à lire aussi sur le lien ci-dessous, la délicate intervention de la maire de Calais N. Bouchard concernant les exilés ; une solution radicale pour "nettoyer " et sauver "l'identité" menacée des bourgeois de Calais : noyade collective dans le canal ou mort aux rats dans les soupes ou pogrome? Les saluts nazis approuvent toutes les délicates interventions identitaires de la maire , et sont de plus nombreux et toute quiétude, protégés qu'ils sont à Calais!
(En pénal cet appel à la haine raciste, violence et "nettoyage" par tout moyen ! d'une population en raison de son origine , quel barème pour cette maire de Calais?)
Calais : "On les tue ? On les noie ?", dit la maire à propos des migrants :
La maire UMP de Calais a glissé une formule pour le moins malheureuse dans un entretien à "La Voix du Nord" samedi 23 août.
par Héloïse Leussier publié le 23/08/2014 à 15:58
La maire de Calais, Natacha Bouchart (UMP), a annoncé vendredi 23 août qu’elle souhaitait l’ouverture d’un centre pour les migrants. Dans un entretien à La Voix du Nord ce samedi, elle donne des précisions sur ce projet.
Elle glisse alors une petite phrase pour le moins polémique : "On ne peut pas fermer les frontières, de toute façon, on est dans l’Europe. Qu’est-ce qu’on fait ? On les tue ? On les noie ?", dit-elle à propos des migrants, qui sont actuellement plus d’un millier dans la ville.
Avec cette formule provocante, Natacha Bouchart risque bien de s’attirer une fois de plus les foudres de ses adversaires. Elle avait déjà suscité de vives réactions en octobre dernier, quand elle avait incité les habitants de Calais à "signaler" les squats des migrants."
Le 08/09/2014 21:00, Muriel Elkolli a écrit :
http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/calais-derapages-nazis-lors-d-un-rassemblement-anti-migrants-7774167328/
(faire copier coller si le lien est coupé, pour voir les photos de ce rassemblement et reportage)
Des personnalités d'extrême droite étaient présentes à Calais pour une manifestation anti-migrants dimanche 7 septembre.
Crédit : DENIS CHARLET / AFP
Des migrants, à Calais, le 5 septembre 2014. (archives)
par La rédaction numérique de RTL , Avec AFP publié le 07/09/2014 à 20:39
Jusqu' ’à 300 personnes, 150 selon la police, se sont rassemblées dimanche 7 septembre à l'appel du collectif "Sauvons Calais" pour dénoncer la présence des migrants dans la ville, dont de nombreux représentants d’extrême droite."Foutons-les dehors", pouvait-on lire sur une des pancartes du groupe rassemblé sur la place de l'hôtel de ville. Une autre associait la présence de migrants à "l'insécurité, l'insalubrité, le désastre économique".
"C'est bien cela qui rend ma colère joyeuse aujourd'hui, c'est que de Brest à Vladivostok et de Calais à Lampedusa, c'est que le peuple se lève pour dire non à l'invasion de notre continent", a lancé à la foule Olivier Roulier, de Réseau Identitaire. Devant une foule très réactive parcourue de huées et de rires, un slogan était repris: "On est chez nous." L'un des organisateurs de la manifestation, Kevin Rèche, a appelé à évacuer tout squat dans les 48 heures. Selon un journaliste britannique présent sur place, des saluts nazis auraient également été effectués.
Au cours du rassemblement plusieurs personnes ont pris la parole, dont Simone Deldèvre, une Calaisienne qui a annoncé avoir crée l'association "Les Bleuets calaisiens" pour s'occuper des SDF et des pauvres de la ville.
Pour Thomas Joly, du Parti de la France (fondé par Carl Lang, ancien du FN), "l'avenir du monde blanc est remis en cause". "Oui, nous voulons un camp. Un camp d'enfermement et d'expulsion des étrangers vers leurs pays d'origine", a-t-il déclaré, certainement en référence au centre d'accueil de jour pour les migrants qui pourrait resté ouvert.
Il pourrait se trouver dans les locaux d'un centre de loisirs de Calais, qui a accueilli jusqu’à 1.500 migrants par jour. Le centre d'accueil de jour permettrait de regrouper au même endroit notamment la distribution de repas, de vêtements et de soins, ainsi qu'un accès à des douches et à l'eau potable pour les migrants qui errent dans les rues de Calais et dorment dans les dunes.
