La démocratie par le bas
Chomsky et Cie
À l’heure où la démocratie vacille de tout vent dans l’esprit
de bon nombre de citoyens, quelques irréductibles résistent. Trop peu ?
Pas si sûr. Certes quantité et qualité ne sont pas forcément synonymes.
Mais quand l’un rejoint l’autre, la victoire se fait jour la plus part
du temps. Ce fut souvent le cas à chaque grandes étapes (1789, 1936,
1962 etc.) par des initiatives venant d’en bas, des décisions venant
d’en haut tel un schéma classique. Mais aujourd’hui rien n’est plus
sur, l’Homme au sens large connaît dans son existence privée comme
professionnelle quelque chose qui dans son histoire est vraiment
nouveaux.
Les nouvelles technologies, qui donne la possibilité de communiquer
comme tous les gouvernants de toute l’histoire de l’humanité ont pu le
rêver pour eux. C’est à se demander si le citoyen lambda est toujours
en bas et la classe politique en haut. Eu-égard l’importance donnée de
façon expresse au sondage la question demeure légitime. Mais cette
manière d’appréhender la vie publique ne reste que de façade pour ceux
qui tiennent les rênes du pouvoir à tel point que les parlementaires
(sauf exceptions) dans une conception démocratique passée, archaïque
pour ne pas employer d’autre qualification se sont crus autorisés à
remettre en cause une décision référendaire (traité de Lisbonne) quand
à la même période ou presque la notion de démocratie directe, notion
fallacieuse faisait ou plutôt refaisait surface en apparence seulement
dans l’esprit de professionnels de la politique (démocratie
participative et autre initiative du même genre).
On peut constater avec certitude aujourd’hui que malgré ces initiatives
hasardeuses, un faussé que l’on peut qualifier de sociologique n’a
cessé de s’approfondir entre la classe politique et le citoyen dit
lambda, population à ce jour plus que alphabétisée, un peuple
traditionnellement soit politisé dans le meilleurs des cas, voir
guerrier dans le pire des cas étant souvent celui qui en paie le plus
lourd tribut.
Cette situation met toute la classe politique en dissonance perpétuelle
depuis plusieurs années, classe politique qui ne cesse de reculer tout
en s’écartant souvent de la raison qui fonde pourtant notre société
depuis plus de 200 ans (1789).
Ce n’est donc pas pour ces courageux citoyens le moment de reculer mais
bien au contraire d’avancer en ces temps de crise apparemment bien
partagés pour une minorité qui se restructure sur le dos des imprudents
ou des plus faibles voir les deux à la fois mais en envoyant la facture
aux plus petit des particuliers ou professionnels pour commencer.
De ces faits on peut tirer comme conséquence qu’il est important que
toutes les initiatives pour motiver la citoyenneté et tendre vers une
amélioration soient bonnes à prendre a priori quitte à faire le tri après réflexion. En outre le film passe dans toute la France
Cliquer là pour en savoir plus.
Chomsky et Cie
À l’heure où la démocratie vacille de tout vent dans l’esprit
de bon nombre de citoyens, quelques irréductibles résistent. Trop peu ?
Pas si sûr. Certes quantité et qualité ne sont pas forcément synonymes.
Mais quand l’un rejoint l’autre, la victoire se fait jour la plus part
du temps. Ce fut souvent le cas à chaque grandes étapes (1789, 1936,
1962 etc.) par des initiatives venant d’en bas, des décisions venant
d’en haut tel un schéma classique. Mais aujourd’hui rien n’est plus
sur, l’Homme au sens large connaît dans son existence privée comme
professionnelle quelque chose qui dans son histoire est vraiment
nouveaux.
Les nouvelles technologies, qui donne la possibilité de communiquer
comme tous les gouvernants de toute l’histoire de l’humanité ont pu le
rêver pour eux. C’est à se demander si le citoyen lambda est toujours
en bas et la classe politique en haut. Eu-égard l’importance donnée de
façon expresse au sondage la question demeure légitime. Mais cette
manière d’appréhender la vie publique ne reste que de façade pour ceux
qui tiennent les rênes du pouvoir à tel point que les parlementaires
(sauf exceptions) dans une conception démocratique passée, archaïque
pour ne pas employer d’autre qualification se sont crus autorisés à
remettre en cause une décision référendaire (traité de Lisbonne) quand
à la même période ou presque la notion de démocratie directe, notion
fallacieuse faisait ou plutôt refaisait surface en apparence seulement
dans l’esprit de professionnels de la politique (démocratie
participative et autre initiative du même genre).
On peut constater avec certitude aujourd’hui que malgré ces initiatives
hasardeuses, un faussé que l’on peut qualifier de sociologique n’a
cessé de s’approfondir entre la classe politique et le citoyen dit
lambda, population à ce jour plus que alphabétisée, un peuple
traditionnellement soit politisé dans le meilleurs des cas, voir
guerrier dans le pire des cas étant souvent celui qui en paie le plus
lourd tribut.
Cette situation met toute la classe politique en dissonance perpétuelle
depuis plusieurs années, classe politique qui ne cesse de reculer tout
en s’écartant souvent de la raison qui fonde pourtant notre société
depuis plus de 200 ans (1789).
Ce n’est donc pas pour ces courageux citoyens le moment de reculer mais
bien au contraire d’avancer en ces temps de crise apparemment bien
partagés pour une minorité qui se restructure sur le dos des imprudents
ou des plus faibles voir les deux à la fois mais en envoyant la facture
aux plus petit des particuliers ou professionnels pour commencer.
De ces faits on peut tirer comme conséquence qu’il est important que
toutes les initiatives pour motiver la citoyenneté et tendre vers une
amélioration soient bonnes à prendre a priori quitte à faire le tri après réflexion. En outre le film passe dans toute la France
Cliquer là pour en savoir plus.