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    changement de comportement des consommateurs

    bye
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    changement de comportement des consommateurs Empty changement de comportement des consommateurs

    Message par bye Dim 24 Mai - 18:56

    Our Green World : une étude sur la
    compréhension des problématiques environnementales et sur le changement de
    comportement des consommateurs



    Un Français sur 4 pense à préserver l’environnement lors de ses
    achats.

    L’étude « Our Green World » de TNS Sofres, a été
    menée on line via son Access Panel 6th dimension, auprès de 13 000 personnes, en
    juin 2008, dans 17 pays : Allemagne, Argentine, Australie, Brésil, Corée,
    France, Espagne, Etats-Unis, Hong-Kong, Italie, Japon, Malaisie, Mexique,
    Royaume-Uni, Russie, Singapour, Thaïlande. L’étude porte sur la compréhension
    des problématiques environnementales et sur le changement de comportement des
    consommateurs.



    92% des Français sont inquiets pour l’environnement. Ils sont prêts à
    modifier leurs habitudes au quotidien pour sa préservation.


    Le Greenwashing : des consommateurs méfiants, surtout en Europe.


    La protection de l’environnement : une inquiétude au niveau mondial
    mais des préoccupations régionales différenciées.


    Environnement : un constat alarmiste au niveau mondial mais amoindri au
    niveau national : Pour 78% des personnes interrogées, notre planète est en
    mauvaise santé. Cet avis est surtout partagé par les Japonais (93%), les
    Brésiliens et les Français (92%). A l’inverse, les Singapouriens, les Américains
    et les habitants de Hong-Kong trouvent que les conditions naturelles au niveau
    mondial sont bonnes, voire excellentes. Singapour se démarque également
    lorsqu’il s’agit d’évaluer l’environnement naturel de son pays : alors qu’en
    moyenne 62% des personnes interrogées trouvent que les conditions
    environnementales ne sont pas très bonnes dans leur pays respectif, 81% des
    Singapouriens les jugent « excellentes, très bonnes ou bonnes ». Seuls trois
    autres pays font ce même constat, dans une moindre mesure : l’Australie, les
    Etats-Unis et le Royaume-Uni. La majorité des autres pays estime que leur santé
    environnementale est moyenne voire mauvaise, surtout le Mexique la Russie et le
    Brésil. Les Français sont 73% à partager ce sentiment.


    La pollution de l’air, première préoccupation
    environnementale au niveau mondial. La pollution de l’air est la problématique
    environnementale la plus citée : 28% des répondants sont particulièrement
    inquiets par ce type de pollution. La déforestation arrive en seconde position
    (19%) devant la pollution de l’eau (16%). Des disparités apparaissent au niveau
    régional. En Amérique Latine, les personnes interrogées sont plus
    particulièrement inquiétées par la pollution de l’eau : surtout au Mexique, au
    Brésil et en Argentine. En Asie, c’est la pollution de l’air qui arrive en tête
    des préoccupations environnementales, surtout à Hong-Kong, à Singapour, en Corée
    et en Thaïlande. Les déchets nucléaires sont le plus cités en Europe et en
    Russie : cette problématique inquiète 12% des Russes, 11% des Allemands et 10%
    des Français. En France, l’inquiétude se porte d’abord sur la pollution de l’air
    (26%) et de l’eau (19%).


    Chine et Etats-Unis : des coupables désignés à la
    quasi-unanimité. La Chine et les Etats-Unis sont perçus comme les pays qui ont
    le plus fort impact sur l’environnement. Les 17 pays étudiés, excepté le Brésil,
    identifient ces deux pays comme étant responsables de la situation
    environnementale actuelle. Les Français citent d’ailleurs autant la Chine que
    les Etats-Unis comme responsables de cette situation (70% de citation chacun).
    L’Inde arrive en troisième position (31%). Au Japon et à Hong-Kong, la Chine est
    largement désignée comme le pays le plus impactant sur l’environnement. Quant
    aux Etats-Unis, ils sont particulièrement visés par l’Argentine et la Thaïlande.
    Les Américains (63%) et les Brésiliens (42%) sont les deux populations à
    déclarer leur propre pays comme ayant la plus mauvaise influence sur
    l’environnement.


    92% des Français sont inquiets pour
    l’environnement. Ils sont prêts à modifier leurs habitudes au quotidien pour sa
    préservation
    40% des personnes interrogées déclarent avoir changé récemment
    leurs habitudes. En Europe, les Espagnols et les Anglais sont les plus nombreux
    à déclarer avoir changé leur comportement : respectivement 65% et 53%. Les
    Allemands ne sont, quant à eux, que 28%. Les Français sont 36% à déclarer avoir
    changé leur comportement. Le recyclage est l’action la plus citée (84%). Les
    actions les moins mises en œuvre par les Français sont : offrir des cadeaux
    respectueux de l’environnement, emprunter des livres à la bibliothèque plutôt
    que d’en acheter, acheter des vêtements ou du matériel d’occasion.


