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    Message par bye Mar 13 Jan - 18:15

    Le secteur pétrolier secoué à Paris, Goldman Sachs fait encore des siennes
    http://www.boursier.com/actions/actualites/news/le-secteur-petrolier-secoue-a-paris-goldman-sachs-fait-encore-des-siennes-610845.html

    Hier à 10h22
    (Boursier.com) — Les valeurs liées au secteur pétrolier tanguent sur les marchés financiers européens en ce début de semaine. Après avoir provoqué des dégagements marqués depuis le 1er janvier sur les actions, les stratèges de Goldman Sachs sèment cette fois le trouble sur l'or noir. Pour la banque d'affaires américaine, le prix du baril devrait rester durablement faible à cause du boom du pétrole de schiste aux Etats-Unis. Le baril de brut léger américain WTI, qui se négocie ce matin juste au-dessus de 47$ après avoir chuté de moitié au cours des derniers mois, devrait baisser jusqu'à 41$ sous trois mois, selon Goldman Sachs.
    A Paris, tout le compartiment pétrolier accuse le coup... L'expert de la géophysique CGG perd -3%, le spécialiste des tubes sans soudure pour l'industrie pétrolière et gazière Vallourec abandonne -2,8% et le groupe d'ingénierie spécialisé dans le domaine pétrolier Technip, -2,6%. Son homologue Schlumberger accuse un passif de -1,7%. Total résiste mieux, à -0,1%, ce qui n'empêche pas l'action d'avoir cédé 20% en trois mois. Les analystes estiment généralement que les grands groupes intégrés sont moins cycliques que leurs sous-traitants.
    Une situation qui est appelée à durer...
    Dans un monde où le baril vaut 50$, les bénéfices des entreprises parapétrolières seront sévèrement affectés. Canaccord Genuity a réduit ce matin d'environ 15% en moyenne ses anticipations de bénéfices pour 2015, et de 19% ceux de 2016. Du point de vue des sociétés de services à l'industrie pétrolière, il y a deux grosses différences entre ce cycle et celui de 2008 / 2009, explique l'analyste Alex Brooks. D'abord, le marché est médiocre depuis la fin 2013, à cause de surcapacités, de la fin de contrats de long terme à forte marge et de pressions sur les prix dans certains segments, à cause de la chute du pétrole, souligne le spécialiste. En second lieu, il semblerait que le retournement baissier des prix pétroliers sera plus long, voire permanent, et qu'en conséquence, davantage de projets risquent d'être perçus comme non rentables à court ou moyen terme.
    Canaccord Genuity est vendeur sur les entreprises dont les bilans sont les moins sains, Aker Solutions, Fugro, Seadrill ou Transocean. Il demeure "'neutre" sur CGG, valorisé 6,50 euros pièce, et fait de Technip l'une de ses valeurs favorites pour sa solidité ("achat", objectif abaissé de 68 à 65 euros). SBM Offshore, PGS, Amec Foster Wheeler, Petrofac et GMS bénéficient aussi d'une recommandation positive.
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    Message par bye Mar 13 Jan - 18:16

    Goldman Sachs prédit un Brent à 42 dollars d’ici trois mois
    http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese-cotation-action-societe-generale-bourse-paris,XPAR,GLE,FR0000130809,ISIN.html
    12/01/15 à 11:34 - Investir.fr
    Jusqu’où ira la chute ? Lundi, le baril de Brent, qui sert de référence en Europe, a plongé sous les 49 dollars, touchant un nouveau plus bas depuis avril 2009. L’autre référence, le WTI, se négocie désormais autour de 47,50 dollars. Il en valait encore 100 cet été... Le Brent avait, pour sa part, touché un pic à 115,71 dollars à la mi-juin. Cette dégringolade, provoquée par une offre surabondante, une demande faible et le refus des pays de l’Opep à réduire leur production, pourrait ne pas s’arrêter là… Analystes et chartistes ont revu leurs modèles face à cette chute ininterrompue. Et ceux de Goldman Sachs viennent de rendre leurs conclusions : le baril de Brent pourrait tomber à 42 dollars à court terme, entendez dans les trois mois, et à 41 dollars pour la référence américaine. Une fois ces niveaux atteints, alors les membres de l’Opep pourraient enfin se résoudre à abaisser leur production. Ces mêmes niveaux freineraient en outre le boom des projets de pétrole non conventionnels aux Etats-Unis, ajoute Goldman Sachs, qui prédit un rebond sur ce support à partir du second semestre.
    Sur l’ensemble de l’année, la banque d’affaires prédit un niveau moyen de 50,4 dollars pour le Brent, contre 83,75 jusqu’à présent. Soit un coup de rabot de 39,8 %. Pour le brut américain, Goldman Sachs sabre son estimation de 73,75 à 47,15 dollars (- 36 %). En 2016, le premier pourrait remonter en direction des 70 dollars et le second à 65. L’américain n’est pas le seul à ajuster ses cibles. Vendredi, Société Générale a réduit ses prévisions de 15 dollars pour le Brent et de 14 dollars pour le WTI, tablant respectivement sur 55 dollars et 51 dollars.
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    Message par bye Mar 13 Jan - 18:16

