Source / auteur : Priartem
Avis de l’Afsset sur la téléphonie mobile : une onde de choc !
http://www.hns-info.net/spip.php?article19821
mis en ligne vendredi 16 octobre 2009 par jesusparis
Le nouvel avis de l’Afsset sur la téléphonie mobile rompt avec
l’unanimité de façade scientifique qui a prévalu jusqu’à présent et
invite les pouvoirs publics à agir rapidement notamment en réduisant les
expositions aux ondes électromagnétiques. Les associations se félicitent
de la rupture induite par ce nouvel avis officiel qui ose reconnaître
une incertitude scientifique en matière de téléphonie mobile. De cette
incertitude doit déboucher une application pleine et entière du principe
de précaution qui passe par une baisse des seuils d’exposition aux ondes
électromagnétiques.
Les propositions incluses dans le nouveau rapport de l’Afsset sur la
téléphonie mobile constituent, selon les associations, une véritable
onde de choc qui va modifier fondamentalement l’appréhension du dossier
de la téléphonie mobile en termes de santé publique.
L’Afsset, pour la première fois, considère la téléphonie mobile comme un
domaine « incertain ». Elle souligne « qu’il existe des signaux
suffisants d’effets biologiques et dès lors qu’une exposition
environnementale peut être réduite, cette réduction doit être envisagée,
en particulier par la mise en oeuvre des meilleurs technologies
disponibles à des coûts économiquement acceptables. »
Pour Agir pour l’Environnement et Priartém, cette proposition de
l’Afsset est en droite ligne de ce qu’elles proposaient durant le
Grenelle des ondes sans être entendues par les Ministères. Les
associations appellent donc la Ministre de la Santé et les députés à la
responsabilité et les invitent à agir rapidement notamment en amendant
le projet de loi Grenelle2.
Pour les associations, il est désormais impossible que les pouvoirs
publics soient aux abonnés absents en matière de réduction des
expositions aux radiofréquences.
Les associations Priartém et Agir pour l’Environnement ont été invitées,
en tant qu’observateur, à suivre l’intégralité des débats ayant conduit
à cet avis clairement en rupture avec les expertises passées.
Janine le Clavez
Stéphen Kerkhove
Avis de l’Afsset sur la téléphonie mobile : une onde de choc !
http://www.hns-info.net/spip.php?article19821
mis en ligne vendredi 16 octobre 2009 par jesusparis
Le nouvel avis de l’Afsset sur la téléphonie mobile rompt avec
l’unanimité de façade scientifique qui a prévalu jusqu’à présent et
invite les pouvoirs publics à agir rapidement notamment en réduisant les
expositions aux ondes électromagnétiques. Les associations se félicitent
de la rupture induite par ce nouvel avis officiel qui ose reconnaître
une incertitude scientifique en matière de téléphonie mobile. De cette
incertitude doit déboucher une application pleine et entière du principe
de précaution qui passe par une baisse des seuils d’exposition aux ondes
électromagnétiques.
Les propositions incluses dans le nouveau rapport de l’Afsset sur la
téléphonie mobile constituent, selon les associations, une véritable
onde de choc qui va modifier fondamentalement l’appréhension du dossier
de la téléphonie mobile en termes de santé publique.
L’Afsset, pour la première fois, considère la téléphonie mobile comme un
domaine « incertain ». Elle souligne « qu’il existe des signaux
suffisants d’effets biologiques et dès lors qu’une exposition
environnementale peut être réduite, cette réduction doit être envisagée,
en particulier par la mise en oeuvre des meilleurs technologies
disponibles à des coûts économiquement acceptables. »
Pour Agir pour l’Environnement et Priartém, cette proposition de
l’Afsset est en droite ligne de ce qu’elles proposaient durant le
Grenelle des ondes sans être entendues par les Ministères. Les
associations appellent donc la Ministre de la Santé et les députés à la
responsabilité et les invitent à agir rapidement notamment en amendant
le projet de loi Grenelle2.
Pour les associations, il est désormais impossible que les pouvoirs
publics soient aux abonnés absents en matière de réduction des
expositions aux radiofréquences.
Les associations Priartém et Agir pour l’Environnement ont été invitées,
en tant qu’observateur, à suivre l’intégralité des débats ayant conduit
à cet avis clairement en rupture avec les expertises passées.
Janine le Clavez
Stéphen Kerkhove