    Globalement, les trois actions environnementales les plus populaires, «
    toujours » ou « souvent » pratiquées, sont : l’arrêt de son ordinateur quand il
    n’est plus utilisé (69%) : surtout en Allemagne, en Italie et au Royaume-Uni. En
    France, ils sont 72% à le faire. Les Australiens et les Américains en sont les
    moins adeptes.


    la régulation du chauffage selon la température extérieure (63%) : la
    France se distingue nettement (83%). En deuxième position se trouvent les
    Etats-Unis suivis par l’Allemagne. Le Japon, l’Espagne et l’Italie sont les pays
    les moins concernés.


    La révision annuelle de son automobile (62%), actions mises en oeuvre
    surtout en Australie, en Italie et en Espagne. La France se situe juste derrière
    (69%), suivie de près par l’Allemagne. Deux pays anglo-saxons ferment la marche
    : les Etats-Unis et le Royaume-Uni. Certaines habitudes sont dorénavant ancrées,
    comme favoriser l’achat de produits locaux, utiliser des ampoules à faible
    consommation pratiquer le tri sélectif ou encore acheter des produits recyclés.
    A contrario, les actions les plus négligées sont l’emprunter des livres à la
    bibliothèque plutôt que d’en acheter, l’achat de produits cosmétiques
    biologiques ou encore l’entretien d’un potager.


    Sommes-nous prêts à payer pour certaines actions en faveur de
    l’environnement ?


    S’il est facile de se déclarer respectueux de l’environnement, sommes-nous
    prêts à payer plus cher pour des produits ou des initiatives en faveur de la
    protection de la nature ?


    59% des interviewés se disent prêts à payer plus cher pour des produits
    verts. Les Français (48%) sont cependant loin derrière les autres pays (surtout
    l’Espagne : 66%, et l’Allemagne : 57%) mais devant les Anglais (45%). Pour le
    recyclage des déchets, seuls 51% des personnes interrogées sont prêts à payer
    plus. L’Espagne est une nouvelle fois en tête des pays européens devant
    l’Italie. Trois autres pays européens ferment la marche : la France (41%),
    l’Allemagne et le Royaume-Uni. Enfin, la France, l’Espagne et le Japon sont les
    pays qui sont prêts à payer 5% de plus pour des produits et des services verts.
    40% des Allemands et 39% des Italiens sont prêts à payer 10% de plus.


    Des Français peu soucieux d’environnement dans leur processus
    d’achat.


    La protection de l’environnement influence peu nos décisions d’achat au
    quotidien : seules 26% des personnes interrogées sont influencées. Les Français
    sont dans la moyenne, avec 26% (dont 4% qui se disent très influencés). Parmi
    les pays européens, seul l’Italie se démarque, avec 40% de personnes qui se
    déclarent sensibles à l’environnement dans leur processus d’achat, loin devant
    l’Espagne, le Royaume-Uni et l’Allemagne. Les pays les moins soucieux sont les
    Etats-Unis (21%) et le Japon (17%). Les loisirs et les voyages sont les domaines
    pour lesquels l’environnement préoccupe le moins (respectivement 27% et
    34%).


    Les entreprises « vertes » séduisent les ¾ des consommateurs.

    Certains magasins ont fait le choix de ne proposer que des produits
    respectueux de l’environnement, ne laissant plus le choix aux consommateurs.
    Notre étude montre que 71% des consommateurs approuvent ce choix. 96% des
    Italiens adhèrent très largement à cette démarche, pour 61% des Français
    soutenant ce choix, à égalité avec l’Australie, et juste devant le Royaume-Uni
    et les USA. Cependant, des clivages sont assez forts : si 52% des consommateurs
    des pays interviewés sont prêts à fréquenter ces magasins « verts », ils sont
    peu représentés au Japon, au Royaume-Uni, en Australie et en France.


    Les achats les plus influencés par l’environnement : l’automobile (53%) et
    l’alimentation (49%)


    Au sein des 17 pays étudiés, les personnes interrogées se montrent
    globalement plus attentives à l’environnement lors de l’achat de leur véhicule
    que lorsqu’elles font leurs courses : 53% contre 49%. La France confirme cette
    tendance : 56% des Français choisissent leur voiture en pensant à
    l’environnement, contre 44% lorsqu’il s’agit de leur alimentation. Parmi les
    pays européens, l’Italie se démarque (67% pour l’automobile, contre 62% pour
    l’alimentation) suivie de près par l’Allemagne. Si l’Australie est dans la
    moyenne (51% pour l’automobile contre 46% pour l’alimentation, les autres pays
    anglo-saxons sont en queue de peloton.


    Le Greenwashing : des consommateurs méfiants, surtout en Europe.