    Accélération de la chute des cours du pétrole à Londres et à New York
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/01/12/acceleration-de-la-chute-des-cours-du-petrole-a-londres-et-a-new-york_4554747_3244.html
    Le Monde.fr avec AFP et Reuters | 12.01.2015 à 23h44 • Mis à jour le 13.01.2015 à 09h13
    La dégringolade des cours pétroliers a repris de plus belle lundi 12 janvier à New York et à Londres. Ces derniers ont encore perdu près de 5 %, tombant à leur plus bas niveau depuis près de six ans, après la révision à la baisse des prévisions de cours de la banque Goldman Sachs. Le 6 janvier, le seuil symbolique des 50 dollars le baril avait été franchi sur le marché américain.
    Lire aussi : Trois graphiques pour comprendre la baisse des cours du pétrole
    Ce nouvel accès de faiblesse du marché a également été nourri par la conjonction de pannes dont souffrent les raffineries aux Etats-Unis, qui menacent d'accélérer l'accumulation de stocks de brut.
    Le brent a fini la journée en baisse de 2,68 dollars (– 5,34 %) à 47,43 dollars, son cours de clôture le plus bas depuis mars 2009. Cette baisse, la dixième en douze séances, est l'une des trois plus fortes enregistrées en une seule séance depuis 2011.
    Le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) a quant à lui perdu 2,29 dollars, soit 4,74 %, à 46,07 dollars le baril après un plus-bas à 45,90 dollars, jamais atteint depuis avril 2009. A Londres, le baril de brent de la mer du Nord a clôturé à 47,43 dollars, une première sous le seuil symbolique des 50 dollars depuis le 28 avril 2009.
    EFFONDREMENT DE 60 %
    Goldman Sachs a annoncé lundi avoir fortement abaissé ses prévisions de cours de l'or noir pour cette année, disant s'attendre à voir le brent tomber à 42 dollars le baril d'ici à trois mois, alors qu'il l'attendait auparavant à 80 dollars. Pour Tariq Zahir, de Tyche Capital Advisors, il est désormais difficile de prédire quel niveau pourra assurer un plancher au cours du baril. « Je m'attendais à ce qu'on touche 40 dollars à court terme, mais tout semble se passer plus vite qu'on ne l'imaginait », a-t-il déclaré.
    Au total, le prix du baril s'est effondré de près de 60 % depuis son pic de juin dernier. Et ce mouvement commence à avoir un impact sur la production de pétrole de schiste aux Etats-Unis : le nombre de puits en production au Dakota du Nord est ainsi revenu à son plus bas niveau depuis 2010. Parmi les raisons de cette dégringolade : une offre très abondante, en provenance d'Arabie saoudite notamment, et une demande qui reste atone en raison des mauvaises perspectives économiques mondiales.

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/01/12/acceleration-de-la-chute-des-cours-du-petrole-a-londres-et-a-new-york_4554747_3244.html#R2ODgDiBlq6AF7jL.99
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    Message par bye Mar 13 Jan - 18:17

    Pétrole : les raisons de la chute continue des prix
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/01/06/petrole-les-raisons-de-la-chute-continue-des-prix_4549739_3234.html

    Le Monde.fr | 06.01.2015 à 08h26 • Mis à jour le 06.01.2015 à 17h39 | Par Jean-Michel Bezat

    Le cours du pétrole s'effondre depuis six mois

    Cours du contrat de light sweet crude en dollars à New York
    août 2014sept. 2014oct. 2014nov. 2014déc. 2014jan. 20150 20 40 60 80 100 Bloomberg
    Vidéo suggérée sur le même suje
    Les cours du pétrole et l’avenir de la Grèce font plonger les indices boursiers

