Solidarité avec le peuple du Gabon
http://www.pcof.net/fr/
Le peuple gabonais se voit une fois encore imposer le clan Bongo qui met
le pays en coupe réglée depuis 42 ans. Ainsi en ont décidé les membres
du clan, la hiérarchie militaire, les affairistes, sans oublier les
Total, Bolloré, Rougier, Eramet, Bouygues et autre Veolia, BNP, Crédit
lyonnais et Axa. Au total, ce sont quelques 150 entreprises françaises
qui contrôlent les secteurs clés du pétrole, du bois, du commerce...
Les élections ont été entachées de très nombreuses irrégularités, Ali
Bongo disposant de moyens financiers et de l'appareil d'Etat pour "mener
campagne". Les trois jours précédant la proclamation des résultats ont
servi à régler les dissensions au sein du clan, pour se répartir les
postes juteux et pour se préparer à affronter les manifestations qui
allaient de toute façon avoir lieu en cas de proclamation de la victoire
d'Ali Bongo, tant est grande la colère contre ce régime et profonde
l'aspiration au changement. Le fait que la plupart des opposants qui ont
fait campagne ne représentent pas de véritable rupture ne change rien à
cette exigence qui demeure.
Si les manifestants s'en sont pris aux "intérêts français", c'est bien
parce que rien ne peut se décider sans l'aval des dirigeants économiques
et politiques français.
Plusieurs centaines de soldats de l'armée française, équipés de moyens
aériens et terrestres, sont déployés pour défendre ce droit au pillage
et pour protéger le régime d'Ali Bongo. En 1990, ce sont les militaires
français qui ont réprimé dans le sang la révolte de la jeunesse
gabonaise qui croyait que l'heure était venue pour plus de démocratie.
Les troupes françaises sont prêtes à tirer, comme elles l'ont fait, en
novembre 2004, à Abidjan.
Nous nous associons aux protestations et aux dénonciations qui se sont
exprimées en France contre ces élections truquées destinées à maintenir
au pouvoir le clan Bongo, pilier de la "françafrique". Nous dénonçons le
cynisme du gouvernement Sarkozy qui a prétendu "être neutre" mais qui
apporte, par la voix de Kouchner et de Joyandet, le soutien politique et
militaire de l'impérialisme français à ce putsch.
Nous dénonçons les Bolloré, Bouygues, Total et Cie qui veulent continuer
à s'enrichir sur le dos du peuple gabonais, ainsi que des autres peuples
des néo-colonies françaises.
Nous exprimons notre solidarité au peuple gabonais, à sa jeunesse, aux
travailleurs des villes et des campagnes qui se dressent contre
l'arbitraire et la réaction.
Nous appelons à amplifier la dénonciation en France et au plan
international de ce putsch, soutenu par l'impérialisme français.
Parti Communiste des Ouvriers de France
°°°°°°°°°°°°
Le Parti communiste des ouvriers de France (PCOF) est un parti
marxiste-léniniste pro-albanais issu en 1979 de la fusion de
l'Organisation pour la reconstruction du Parti communiste de France
(ORPCF), scission strasbourgeoise du PCMLF, avec l'Organisation
communiste prolétarienne, dernier avatar de la Gauche prolétarienne.
Le Parti communiste des ouvriers de France publie le mensuel La Forge.
Il participe à la Conférence internationale des partis et organisations
marxistes-léninistes (ICMLPO) (pro-albanaise).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_Communiste_des_Ouvriers_de_France
°°°°°°°°°°°°
Le Courant pro-albanais est un courant politique stalinien se réclamant
du marxisme-léninisme et du régime dirigé par Enver Hoxha en Albanie
entre 1945 et 1990.