    Les entreprises cultivent une image respectueuse de l’environnement,
    mais les consommateurs ne sont pas dupes.


    Seulement 16% des personnes interrogées pensent que les entreprises
    prennent des initiatives en matière de protection de l’environnement dans le
    cadre d’un réel souci écologique. Ils sont beaucoup plus nombreux à penser que
    les entreprises s’investissent dans l’écologie uniquement pour améliorer leur
    image ou leurs ventes (36%). 6% évoquent des pressions d’ordre politique.


    De fortes disparités apparaissent au niveau local. En France et en
    Allemagne, seulement 4% des personnes interrogées pensent que les initiatives
    prises par les entreprises en faveur de l’environnement n’ont pas d’autres buts
    que la protection de l’environnement. A l’inverse, ils sont 38% au Japon à
    croire en la bonne foi des entreprises qui font de l’environnement une
    préoccupation majeure.


    Les Français (50%) et les Allemands (47%) sont les plus nombreux à estimer
    que ces initiatives ne servent qu’à améliorer l’image des entreprises qui les
    mènent. Pour les Espagnols, ces initiatives sont avant tout perçues comme une
    stratégie marketing ayant pour seul but d’améliorer les ventes.


    Le « greenwashing » : une faible influence sur l’acte d’achat

    Les consommateurs font la différence entre le positionnement « écologique »
    défendu par une entreprise et l’image qu’ils en ont. Ainsi, seuls 24% des
    personnes interrogées se disent influencées voire très influencées (6%) dans
    leur consommation si une entreprise se positionne et agit en faveur de
    l’environnement. Cette influence est particulièrement faible dans les pays les
    plus industrialisés : 19% aux USA, 17% au Royaume-Uni, 13% au Japon et 12% en
    Allemagne. La France ce situe dans la moyenne avec 25% de personnes influencées.


    Cependant, si les personnes interrogées ont elles-mêmes une « bonne image
    environnementale » d’une entreprise, elles seront davantage influencées dans
    leur comportement d’achat. Ainsi, Toyota bénéficie d’une très bonne image
    d’entreprise verte (42%), tout comme General Electrics (35%) et Volkswagen
    (31%).


    Des questions environnementales sous-estimées par les gouvernements et les
    médias


    En moyenne, pour 43% des interviewés, les gouvernements sous-estiment les
    problèmes environnementaux, surtout pour les Italiens, les Japonais et les
    Américains. Ils sont 33% en France. Cependant, d’autres pays ne partagent pas ce
    sentiment de façon aussi tranchée, comme au Royaume-Uni et en Allemagne.


    Le constat est moins net concernant les médias : 28% des personnes
    interrogées pensent que les médias sous-estiment les problèmes environnementaux,
    essentiellement les Australiens, les Américains et les Anglais (37%). A
    contrario, les Japonais ne sont que 14% à partager ce point de vue, et 17% des
    Français.


    http://www.cdurable.info/Our-Green-World-Etude-TNS-SOFRES-Problematiques-environnementales-et-changement-de-comportement-Consommateurs,1748.html
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    changement de comportement des consommateurs Empty Re: changement de comportement des consommateurs

    Message par bye Lun 8 Juin - 6:21

    L'homme sans empreinte


    On le surnomme “Low Impact Man”. Steven Vromman,
    belge, 48 ans, est en pleine décroissance. C’est-à-dire qu’il prouve qu'on peut
    bien vivre sans épuiser la nature. En réduisant sa consommation, et donc son
    empreinte écologique. Nous avons rendu une petite visite à ce citoyen de la
    Terre. Tiens, il a pas la télé…


    Entre Bruxelles et Gand, le train ballotte et nous
    aussi. Quelque part, dans le quartier de Sint-Amandsberg, Steven Vromman, 48
    ans, connu sous le nom de « Low Impact Man », innove à sa manière. Depuis un an,
    ce Flamand vert délarde joyeusement son existence pour réduire son impact
    écologique. A quoi ressemble-t-il ? A un ours tapi dans une caverne éclairée à
    la bougie ? Un néohippie ? Un écologiste high-tech entouré de chanvre et
    d'éoliennes, qui se soulage dignement dans la litière de ses toilettes sèches
    ?


    Voilà l'antre. L'immeuble est bas, sans âme. Porte
    anonyme. On toque, toque, toque. Boucles blondes, teint rose, visage sportif de
    petit prince du plat pays monté sur baskets, Steven Vromman nous accueille avec
    un sourire, mais sans tongs, ni pancho, ni barbe fleurie. Loft dénudé de mâle
    célibataire, avec plafond, toit, murs et rien d'autre à rapporter, sauf un piano
    demi-queue curieusement recouvert d'un drap. Au premier coup d'oeil, aucune
    innovation écologique. Vromman a peu de ressources. Locataire, il se dépouille
    avec les moyens du bord.