    Après six mois de chute, les cours du pétrole sont tombés lundi et pour la première fois depuis presque six ans sous les 50 dollars le baril à New York. Oui, l'inquiétude des investisseurs des marchés sur la surabondance de l'offre pétrolière est toujours bien présente. Le baril de brut léger américain est passé sous les 50 dollars à New York et le baril de pétrole Brent coté à Londres est tombé lui aussi brièvement sous les 53 dollars. L'engagement de l'Arabie saoudite à maintenir un haut niveau de production et le niveau élevé d'extraction de l'or noir en Russie également ont forgé l'opinion des opérateurs. En Europe sur les places boursières, l'indice regroupant les valeurs pétrolières était en forte baisse lundi soir, entraînant dans son sillage les principaux indices boursiers : Francfort -3%, Paris -3,3, Londres -2%, Madrid -3,4 et Milan -4,9%. La forte baisse du pétrole mais aussi - comment l'ignorer - les craintes liées aux prochaines élections grecques, ont fortement pesé sur les valeurs boursières lundi en Europe, l'indice Eurostoxx 50 plongeant lui-même de 3,8% en clôture.
    Cinquante dollars ! Il y a six mois, quel analyste aurait parié sur une dégringolade aussi brutale ? C’est pourtant à ce niveau inconnu depuis le printemps 2009 qu’est tombé le prix du baril d’or noir, lundi 5 janvier, sur le marché de New York, après être passé sous la barre symbolique des 50 dollars en cours de séance et qui poursuivait cette tendance mardi.
    Certains opérateurs n’hésitent plus à envisager des cours tombant à 40 dollars, le niveau atteint dans les semaines qui suivirent la faillite de la banque Lehman Brothers en 2008.
    Tout se conjugue pour maintenir la pression à la baisse. Tout d’abord, l’offre reste surabondante. Et certains éléments récents tendent à montrer que cela ne devrait pas changer avant un petit moment. Par ailleurs, la demande en pétrole devrait rester très modérée au cours du premier semestre, voire au-delà, en raison des médiocres performances économiques de l’Europe et de la Chine.
    Voir : Trois graphiques pour comprendre la baisse des cours du pétrole
    • Records de production en Russie et en Irak
    Alors que l’Arabie saoudite confirme sa volonté de maintenir inchangés ses volumes de pompage, contribuant ainsi à tirer les prix à la baisse, d’autres pays affichent aussi des niveaux de production très élevés.
    C’est le cas de la Russie où, en décembre, la production a atteint un record inégalé depuis la chute de l’URSS en 1991, selon des analystes. Elle devrait poursuivre sur cette tendance en 2015, malgré les sanctions occidentales qui frappent le secteur de l’énergie.
    L’Irak est également en situation de forte croissance de sa production : le pays n’a jamais exporté autant de brut depuis 1980, à la veille de sa guerre avec l’Iran (1980-1988), avec 2,94 millions de barils par jour en décembre, a récemment indiqué Assem Jihad, porte-parole du ministère du pétrole.
    Lire aussi : « Dans la chute des cours du pétrole, l'Arabie saoudite détient les clés du jeu »
    • Les États-Unis assouplissent leurs exportations
    L’administration Obama a autorisé, fin décembre, l’exportation de pétrole brut très léger réclamée par certaines compagnies. Elle a ainsi rompu, partiellement, avec un embargo qui remontait au premier choc pétrolier de 1973.
    Pour certains analystes, ce sont jusqu’à 1 million de barils supplémentaires qui pourraient se déverser sur les marchés.
    • De nouveaux gisements devraient entrer en service
    D’autre pétrole pourrait affluer sur le marché dans les prochains mois. Les majors occidentales ont en effet annoncé l’entrée en production en 2015-2016 de gisements découverts il y a moins de dix ans et développés à grands frais au cours des dernières années au Moyen-Orient, en Caspienne et en Afrique de l’Ouest.
    Ainsi Total a-t-il prévu de porter sa production quotidienne de 2,3 à 2,8 millions de barils entre 2014 et 2017 grâce aux projets en Angola, au Nigeria, au Canada ou en Australie.
    • Des interrogations sur la politique de l’Arabie saoudite
    L’inconnue reste l’Arabie saoudite, où le roi Abdallah, qui a environ 90 ans, est hospitalisé depuis sept jours pour une pneumonie. La transition inquiète les marchés pétroliers.
    On ignore si Ryad maintiendra sa politique actuelle de fermeté et laissera les vannes ouvertes, contribuant à maintenir les prix à un bas niveau. C’est ce que confiait le ministre du pétrole, Ali Al Naïmi, prêt à supporter un baril à 20 dollars, disait-il.

