Quelques intervenants :
Fernando Araujo chancelier colombien.
Jose Miguel Insuelza secrétaire de la OEA (Organisation des Etats Américains)
Augusto Ramírez Ocampo ex-chancelier colombien
Elvira Forero directrice de l'Institut de Bienêtre Familial
Consuelo Gonzalez Perdomo (Sénatrice libéré hier)
Il y a une controverse qui vise le fait que les groupes en question ne maitrisent pas o ne contrôlent pas un territoire, et du fait cela ne leurs donne pas le droit à demander l'accès au titre de groupe d'opposition sur le terrain civil et démocratique selon l'affirmation à la télévision de Fernando Araujo chancelier colombien.
Dans d'autres termes, le gouvernement Colombien incite les groupes en armes à continuer le combat pour arriver à obtenir l'autonomie sur une zone géographique à fin d'être candidats à la considération en tant que groupe politique, revendication fondamental des FARC.
Consuelo Gonzalez Perdomo (Sénatrice libéré) affirme que la FARC propose des reformes que l'état n'applique pas. Propositions qu'une fois appliquée feraient sonner la fin de la raison ou philosophie de l'existence de tels groupes.
La Sénatrice confirme que la présence active de l'armée colombienne dans la jungle a été la cause de l'annulation de la libération décidé de manière unilatérale par les FARC. Tandis que le président Uribe affirme dans un discours télévisuel que pendant deux semaines en amont de l'annoce de libération l'armée colombienne n'effectué aucune intervention.
qui ments d'après vous?
Le conflit politique obtient solution dans la recherche de la paix, d'autres organisations en question arrivaient à se libérer de l'image de groupes terroristes signale Daniel Garcia Peña ex-commissaire de paix et montre l'exemple des groupes en Irlande, en Palestine, l'affrontement verbale fait partie de la guerre au-delà du combat dans les montagnes.
Sans aucune doute c'est un triomphe du droit humanitaire et des volontés comment cela du controversé président du Venezuela la libération des deux hottages. Le rôle du président Chavez n'est plus à prouver dans un procès qui ne fait que commencer d'après l'opinion d'Evo Morales, président de Bolivia.
Voilà le commentaire de votre serviteur dans une rubrique intitulé " international " d'un journal français, en date du 31/12/2007 à 13 :36 :03
Sans le moindre doute, l'opportunité pour internationaliser le conflit, doit jouer un rôle dans la situation.
Abstraction faite, nous sommes dans un cadre géographique du quel j'ai vague connaissance, pour avoir circulé dans le département du META, donc la capitale est VILLAVICENCIO, porte métaphoriquement parlant de l'Amazonie colombienne.
Nous parlons d'un territoire de presque 86 mille kilomètres carrés, avec moins de 800 mille habitants. Les fleuves sont nombreux et leur débit très important du à la proximité de la cordillère et donc la pluviométrie reste considérable, et origine d'une hydrographie importante.
(Un lien pour une carte du département étant impossible par cause des règles, voilà mais sur wikipedia vous pouvez taper en espagnol le texte suivant "département de Meta Colombie" pour y trouver plus de détails)
Le lien permet de se faire une idée de l'infrastructure en termes de voies de communication, autant dire que tout déplacement en dehors des voies navigables, reste très lent à pieds, et si nous ajoutons à cela, les difficultés de l'opposition entre les forces armées et les forces d'opposition ? C'est loin de marcher au beau milieu de Paris, Lyon ou Marseille, mais dans une jungle tropicale, où la pluie, la végétation, etc. le sol reste humide et la boue, quelque fois ralenti la progression aussi, s'ouvrir un chemin à la machette est donc une habitude. Par la suite vous pouvez imaginer le temps nécessaire pour les déplacements