    « Café ? ». Il tutoie d'emblée et conte son histoire
    belge avec un accent des Flandres qui persille la langue de Proust d'intonations
    bataves. Avant de décroître, il bûchait pour l'ONG Ecolife. Un jour, à bout de
    cernes, il se pose la question risquée du quadra surmené : « Qu'est-ce que je
    suis en train de faire de ma vie ? » Le 1er mai 2008, il s'invente une réponse
    frugale : dorénavant, il marchera le plus délicatement possible sur la planète
    pour réduire au minimum son empreinte écologique.


    L'empreinte écologique ? Un outil inventé au début des
    années 90 pour mesurer l'impact de nos activités de primates évolués sur la
    nature. Elle se conjugue en « hectare global » et correspond à la surface
    nécessaire au mode de vie d'une personne pour produire sa nourriture, les biens
    qu'elle consomme et pour absorber ses déchets. Le Belge moyen, comme le
    Français, a besoin de 5,1 hectares pour vivre d'iPhones, de viandes rouges et de
    vols longs courriers. Or il n'y a sur Terre que 1,8 hectare de terre disponible
    par tête de pipe. Aujourd'hui, après quatre saisons spartiates, Vromman a
    atteint son but et réduit son empreinte à 1,6 hectare ! « Tout le monde
    peut le faire, dit-il. Deux milliards de personnes vivent déjà ainsi en Afrique
    et en Asie. »


    Vromman s'est d'abord débarrassé des objets
    gourmands : télé, aspirateur, micro-ondes, bouilloire électrique. Ensuite, il a
    réinventé l'eau froide. Pendant un an, il s'est lavé au gant avec de l'eau à
    peine tiédie dans une casserole. Il avoue deux bains en un an. Après le marathon
    de Bruxelles et un voyage de quatorze heures en bus. Il a conservé frigo,
    ordinateur, lave-linge et téléphone portable. « Vous voyez qu'on n'est pas
    obligé de retourner à l'âge de pierre ! », dit-il.


    Pour les toilettes, point de litière : il collecte de
    l'eau de pluie dans la cour. Un seau sert de chasse. L'hiver, quand l'eau de
    pluie gèle dans les cuves, les envies sont moins pressantes. Mi-spartiate,
    mi-père de famille, Steven consent à rallumer le chauffage quand ses enfants,
    élevés en garde alternée, sont là. Et quand le givre cristallise sur les
    fenêtres, il maintient la température à 15 °C (17 °C quand les enfants sont
    bleus). L'une de ses plus belles innovations pour résister au froid ? Le
    pull.


    Le locataire a aussi opéré quelques menus travaux
    dans son ex-atelier mal isolé. Il a tapissé des pans de mur de papier alu
    (jusqu'à 30 % de pertes évitées), installé de lourds rideaux aux fenêtres, des
    films plastique devant d'autres. Il a aussi remplacé les ampoules classiques par
    des LED emmêlées dans un navrant réseau de fils qui pendouillent.


    On ricane gentiment devant l'ampleur des travaux. Low
    impact man ne sourcille pas: « Pour gagner la partie, il faut multiplier
    les petites victoires.»
    Nous marchons sur l'une d'entre elles. Sous nos
    pieds, dix centimètres d'épaisseur de bouchons de liège broyés recouverts de
    planches de bois. Chez Vromman, le pied se promène tout nu sans craindre le
    rhume.


    Low Impact Man possède quelques objets improbables
    qu'il aime dévoiler aux journalistes de passage (ils sont nombreux). Un lecteur
    MP3 à manivelle (made in China) ou un vélo bricolé qui produit de l'électricité
    : « C'est un instrument pédagogique. Pour me fournir en énergie avec ce vélo, il
    faudrait pédaler huit heures par jour ! » On s'assoit autour d'une table en bois
    blanc. Il ouvre un cahier couvert de chiffres et de courbes.


    Steven compte, recompte et décompte. En permanence. Les
    courbes sveltes dessinent sa victoire sur la cellulite énergétique. Il a
    consigné tous ces chiffres sur un blog qui lui a valu une belle médiatisation.
    Consommation en chauffage : 7 500 kilowattheures contre 17 600 pour le Belge
    moyen. Consommation en électricité : 200 kilowattheures contre 1 000. Déchets :
    12 kilogrammes en un an contre 165 !

    Dans le salon se cache encore une innovation fameuse :
    la marmite norvégienne. Une boîte en bois qui renferme une magie vieille comme
    un fjord, mais qui ressemble à une boîte normale. D'ailleurs, c'est une boîte
    normale. Sauf qu'elle est remplie de foin, de ce foin dont on fait les vaches :
    « Vous enfermez vos patates chaudes là dedans pendant quatre ou cinq heures et
    elles finissent de cuire sans utiliser d'énergie ! », s'enthousiasme
    Vromman.


