De la critique a la sagesse
Samedi 14 aout 2010
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Nous aimons critiquer, par fois de manière très sévère, notre prochain; c'est ainsi que parfois nous construisons notre conscience, de manière directe ou indirecte.
Sur la base de nos appréciations sur l'action des autres, nous pouvons même développer des heures de dialogue.
Certains philosophies et/ou religions enseignent des rudiments du comportement, ces rudiments nous appendent a éviter des excès dans notre jugement.
Critiquer
Lorsqu'un tribunal de justice se trompe sur le jugement d'un délit grave, en imposant une peine de prison de vingt ans, c'est du a une erreur de jugement, l'arbitrage dans l'affrontement des idées des partis en conflit a du faire pencher vers un coté. Est-ce le bon coté?
En apparence critiquer une personne de notre entourage, semble un acte sans conséquence, sans importance ni danger, une manière de passer le temps? Sauf que si la critique est négative, dans notre échange nous apportons de modifications a l'image de la personne ou du fait critiqué.
Critiquer c'est aussi produire
Nous émettons un jugement, qui a valeur de sanction, autant qu'un juge, nous émettons une sanction, non pas vingt ans de prison, mais une modification de l'image, de l'acte ou de la personne ou de la chose jugée.
Critiquer doit nous servir a produire une matière, lorsque l'on produit une matière, celle-ci a une valeur, il n'y a pas que des productions tangibles, des objets qu'auraient de la valeur ajoutée, certains idées, certaines formules aussi ont une grande valeur. Albert Einstein fut un grand fabricant, un scientifique, sa production reste pour autant intangible à l'stade de formules, à l'stade de mathématique.
Dans mon petit texte, je ne cherche pas à arrêter la pratique des commères, ca saurait plus que ridicule illusoire, c'est donner un coup d'épée dans l'eau, avec méthode, je cherche que le lecteur, la lectrice, "changent" leur manière de voir les choses, inutile de croire qu'il faut être très avancé dans le domaine des études, pour être sage, je dis bien SAGE, car la sagesse est acquise, par l'observation, par l'analyse qui est loin de la critique gratuite.
Le but de mon texte est celui de nous apprendre à aimer analyser plus que critiquer, a donner donc de la valeur ajouté a nos observation, plus qu'a des pratiques stériles de commère
La société, évolue, progresse, et son future doit nos intéresser, car l'évolution de la société, son avenir est l'avenir si non pas notre, celui de nos enfants, de nous petits enfants.
Je crois que tout le monde à le pouvoir de raisonner, d'émettre de jugement, et cela me vienne de la lecture du "discours de la méthode" de René Descartes. Lui dis que tout le monde a le pouvoir d'émettre un jugement, et par contre tout le monde n'émet pas nécessairement pas le bon jugement.
Puis il nous preuve qu'il est possible de chercher des réponses, lorsque nous le voulons, il est plus facile de critiquer pour le plaisir de critiquer, sans doute, mais cela reste sans valeur… Comme faire?
Il faut toujours se poser une question simple, POUR QUOI?
La fille là-bas, oui celle de robe verte pomme, elle est grosse, t'a vu comme elle grosse?
Pour quoi?
Est-ce que sa famille a une prépondérance génétique vers cette tendance?
Est-ce que je suis habilité scientifiquement à juger sa forme et la raison de sont état?
Est-c que cette critique là, apporte a mon image de personne sage un plus?
Pour quoi?
Pour quoi je vais critiquer une fille qu'est trop grande ou trop petite ou trop maigre ou grosse, tandis qu'à coté la société a d'autres raisons, situations, faits plus graves qui mériteraient toute mon attention.
Le nombre d'années de cotisation pour avoir le droit a la retraite, est objet de modification pour le gouvernement.
Le juge d'instruction est supprimé, pour quelle raison?
Certaines affaires financières, sont occultées par la stigmatisation des ethnies ou pire d'une personne?