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/01/06/petrole-les-raisons-de-la-chute-continue-des-prix_4549739_3234.html#CoiGVuSryeUylvyc.99
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    Message par bye Mar 13 Jan - 18:18

    La fin de l’ère du pétrole cher
    http://www.elwatan.com//actualite/la-fin-de-l-ere-du-petrole-cher-12-12-2014-281194_109.php

    le 12.12.14 | 10h00

    | © Lyès. H.

    Les prix du baril de pétrole continuent de baisser. Certains prédisent un scénario catastrophe, mais les experts sont unanimes, le scénario de 1986 ne se reproduira pas aujourd’hui.
    Le ministre des Finances, Mohamed Djellab, parle d’un «avertissement», certains économistes de «choc pétrolier», le ministre de l’Energie affirme que ce n’est «pas une crise» et lors de l’ouverture du Sommet nord-africain du pétrole et du gaz, dimanche dernier, le PDG de Sonatrach n’y a pas fait allusion dans son discours face aux experts internationaux et aux représentants des compagnies pétrolières. Le prix du baril de pétrole était de 61,28 dollars hier.
    La baisse continue du cours depuis l’été rappelle à certains les derniers mois de 1985 et le début de l’année 1986, lorsque le cours avait perdu 40% de sa valeur. Pour David McLellan, économiste chez Packers Plus, la situation économique à long terme va devenir problématique : «Il va y avoir moins de revenus pour le pays, ce sera économiquement douloureux. Le risque est que pour compenser, on produise plus d’hydrocarbures, ce qui créera un cercle vicieux, car l’augmentation de l’offre, supérieure à la demande, fera encore plus baisser les prix.»
    Mais cet expert chargé d’évaluer les risques de l’investissement dans le secteur du gaz de schiste ne veut pas faire le parallèle avec les années 1980 : «Les deux crises sont similaires, car elles ont été créées par une offre trop abondante mais dans les années 1980, le prix s’est effondré. Aujourd’hui, c’est la fin du pétrole “très rentable“, mais ce n’est pas la fin du pétrole. Le prix continuera de chuter jusqu’à ce que le coût de l’extraction soit en adéquation avec la demande globale de 93 millions de barils par jour. Même si cela peut chuter pour le moment beaucoup plus bas, je pense qu’on retrouvera une stabilité à 65 ou 75 dollars le
    baril».

    Réserves

    Alors que le FMI estime qu’au vu des dépenses de l’Algérie, un prix du baril satisfaisant pour l’économie du pays devrait être équivalent à 120 dollars, la réduction des revenus va pousser les autorités à devoir réduire la voile. Mais Djemaï Chergui, consultant et ancien cadre chez Sonatrach, pense que l’impact ne sera pas si important : «L’Algérie a pris ses précautions. Les budgets sont faits avec un montant qui laisse une marge. Sur une recette de 130 dollars par exemple, on programme 60-70 dollars dans le budget.» Selon lui, «nos fonds de réserve nous permettent de fonctionner pendant 5 ans».
    La principale différence entre 1986 et la situation actuelle est l’importance des réserves du pays. Aujourd’hui, la dette est quasiment nulle et la disponibilité du Fonds de régulation des recettes était de 5643,2 milliards de dinars en 2013. En 1986, les réserves ne dépassaient pas les 2 milliards de dollars et la dette avoisinait 35 milliards de dollars. Mustapha Mekkideche, vice-président du CNES, estime que la crise est absorbable pendant deux ou trois ans. «Nous ne sommes pas dans la guerre des prix de 1986, mais il faut l’anticiper.»