    Low Impact Man veut prouver qu'on peut vivre
    normalement sans consommer comme un goret.


    Non, il n'est pas nécessaire d'être un ascète. Il ne
    conduit plus, sauf son vélo pliable, mais s'est octroyé des vacances avec son
    pote Thomas. En Suède et en cargo, jusqu'à Göteborg, à 900 kilomètres de là (35
    mètres cubes de CO2 dégagés contre 308 en voiture, 385 en train, 505 pour
    l'avion) (1). Là-bas, il a passé une semaine dans « l'hôtel le plus primitif de
    Suède », en forêt, sans eau ni électricité. Le pote n'a pas toujours apprécié. «
    Venez, je vous le présente ». Steven ouvre la porte de l'appartement mitoyen. De
    son canapé moelleux, Thomas, bouille barbue et chevelue d'amateur de hard-rock
    avec brioche, nous salue. Chez lui, un écran plat géant, un gros frigo et une
    profonde empreinte écologique : « Je ne le juge jamais, ça serait stérile,
    rigole Steven. Il est un peu mon "voisin-témoin", il me rappelle la façon dont
    les gens "normaux" fonctionnent. » Thomas est occupé et puis, surtout, il
    commence à ne plus souffrir les visites de journalistes. Belges bien sûr, mais
    aussi italiens, portugais, espagnols, ils sont venus voir à quoi ressemblaient
    Low Impact Man et son voisin « normal ».


    Retour dans le « low impact loft ». Dans la cuisine,
    une éolienne solaire naine plantée dans un jardinet au bord de l'évier tourne
    pour faire joli. La rhubarbe, les lentilles et les salades poussent pour de
    vrai. Ici, pas de poisson ni de viande. Il faut nourrir les boeufs avant de les
    transporter pour les tuer et les manger. En sus, ils pètent. Le coût énergétique
    est énorme.


    En revanche, Vromman se sustente de légumes et de fruits
    à foison. De saison. Et locaux. Il a essayé d'arrêter les produits laitiers,
    mais sans succès. Il en coûtera aux économistes de lire ce qui suit, mais c'est
    la triste vérité : Steven n'achète presque plus rien. L'hurluberlu récupère,
    répare ou se fait prêter, sans penser une seconde au mal que se donnent
    commerciaux et publicitaires pour lui revendre son ex-vie : « Moins de biens,
    plus de liens », psalmodie-t-il.


    Ce dangereux subversif récupère des habits de seconde
    main. Au mépris des droits de l'enfant, il offre une nuit à la belle étoile à
    son fils pour son anniversaire ou une place de théâtre à sa fille. Monsieur
    Petit Impact est aussi membre d'un groupe de troqueurs rusés : le LETS (Local
    Exchange Trading System). Cent quarante personnes qui s'entraident gratuitement.
    Un vélo à réparer ? Des rideaux à coudre ? Le réseau répond
    gratuitement.


    Evidemment, pour cautionner de telles
    pratiques, il faut raccrocher son individualisme au portemanteau et s'acoquiner
    avec d'autres êtres humains.


    Mais c'est justement le dessein de Steven : « Les
    initiatives individuelles comme la mienne sont belles mais inefficaces à
    l'échelle de la planète. Il faut créer un groupe, tisser des liens entre jeunes
    et vieux, participer ensemble aux mêmes activités. » Depuis peu, Low Impact Man
    se rapproche du mouvement des Transition towns, qui essaime dans les pays
    anglo-saxons dans le fol espoir de préparer le monde à l'après-pétrole. Cela
    fait quatre mois qu'il mobilise son quartier. Pour les théoriciens des
    Transition towns, il faut former des communautés dans les quartiers. Commencer
    petit. Réunir cinq personnes. Projeter un film (par exemple The Power of
    community : how Cuba survived peak oil, documentaire de l'Institut Arthur
    Morgan). Agrandir peu à peu le cercle. Organiser ensuite un pique-nique dans le
    quartier. Puis, entre deux merguez, former des équipes qui planchent sur des
    thèmes concrets. L'aménagement de jardins. Les potagers biologiques. Les
    panneaux solaires. Pour Steven, c'est sûr, le défi planétaire relève moins de
    l'innovation technique que du changement de mentalité : « Nous allons
    vivre dans un monde où l'on sera plus fort en communauté que tout seul. La vraie
    innovation est à l'intérieur de nos têtes. »


    (1) Le lecteur étonné de voir qu'une voiture rejette
    plus de C02 qu'un train aura oublié que le train belge se meut grâce à une
    électricité produite par des centrales à charbon.


    Nicolas Delesalle

    Source: http://www.telerama.fr/monde/l-homme-sans-empreinte,43555.php
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    Message par gratefig Lun 8 Juin - 21:37

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    Message par bye Mar 23 Juin - 13:57

    Appareils ménagers : la France pourrait économiser 5,7 milliards de
    kWh






    Lave-linge ou réfrigérateur, les appareils électroménagers actuels consomment moins que ceux construits il y a une décennie. Le Gifam le démontre, quantitativement, dans le Guide de l'Innovation.