Le courant pro-albanais se détache du maoïsme à partir de 1977 lorsque
survient la rupture entre l'Albanie et la Chine. Des groupuscules
pro-albanais apparaissent alors un peu partout dans le monde. Au niveau
international, les partis pro-albanais se rassemblent au sein de la
Conférence Internationale des Partis et Organisations
Marxistes-Léninistes (ICMLPO).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Courant_pro-albanais
http://www.pcof.net/fr/
Le peuple gabonais se voit une fois encore imposer le clan Bongo qui met
le pays en coupe réglée depuis 42 ans. Ainsi en ont décidé les membres
du clan, la hiérarchie militaire, les affairistes, sans oublier les
Total, Bolloré, Rougier, Eramet, Bouygues et autre Veolia, BNP, Crédit
lyonnais et Axa. Au total, ce sont quelques 150 entreprises françaises
qui contrôlent les secteurs clés du pétrole, du bois, du commerce...
Les élections ont été entachées de très nombreuses irrégularités, Ali
Bongo disposant de moyens financiers et de l'appareil d'Etat pour "mener
campagne". Les trois jours précédant la proclamation des résultats ont
servi à régler les dissensions au sein du clan, pour se répartir les
postes juteux et pour se préparer à affronter les manifestations qui
allaient de toute façon avoir lieu en cas de proclamation de la victoire
d'Ali Bongo, tant est grande la colère contre ce régime et profonde
l'aspiration au changement. Le fait que la plupart des opposants qui ont
fait campagne ne représentent pas de véritable rupture ne change rien à
cette exigence qui demeure.
Si les manifestants s'en sont pris aux "intérêts français", c'est bien
parce que rien ne peut se décider sans l'aval des dirigeants économiques
et politiques français.
Plusieurs centaines de soldats de l'armée française, équipés de moyens
aériens et terrestres, sont déployés pour défendre ce droit au pillage
et pour protéger le régime d'Ali Bongo. En 1990, ce sont les militaires
français qui ont réprimé dans le sang la révolte de la jeunesse
gabonaise qui croyait que l'heure était venue pour plus de démocratie.
Les troupes françaises sont prêtes à tirer, comme elles l'ont fait, en
novembre 2004, à Abidjan.
Nous nous associons aux protestations et aux dénonciations qui se sont
exprimées en France contre ces élections truquées destinées à maintenir
au pouvoir le clan Bongo, pilier de la "françafrique". Nous dénonçons le
cynisme du gouvernement Sarkozy qui a prétendu "être neutre" mais qui
apporte, par la voix de Kouchner et de Joyandet, le soutien politique et
militaire de l'impérialisme français à ce putsch.
Nous dénonçons les Bolloré, Bouygues, Total et Cie qui veulent continuer
à s'enrichir sur le dos du peuple gabonais, ainsi que des autres peuples
des néo-colonies françaises.
Nous exprimons notre solidarité au peuple gabonais, à sa jeunesse, aux
travailleurs des villes et des campagnes qui se dressent contre
l'arbitraire et la réaction.
Nous appelons à amplifier la dénonciation en France et au plan
international de ce putsch, soutenu par l'impérialisme français.
Parti Communiste des Ouvriers de France
°°°°°°°°°°°°
Le Parti communiste des ouvriers de France (PCOF) est un parti
marxiste-léniniste pro-albanais issu en 1979 de la fusion de
l'Organisation pour la reconstruction du Parti communiste de France
(ORPCF), scission strasbourgeoise du PCMLF, avec l'Organisation
communiste prolétarienne, dernier avatar de la Gauche prolétarienne.
Le Parti communiste des ouvriers de France publie le mensuel La Forge.
Il participe à la Conférence internationale des partis et organisations
marxistes-léninistes (ICMLPO) (pro-albanaise).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_Communiste_des_Ouvriers_de_France
°°°°°°°°°°°°
Le Courant pro-albanais est un courant politique stalinien se réclamant
du marxisme-léninisme et du régime dirigé par Enver Hoxha en Albanie
entre 1945 et 1990.
Le courant pro-albanais se détache du maoïsme à partir de 1977 lorsque
survient la rupture entre l'Albanie et la Chine. Des groupuscules
pro-albanais apparaissent alors un peu partout dans le monde. Au niveau
international, les partis pro-albanais se rassemblent au sein de la
Conférence Internationale des Partis et Organisations
Marxistes-Léninistes (ICMLPO).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Courant_pro-albanais