    Investissements

    Le directeur des hydrocarbures au ministère de l’Energie ainsi que le PDG de Sonatrach ont expliqué, au cours du Sommet, que la priorité numéro un était de trouver de nouveaux gisements. «L’Algérie n’a pas le choix, elle est obligée d’augmenter sa production. Demain, il n’y aura plus rien. On sait que l’Algérie est sous-explorée et il est impératif de faire des découvertes, mais des découvertes économiquement exploitables», explique Mehdi Haroun, avocat chez King et Spalding, un cabinet spécialisé dans l’énergie. Pour cet expert, les effets de la baisse du pétrole doivent être relativisés : «Il y a un effet immédiat aujourd’hui sur les opérations d’acquisition. Par exemple, Dragon Oil qui allait racheter PetroCeltics, et dont l’investissement devait financer le développement d’une exploitation de Aïn Tsila dans la wilaya d’Illizi, a annoncé qu’il ne ferait pas d’offre. Mais il n’y a pas d’impact sur la confiance que les investisseurs ont en l’Algérie.»
    Dans les couloirs du Sheraton, les multinationales comme les experts sont plutôt optimistes. «Les investissements vont être réduits, mais ça ne va pas créer le même désert que dans les années 1980. La demande d’énergie va continuer à augmenter, et tout le monde va continuer à investir dans le secteur. Même si les investisseurs ne gagneront pas des sommes extraordinaires avec un baril à 120 dollars, tout le monde est presque certain d’obtenir de bons retours sur investissement», explique John Hamilton, directeur de Cross-border Information, une entreprise d’expertise économique en Afrique et au Moyent-Orient. Mais, tôt ou tard, la baisse aura un impact sur la population. «Le danger est que les subventions auxquelles les populations ont été habituées ne soient plus soutenables pour les autorités», explique-t-il.
    Réduire les dépenses de l’Etat ne laisse que deux possibilités : réduire les frais de fonctionnement, dont les subventions, ou les investissements. Augmenter le prix de l’essence, du lait, du pain ou réduire la construction de logements sociaux ne semble pas être la solution choisie par le régime aujourd’hui, ce qui inquiète le collectif Nabni et un de ses membres, Slim Othmani : «Un scénario de crise qui consiste à réduire brutalement les importations ou les intrants de production pour freiner la croissance économique a été envisagé il y a quelques années par les autorités. Cela irait à l’encontre des intérêts économiques du pays, c’est une utopie.»

    Au Venezuela, les impôts augmentent

    Fin novembre, Nicolas Maduro, le président du Venezuela, a annoncé une réforme fiscale. Les impôts sur la rente, sur le tabac, sur l’alcool vont augmenter de 10 à 30%, et certaines taxes devront être payées immédiatement et non plus dans un délai de 30 jours. A Caracas, où 90% des revenus des importations proviennent des hydrocarbures, on s’inquiète. Le Président a demandé à l’administration de procéder à un examen des traitements et salaires de tous les employés des ministères, des entreprises publiques, à commencer par lui même et il a ajouté qu’il en attendait «une proposition de réduction substantielle des salaires et traitements de la haute direction, des ministres et ministres délégués, des présidents et vice-présidents des entreprises d’Etat». Pour autant, la subvention sur les prix de l’essence, qui coûte 15 000 millions de dollars à l’Etat vénézuélien chaque
    année, ne sera pas revue. (L. B.)

    Achèvement du forage du puits-pilote d’Ahnet

    Les opérations de forage et de compression du gaz de schiste effectuées dans le puits-pilote d’Ahnet (In Salah) ont été achevées au cours de cette semaine, a affirmé hier le PDG par intérim de Sonatrach, Saîd Sahnoun. «Nous avons déjà terminé, au cours de cette semaine, le forage et la compression, et nous nous apprêtons à tester ce puits-pilote afin de vérifier certains paramètres déterminant (ses capacités) d’exploitation commerciale», a-t-il souligné en marge du forum algéro-britannique sur le commerce et l’investissement à Londres.
    Pour confirmer le potentiel commercial de ces ressources, l’Algérie a besoin de mener un programme de forage de 11 puits, étalés sur une période allant de 7 à 13 ans. Les réserves algériennes sont estimées à 19 800 milliards de mètres cubes, situées essentiellement dans les bassins d’Ahnet, Mouydir, Berkine-Ghadamès, Timimoun, Reggane et de Tindouf. L’exploitation commerciale du gaz de schiste algérien est prévue pour l’année 2022 avec une production avoisinant les 20 milliards de mètres cubes, avait affirmé, dimanche dernier, Saïd Sahnoun lors de son intervention au Sommet nord-africain du pétrole
    et du gaz tenu à Alger. (APS)
    Leïla Beratto

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