    5,7 milliards de kWh pourraient être économisés en France en remplaçant les appareils électroménagers de plus de dix ans par des appareils récents, selon une estimation réalisée par le Gifam (Groupement Interprofessionnel des Fabricants d'Appareils d'équipement Ménager).



    Le groupement fait paraître son Guide de l'Innovation, dans lequel il rappelle les bénéfices environnementaux mais aussi financiers des nouveaux appareils électriques à usage domestique.



    L'ouvrage revient sur dix ans d'innovation technologique ayant permis de rendre les appareils électroménagers plus efficaces et moins énergivores. A l'aide d'images et de chiffres, le Guide de l'Innovation présente les économies d'eau et d'électricité, les gains de temps, les avantages en confort d'utilisation, en sécurité ou en réduction des nuisances sonores, réalisés entre 1998 et
    2008.




    Oublier le repassage



    Par exemple, le livret explique qu'en 1998, les sèche-linge étaient classés en majorité dans la catégorie F contre A aujourd'hui, grâce à une économie d'énergie de 66%. Au total, par an, les consommateurs économisent 51,48 euros grâce les nouveaux
    appareils plus économes.




    Le gain de temps n'est pas négligeable non plus. Le Gifam estime que pour quatre lessives par semaine, on passe 1 h 30 à étendre le linge. Avec des sèche-linge électriques plus efficaces, les Français peuvent gagner 78 heures de loisirs supplémentaires par an. Le temps de repassage est, pour sa part, divisé par deux grâce au
    développement de la fonction défroissage.




    Le Guide de l'Innovation rappelle au fil de ses pages qu'en une décennie, la consommation électrique des réfrigérateurs a été divisée par trois, la consommation d'eau des lave-linge et lave-vaisselle a diminué de moitié, les tables induction permettent de faire bouillir de l'eau en deux fois moins de temps et la facture
    globale d'un foyer équipé en électroménager a pratiquement été divisée par deux.




    Source: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/developpement-durable-1/d/appareils-menagers-la-france-pourrait-economiser-57-milliards-de-kwh_19683/#xtor=RSS-8
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    Message par bye Ven 3 Juil - 19:27

    Les huiles alimentaires : comment les choisir, comment les recycler ?


    Lise, pour la Rédaction.

    Elle est à l'été ce que la soupe est à l'hiver : un aliment de base, dont on pourrait difficilement se passer... L'huile est partout, sur les tomates-mozzarella du pique-nique, sur la salade fraîcheur du dimanche midi ou encore dans la marinade du poisson. Et je ne vous parle même pas des frites ou des chichis vendus en bord de mer...


    Evidemment, mieux vaut tout d'abord ne pas en abuser.
    Je ne vous apprends rien en disant que l'huile n'est pas l'aliment
    le plus diététique de la terre, loin s'en faut.


    Mais il faut surtout apprendre à bien la choisir car toutes les huiles ne se valent pas. Bien plus que leur origine, olive, colza ou tournesol, qui est avant tout une affaire de goût, ce qui importe c'est leur procédé de fabrication. Il y a en gros deux manières de faire de l'huile : par pression mécanique ou par réaction chimique.

    Cette dernière, vous allez voir, n'est pas très engageante. Il s'agit de chauffer les fruits ou les graines à très haute température, plus de 1000 degrés, pour ensuite les traiter chimiquement avec
    notamment de l'hexane, un solvant d'origine pétrolière avant de raffiner cette huile, c'est à dire désodoriser, décolorer ou encore filtrer. Evidemment, tous ces sympathiques procédés ne sont pas sans conséquence : ils altèrent la composition de l'huile, diminuant la part des composants bénéfiques, comme les anti-oxydants, la vitamine E ou les oméga 3 et ajoutant des acides gras trans,
    très néfastes pour la santé.

    Pour l'éviter, un seul mot d'ordre, choisir les huiles vierges ou vierges extra, obtenues par pression des fruits à froid.
    Elles ne subissent aucun traitement et ne comportent pas d'additifs. Ses qualités nutritionnelles et son goût sont donc préservés. On peut évidemment aller encore plus loin et acheter de l'huile vierge bio et/ou commerce équitable. On en trouve de plus en plus dans les rayons.


    Une fois achetée, une fois consommée, reste à savoir ce que l'on doit faire des résidus d'huile : reste de vinaigrette, huile de friture, huile des sardines ou du thon en boîte...
    Sachez qu'il ne faut sous aucun prétexte les jeter dans l'évier ou dans les toilettes. Cela a pour conséquences tout d'abord de boucher les canalisations, puisque l'huile et l'eau ne se mélangent pas, mais aussi de diminuer la capacité de traitement des stations d'épuration et de polluer durablement l'eau. Un litre d'huile se répandra ainsi en goutelettes sur 1,000 metres carrés d'eau.


