Amis, amies,
Le jugement de Cesare va reprendre -et sans doute se terminer- ce jeudi 12, à partir de 17.00 heure de Paris pour ceux qui peuvent brancher leur internet sur TV Justica (Brésil). Nous avons fait du bon travail ces derniers temps à Brasilia, en réalité le plus que nous pouvions, mais l’Italie “repasse” bien entendu derrière nous. Avec toute une délégation de ministres et de chefs de cabinets arrivée au Brésil et qui sera ostensiblement présente dans le public durant le jugement pour mieux exprimer sa pression. Ils sont en principe venus pour signer des quantités de contrats financiers mais ils en profitent pour exiger l’extradition (contre des contrats ?) de Cesare à tout bout de champ et promettre que son emprisonnement ne durera “que 26 ans” et, qu’ensuite, il aura des travaux le jour et dormira en prison la nuit (à 80 ans, c’est un sort enviable). Une honte pure, un scandale innommable.
On rêve encore pour jeudi, dans l’espoir qu’un juge intègre réfléchisse et change d’avis.
Ensuite, il ne nous reste que la Carte Lula, mal assurée, pour des raisons italiennes, toujours.
Malheureusement, Cesare est aspiré dans le syndrome d’abandon de Marina Petrella et n’a pas mangé et dormi depuis treize jours.
A vous tous, avec espoir fondamental,
Le jugement de Cesare va reprendre -et sans doute se terminer- ce jeudi 12, à partir de 17.00 heure de Paris pour ceux qui peuvent brancher leur internet sur TV Justica (Brésil). Nous avons fait du bon travail ces derniers temps à Brasilia, en réalité le plus que nous pouvions, mais l’Italie “repasse” bien entendu derrière nous. Avec toute une délégation de ministres et de chefs de cabinets arrivée au Brésil et qui sera ostensiblement présente dans le public durant le jugement pour mieux exprimer sa pression. Ils sont en principe venus pour signer des quantités de contrats financiers mais ils en profitent pour exiger l’extradition (contre des contrats ?) de Cesare à tout bout de champ et promettre que son emprisonnement ne durera “que 26 ans” et, qu’ensuite, il aura des travaux le jour et dormira en prison la nuit (à 80 ans, c’est un sort enviable). Une honte pure, un scandale innommable.
On rêve encore pour jeudi, dans l’espoir qu’un juge intègre réfléchisse et change d’avis.
Ensuite, il ne nous reste que la Carte Lula, mal assurée, pour des raisons italiennes, toujours.
Malheureusement, Cesare est aspiré dans le syndrome d’abandon de Marina Petrella et n’a pas mangé et dormi depuis treize jours.
A vous tous, avec espoir fondamental,