Différence entre TRAVAIL et INVESTISSEMENTPar Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Cereté, Cordoba Colombie, le mardi 19 novembre 2013 à 14:15L'univers des finances fonctionne plutôt par l'instinct, même si l'informatique apporte un support phénoménale. Oui il faut de tout pour faire un monde, l'économie mondialisée, fonctionne de plus en plus supportée par une population, spécialisée dans une manière très curieuse de gagner leur vie.
Un regard le plus impartial, s'impose si nous voulons identifier avec considération ou complaisance des personnes qui si bien prennent des risques, russisent à gagner leur vie d'une manière autre que comment la plus part des citoyens lambda. C'est-à-dire exerçant un métier, une profession où se crée la valeur ajouté.
Il faut tout d'abord tenter de se déposséder de tout sentiment, d'une quelconque jalousie, méfiance ou soupçon. Si nous voulons identifier la différence entre un investisseur et un travailleur lambda de manière plutôt froide et approfondi.
Il est nécessaire de trouver la différence majeur entre ces deux personnes : le travailleur et l'investisseur.
La différence qui saute aux yeux est clé, d'un côté vous trouvé pour
définir un travailleur, comment une personne qui crée de la valeur ajouté.
Tandis que de l'autre vous en trouverait l'individu qui manipule la valeur ajouté, fondamentalement, car certains investisseurs se spécialisent dans le commerce de devises. Il y a nombre de définitions pour la valeur ajouté, tenter de la définir en trois lignes serait absurde et donnerait une image lapidaire. Alors disons que c'est le volume en billets de banque qui fait la différence entre le moment que la matière entre dans une entreprise et le moment en que cette même matière sorte sous une autre forme. Pour que soit présente la valeur ajouté il faut en absolu que s'opère une transformation réelle entre les deux moments, car c'est la transformation en soit qui va créer cette valeur, et d'ailleurs seul le mot transformation peu s’adapter à la définition de travail. Ici certains théoricien ajoutent la notion du temps nécessaire à la transformation.
Le temps et la valeur marchandeLes technologies, l'automatisation, arrivaient avec le temps à modifier la notion de valeur d'échange ou de valeur marchande. Dans la valeur d'échange, une nouvelle notion est indispensable si nous voulons appréhender au mieux ce sujet. Parler de valeur sans conceptualiser avec le temps et la monnaie, n'a pas de sens lorsque nous parlons de création de valeur ajouté.
La monnaieS'il y a un concept dans l'économie qu'est corrompu c'est celui de la monnaie
même avant le 15 août 1971 quand le Président Nixon, réussi à supprimer la valeur en or des billet de banque. Les billets de banque de nous jours deviennent des simples morceaux de papier à la valeur symbolique. Le mouvement monétaire moderne s'opère fondamentalement de manière virtuelle, (un ouvrier est payé, mais parce que dans sont compte bancaire, figure une valeur numérique qui l'autorise à consommer) Nous sommes curieusement toujours dans le terrain de la valeur, justement l'industrie de la finance, ceux même que j'appelle plutôt les sangsues de la finance, qui sont à hauteur de 3 % des gens sur la terre arrivaient à récupérer 90 % du fruit du travail ; de toute évidence il faut faire la différence entre les petits jouer, et cinq grandes groupes financiers de la taille de
GOLMAD SACHS.
Prenons l'exemple de la France c'est à pays de plus de 64 millions d'habitants, mais moins d'un tiers seraient des travailleurs.
Environs 20 millions de personnes en France créent de la valeur ajouté, parce qu'ils échangent leur temps (temps de travail) pour un revenu, où déjà à la base est prélevé (dans la feuille de paye) de plus de 21 %, après il y a d'autres consommateurs, et pas les moindres les mineurs, (les enfants, les étudiants, les personnes au chômage, les retraités)
Vu que le fisc français récupère plus de
49 % des recettes de l'État sous forme de TVA, vu que
25 % des recettes du fisc français arrive de l'impôt sur le revenu. Vous comprenez que 75 % des recettes de la France viennent en priorité du fruit du travail. J'avais il y a quelques années, présenté un graphique disponible sur le lien ci-dessous, où il est montré que la production (transformation de matières et services) mesurent plus de 90 % des recettes de l'État français, tandis que
moins de 10 % de ces mêmes recettes viennent de l'industrie financière.
Adresse pour un graphique des résultats des entreprises par secteur pour l'année 2008 en % du PIB (1022,5 milliard du PIB pour l'année 2008, source INSEE)
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Adresse pour le sujet intitulé « L'économie en image »
http://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
Il est fondamentale de faire la différence entre les poids lourd de l'industrie financière, si vous visionnais
LET'S MAKE MONEY et LA CITY DE LONDRES LES FINANCES EN EAUX TROUBLES, vous allez beaucoup mieux comprendre mon sujet.
Les outilsJe dois avouer avoir lu quelques textes et visionné des documents :
Jean Bodin,
Adams Smith, Edouard Téthreau, Pierre Péan, Antoine Peillon, Joseph E. Stiglitz, Myret Zaki, dans une liste non exhaustive. Avant d'avancer une quelconque opinion.
Cette opinion dans une définition lapidaire s'explique ainsi :Tant qu'il y a injustice et méconnaissance sur la fiscalité, de manière isolé par nations, il auraient des atteintes majeures à l'harmonie sociale. Parce les paradis fiscaux réussiraient sans le moindre mal de permettre à 3 % des gens sur la terre de récupérer dans un maximum d’opacité plus de 90 % des richesses sur la terre.
Les atteintes à l'harmonie sociale, ont lieu parce que le lobby de 3 % des gens de la finance impose à 97 % du reste des personnes, non pas une véritable législation mais un maximum d'opacité ou déréglementation.
Les puissants et la véritéLe pouvoir se trouve en mains des consommateurs, des travailleurs, mais tout est fait pour leur faire croire le contraire. Les chiffres de fiscalité (TVA, impôt sur le revenu) parlent vraie, Les petits jouers, les artisans, les TPE, les PME, par méconnaissance total, tentent en vain de s'adapter.
L'économie réelle, ne pourra JAMAIS être juste, tant que la fiscalité ne le soit pas, Il est impossible qu'un artisan travaillant par fois sept jours par semaine environs 12 heures par jours puisse s’octroyer un revenu modeste qui ne dépassera jamais 50 mille euros. Alors qu'un TRADER réaliserait en quelques heures, trois ou quatre fois cette somme. JAMAIS il sera possible qu'un joueur en bourse type (plus de 90 % des investisseurs) puisse se faire un bénéfice égale au revenu de Lloyd BLANKFEIN environs 60 millions de dollars par an.
C'est pour cela que je crois trop puérile, trop naïfs que des artisans, des entrepreneurs honnêtes, et même des travailleurs, puissent échafauder le moindre plaidoyer valable en faveur d'un système, qui n'est SURTOUT pas démocratique ! Et MOINS ENCORE éthique NI juste.De toute évidence, la société a besoin des banques, mais le rôle des banques, entant qu'entreprise certes doivent faire des bénéfices (attention aux erreurs de gestion des partenaires sociaux, qui pousseraient à la privatisation des banques et de toute entreprise de la fonction publique) ; mais le rôle des banques doit rester celui d'un service, non pas un moyen détourné d'enrichissement par la voie de la spéculation.