    Le moindre mal, c'est de jeter les toutes petites quantités d'huile à la poubelle. Pour les quantités plus importantes, vous pouvez apporter l'huile usagée à la déchetterie ou aux conteneurs spécialisés. De plus en plus de villes en possèdent. Quant aux bouteilles d'huile, en verre mais aussi en plastique, elles sont recyclables. Depuis 3 ans, en effet, le plastique et les corps gras
    peuvent être séparés pendant le processus de recyclage.


    Source : http://www.frequenceterre.com/chroniques-environnement-300609-1236-Les-huiles-alimentaires-comment-les-choisir-comment-les-recycler.html
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    Message par Rabasse du sud Jeu 9 Juil - 21:49

    changement de comportement des consommateurs 325214356
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    Message par bye Sam 25 Juil - 4:27

    La France importe encore un quart de son lait bio


    D'après un article du 22 juillet de Pleinchamp.com, la production de lait bio décolle en France, mais un quart des besoins a été satisfait par des importations en 2008. L'année dernière, 408 millions d'euros de lait et produits laitiers bio ont été consommés, soit une hausse de 76 % en trois ans. La production française est montée à 234 millions de litres. Toutefois, cela ne représentait que 1 % de la collecte globale de lait en France, contre 13 % en Autriche, 9 % au Danemark et 2 % en Allemagne.



    Source : http://www.lemoci.com/19520-france-importe-encore-quart-son-lait-bio
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    Message par bye Mar 6 Avr - 16:11

    Week-end Mondial pour l'Abolition de la Viande : 17 et 18 avril 2010*
    *
    *

    *Participez au prochain week-end d'actions pour l'abolition de la viande
    les 17 et 18 avril 2010 !*


    La seconde Journée mondiale pour l'abolition de la viande du 31 janvier
    2010 a été un succès !

    Des actions très diverses ont eu lieu dans plus de 50 villes dans les
    pays suivants : Afrique du Sud, Allemagne, Angleterre, Belgique,
    Bolivie, Brésil, Etats-Unis d'Amérique, France, Inde, Irlande, Italie,
    Portugal, Suisse ! Un grand merci à tous les individus et tous les
    groupes qui ont uni leur voix pour les animaux opprimés et qui ont
    exprimé l'idée que nos sociétés doivent abolir le meurtre des animaux
    pour leur chair ! C'était un grand moment que de savoir que le même
    jour, des gens de toutes les parties du monde agissaient dans un même
    but politique pour arrêter la tuerie.

    Après ce succès de la seconde Journée mondiale, nous organisons
    maintenant un nouveau week-end d'action.

    Nous pensons qu'il est largement temps d'exprimer publiquement la
    nécessité d'abolir la viande, non seulement un jour par an, mais en
    multipliant les événements locaux, nationaux et à l'échelle mondiale.

    Il est temps de multiplier nos efforts pour rendre aussi visible que
    nous pouvons la souffrance des animaux et faire connaître un objectif
    que la société doit commencer à discuter publiquement, sans aucun tabou
    : l'abolition de l'élevage, de la chasse et de la pêche.

    Nous espérons que le nombre de villes concernées et d'actions militantes
    va croître encore, de même que notre détermination, notre imagination et
    notre visibilité.

    *Participez au prochain Week-end Mondial d'actions pour l'Abolition de
    la Viande les 17 et 18 avril 2010 !*
    bye
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    Message par bye Jeu 27 Mai - 14:53

    http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=4237
    Protéger le consommateur de la « construction des prix alimentaires »

    Oeuvrant à la défense des consommateurs, l’association UFC – Que Choisir a mené de fin septembre à mi-octobre 2009 une]http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=4024]une enquête au sein de 1250 magasins de grande distribution implantés en France[/url]. Rendues publiques en décembre de la même année, les conclusions révélèrent alors les manœuvres abusives de certains industriels et distributeurs, lesquels n’hésitaient pas à s’octroyer des marges prohibitives au regard des prix agricoles pratiqués. Ainsi, la barquette d’escalopes de poulet vendue sous la marque Le Gaulois affichait un prix moyen en rayon de 11,99 € alors que le prix agricole moyen de ce produit au kilo était de 2,11 €.
    Face à ces agissements, l’association réclama alors l’extension du coefficient multiplicateur, jusqu’alors réservé aux fruits et aux légumes, à l’ensemble des produits bruts et peu transformés. Calculant un prix de vente maximal basé sur la multiplication du prix agricole par un coefficient fixé en accord avec les professionnels, cette méthode permet de s’adapter aux variations des prix agricoles tout en protégeant à la fois le consommateur et les professionnels. Toutefois, depuis lors, cette légitime réclamation n’a pu obtenir gain de cause.

