà été a peine si vous voulez avec les membres de la commission. Mais c'est ne pas tout, l'hémicycle n'a pas voulu que le 1.1% ne touche pas au-delà du bouclier fiscal. Les plus riches ne vont dont pas contribuer; ce n'est pas normal.
L'extrême de la perfidie
Puis, un regard rapide, sur les "maladies professionnelles", nous montre une évolution moyenne de 6.13% par an. Passant de 34642 "cas reconnus" en 2003 à 43832 cas en 2007; le gouvernement permet que des années passent avant que des modestes personnes aient le droit à des indemnisations, le cas de l'amiante est un exemple; les gens qui en théorie doivent nous représenter "en démocratie, c'est ainsi" prouvent par leur indifférence, leurs hypocrisie, quel opprobre ! Surtout que depuis que le gouvernement est en place non moins de sept (7) lois concernant les impôts ont été votés par l'hémicycle. Et toutes semblent favoriser les plus riches, deux d'entre elles surtout. Les 360 milliards de sauvetage des finances et la baisse du bouclier fiscale de 60 à 50%. Alors qu'il se ventile dans les couloirs du Sénat qu'une enveloppe conséquente doit être voté pour courir au secours de l'industrie automobile.Par gramophonejoigny vendredi 28 novembre 2008
Il ne faut pas s'étonner que le quidam, soit allergique à la politique.
D'abord des faits, en moins d'un mois, le gouvernement et les parlementaires ont trouvé moyen pour garantir 360 milliards d'euros pour la sauvegarde du système financière. En fait en une semaine.
Les entreprises usurières de la finance, ayant joué à gagner un maximum de bénéfices, adjugeant de juteux salaire à ces cadres dirigeants, avec des onéreux bénéfices aux actionnaires; ont pris de risques inconsidérés. Comme des enfants, en jouant, finalement leur jouet a cassé; puis le vilain canard (dans une "excellente" société de liberté d'entreprendre et de gagner ou perdre) du gouvernement; tout d'un coup devenu "le père Noël" même avant l'heure. Il faut dire que dans l'hémicycle pour ces décision il y avait le plein de nous très "chers" élus.
Le scandale !
Difficulté et absentéisme pour voter une loi équivalente à 0.42% de l'aide aux financier, c'est-à-dire 1 milliard et demi d'euros.
Lorsque l'on voulez trouver des ressources pour le rebâtissait RMI en RSA, l'hémicycle déjà été a peine si vous voulez avec les membres de la commission. Mais c'est ne pas tout, l'hémicycle n'a pas voulu que le 1.1% ne touche pas au-delà du bouclier fiscal. Les plus riches ne vont dont pas contribuer; ce n'est pas normal.
L'extrême de la perfidie
Puis, un regard rapide, sur les "maladies professionnelles", nous montre une évolution moyenne de 6.13% par an. Passant de 34642 "cas reconnus" en 2003 à 43832 cas en 2007; le gouvernement permet que des années passent avant que des modestes personnes aient le droit à des indemnisations, le cas de l'amiante est un exemple; les gens qui en théorie doivent nous représenter "en démocratie, c'est ainsi" prouvent par leur indifférence, leurs hypocrisie, quel opprobre ! Surtout que depuis que le gouvernement est en place non moins de sept (7) lois concernant les impôts ont été votés par l'hémicycle. Et toutes semblent favoriser les plus riches, deux d'entre elles surtout. Les 360 milliards de sauvetage des finances et la baisse du bouclier fiscale de 60 à 50%. Alors qu'il se ventile dans les couloirs du Sénat qu'une enveloppe conséquente doit être voté pour courir au secours de l'industrie automobile.Par gramophonejoigny vendredi 28 novembre 2008