par Ego autem semper Lun 28 Déc - 9:47
La crise économique et la politique financière(original proposé dans un forum d'un journal)
La crise financière, des principaux pays du monde, depuis 2007 demande des mesures drastiques de la part des gouvernements.
Dans la communauté européenne, il n'a pas été possible de donner une réponse globale, au phénomène. Est-ce la un problème?
Il y a des conséquences à cette réponse, car il existe une monnaie commune pour un grand nombre des pays, avec des exceptions curieuses, puisque tout le monde sais que l'Angleterre garde sa monnaie, pour quoi?
La politique monétaire doit rester intimement liée au phénomène d'origine monétaire, puisque la monnaie est l'objet du crédit, nous sommes dans l'obligation d'aborder le taux d'intérêt directeur
Voilà un sujet intéressant, nous entrons dans des concepts "dits" compliques?
La politique française, de nous jours obéit à des directives européennes, sous le principe de Jean Bodin, il ne faut pas craindre l'augmentation de la population. Cela reste un principe logique, car des pays très pauvres de cela il y a quelques années, comme la Chine, le Brésil ou l'Inde, se trouvent soudant une compétitivité qui se reflète par une croissance de leurs PIB à deux chiffres.
Une certitude, le parapluie de la communauté économique aurait épargné la France dans les temps qui courent d'une de l'inflation. "L'union fait la force".
Le prix à la consommation et l'inflation vont de pair, en fait en prix en francs la France saurait plus touchée, mais c'est la nouvelle monnaie qui en amortie cette hausse général des prix.
Subsiste une question
Pour quoi la FED abaisse sont taux directeur à des niveaux plus bas que la BCE?
Je suis près à croire que la vitesse avec la quelle circule la monnaie, est une composante clé; et dans cette vision, il y moins de mouvement de monnaie, dans le gargot T (transactions pendant une période)
Alors la FED aurait voulu prendre le risque, d'un coté avec mise en circulation d'une masse monétaire, puis en jouant sur V et sur T dans une équation très connue en économie.
Tandis que la BCE, aurait reste droit dans ces bottes, avec un objectif : éviter l'inflation.
Le risque?
Difficile de parler de récession, quoi qu'il en soit, il y a eu chute boursière, diminution du PIB! Mais dans tout cela les classes populaires, payent le prix fort, perte d'emploi, stress, suicide, sont sans doute liées.
Étant donné que la couverture sociale, prends ses ressources en grande partie sur les prélèvements, imaginons la suite.salutations de Nestor Elias Ramirez Jimenez (gramophone) Joigny lundi 28 décembre 2009