    Or, alors que les distributeurs ont consenti, le 17 mai dernier, à signer un accord de modération des marges pour les seuls fruits et légumes, UFC – Que Choisir publie une réactualisation des données collectées en 2009. Et tout donne à penser que les bonnes paroles dispensées n’ont pas eu l’effet escompté. En effet, six mois plus tard, une nouvelle comparaison prix agricoles / prix en rayons démontre le maintien de ces marges abusives. Ainsi, « Si certains prix en rayon ont connu sur les 6 derniers mois une légère baisse, celle-ci n’est pas venue – loin s’en faut - compenser les importantes augmentations intervenues depuis les 10 dernières années ». Pour preuves, entre avril 2000 et avril 2010, le prix du lait demi écrémé a augmenté de 16 % alors que le prix de la matière première a baissé de 5 % ; le prix de la volaille a progressé de 38 % alors que le prix de la matière première a chuté de 19 % ; le prix du rôti de porc a augmenté de 23 % contre une baisse de 5 % du prix de la matière première. Enfin, le prix du bœuf a augmenté de 34 % alors que le prix de la matière première a enregistré une baisse de 4 %.

    Nulle surprise, donc, si l’accord récemment concédé par les professionnels du secteur, signé en l’absence des consommateurs, est décrit par l’association comme « non contraignant (ni procédure de contrôle, ni sanction) et de faible portée (limitée aux seuls fruits et légumes) ».

    Arguant que, depuis plus de deux ans, les industriels et la distribution font les choux gras de la baisse des prix agricoles en ne les redistribuant pas aux consommateurs, l’association demande aux sénateurs, dans le cadre des discussions de la loi de modernisation de l’agriculture, d’imposer à tous les produits bruts ou peu transformés un coefficient multiplicateur, ou au minimum aux viandes fraîches de bœuf et de porc.




    Cécile Cassier
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    changement de comportement des consommateurs Empty Re: changement de comportement des consommateurs

    Message par bye Lun 26 Juil - 12:49

    Rencontres de la Relocalisation
    Communiqué et appel

    Les 1ères Rencontres de la Relocalisation ont eu lieu les 3 et 4 juillet à
    Notre-Dame des Landes (44). En soutien aux opposants au projet d'aéroport,
    ces journées ont rassemblé des militants venus de toute la France, dont des
    élus de grandes villes et de milieux ruraux.


    Elles ont donné lieu à des échanges très nourris et très riches, construits
    à partir de présentations d’acteurs impliqués et portant sur l'origine des
    échanges et les systèmes d'échanges locaux (SEL), sur les monnaies
    complémentaires locales, sur comment manger local et assurer la souveraineté
    alimentaire des territoires.


    Dans le prolongement de notre appel « Relocalisons » puis de l’appel «
    Relocalisons Copenhague », lancés en Août 2009, les participants à ces
    Rencontres, dont l'association RELOCALISONS, lancent un appel pour
    développer partout des initiatives de relocalisation.

    Nous appelons à renforcer le rapprochement entre producteurs,
    consomm-acteurs et citoyens, et au développement d’initiatives
    pour nous réapproprier nos conditions de vie.



    Nous ne partons pas de rien, de nombreuses expériences de relocalisation
    existent déjà depuis des années et se développent rapidement : AMAPs, SELs,
    monnaies locales, jardins et éco-habitat partagés, coopératives de
    producteurs, associations de consomm’acteurs, organisations de financement
    solidaire et local, producteurs locaux d’énergie renouvelable, villes
    sobres, etc.


    Il ne s'agit ni de repli sur soi, ni de nationalisme. Il s'agit de reprendre
    pouvoir sur nos conditions d'existence, dans la solidarité et la
    coopération. Il s’agit également de participer activement à la construction
    de la transition vers une société fraternelle en rupture avec le dogme de la
    croissance et le productivisme.


    Nous appelons tous ces acteurs de la relocalisation :

    a.. à se connecter par tous moyens et constituer des réseaux : création de
    collectifs, sites internet, journaux (locaux et régionaux),

    b.. à poursuivre la réflexion sur le contenu de la relocalisation

    c.. à développer des actions concrètes pour faire connaître et valoriser
    les initiatives de relocalisation.

    Nous proposons, aux acteurs locaux, mouvements sociaux, élus, une première
    campagne nationale sur la préservation et l'extension des ceintures
    maraîchères autour des villes.

    Avant d’envisager les prochaines Rencontres de la Relocalisation, nous
    prendrons dans les prochains mois des initiatives pour aller dans ce sens,
    contactez nous !


    RELOCALISONS !
    148 rue de Verdun, Escalier 4 / 94500 CHAMPIGNY SUR MARNE /
    Tél : 06 87 34 17 50
    Blog : www.relocalisons.org Courriel : relocalisons@free.fr

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