Un groupe d'une soixantaine de personnes, des antifascistes habillés de noir, a tenté de perturber le rassemblement en tout début d’après-midi avant d'être dispersé par les forces de l'ordre. Face à cette manifestation, des migrants et pro-migrants ont investi un terrain de football pour organiser symboliquement un "Mondial".
(En pénal cet appel à la haine raciste, violence et "nettoyage" par tout moyen ! d'une population en raison de son origine , quel barème pour cette maire de Calais?)
Calais : "On les tue ? On les noie ?", dit la maire à propos des migrants :
La maire UMP de Calais a glissé une formule pour le moins malheureuse dans un entretien à "La Voix du Nord" samedi 23 août.
par Héloïse Leussier publié le 23/08/2014 à 15:58
La maire de Calais, Natacha Bouchart (UMP), a annoncé vendredi 23 août qu’elle souhaitait l’ouverture d’un centre pour les migrants. Dans un entretien à La Voix du Nord ce samedi, elle donne des précisions sur ce projet.
Elle glisse alors une petite phrase pour le moins polémique : "On ne peut pas fermer les frontières, de toute façon, on est dans l’Europe. Qu’est-ce qu’on fait ? On les tue ? On les noie ?", dit-elle à propos des migrants, qui sont actuellement plus d’un millier dans la ville.
Avec cette formule provocante, Natacha Bouchart risque bien de s’attirer une fois de plus les foudres de ses adversaires. Elle avait déjà suscité de vives réactions en octobre dernier, quand elle avait incité les habitants de Calais à "signaler" les squats des migrants."
Le 08/09/2014 21:00, Muriel Elkolli a écrit :
http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/calais-derapages-nazis-lors-d-un-rassemblement-anti-migrants-7774167328/
(faire copier coller si le lien est coupé, pour voir les photos de ce rassemblement et reportage)
Des personnalités d'extrême droite étaient présentes à Calais pour une manifestation anti-migrants dimanche 7 septembre.
Crédit : DENIS CHARLET / AFP
Des migrants, à Calais, le 5 septembre 2014. (archives)
par La rédaction numérique de RTL , Avec AFP publié le 07/09/2014 à 20:39
Jusqu' ’à 300 personnes, 150 selon la police, se sont rassemblées dimanche 7 septembre à l'appel du collectif "Sauvons Calais" pour dénoncer la présence des migrants dans la ville, dont de nombreux représentants d’extrême droite."Foutons-les dehors", pouvait-on lire sur une des pancartes du groupe rassemblé sur la place de l'hôtel de ville. Une autre associait la présence de migrants à "l'insécurité, l'insalubrité, le désastre économique".
"C'est bien cela qui rend ma colère joyeuse aujourd'hui, c'est que de Brest à Vladivostok et de Calais à Lampedusa, c'est que le peuple se lève pour dire non à l'invasion de notre continent", a lancé à la foule Olivier Roulier, de Réseau Identitaire. Devant une foule très réactive parcourue de huées et de rires, un slogan était repris: "On est chez nous." L'un des organisateurs de la manifestation, Kevin Rèche, a appelé à évacuer tout squat dans les 48 heures. Selon un journaliste britannique présent sur place, des saluts nazis auraient également été effectués.
Au cours du rassemblement plusieurs personnes ont pris la parole, dont Simone Deldèvre, une Calaisienne qui a annoncé avoir crée l'association "Les Bleuets calaisiens" pour s'occuper des SDF et des pauvres de la ville.
Pour Thomas Joly, du Parti de la France (fondé par Carl Lang, ancien du FN), "l'avenir du monde blanc est remis en cause". "Oui, nous voulons un camp. Un camp d'enfermement et d'expulsion des étrangers vers leurs pays d'origine", a-t-il déclaré, certainement en référence au centre d'accueil de jour pour les migrants qui pourrait resté ouvert.
Il pourrait se trouver dans les locaux d'un centre de loisirs de Calais, qui a accueilli jusqu’à 1.500 migrants par jour. Le centre d'accueil de jour permettrait de regrouper au même endroit notamment la distribution de repas, de vêtements et de soins, ainsi qu'un accès à des douches et à l'eau potable pour les migrants qui errent dans les rues de Calais et dorment dans les dunes.
Un groupe d'une soixantaine de personnes, des antifascistes habillés de noir, a tenté de perturber le rassemblement en tout début d’après-midi avant d'être dispersé par les forces de l'ordre. Face à cette manifestation, des migrants et pro-migrants ont investi un terrain de football pour organiser symboliquement un "Mondial".