La chef de cabinet de la secrétaire d'Etat à la politique de la Ville Fadela Amara, Marie-Christine Blanchard-Amelin, logée dans une HLM de 80m2 pour 420 euros par mois, est prête à payer un surloyer "si la réglementation l'exige", mais n'envisage pas de quitter son appartement.
Selon une information de RTL, celle-ci vit dans une HLM d'une zone urbaine sensible de Boulogne-Billancourt dans les Hauts-de-Seine. Elle avait obtenu cet appartement il y a 23 ans quand elle était fonctionnaire au bas de l'échelle.
Fadela Amara, elle-même, "habite dans un immeuble HLM" dans le XIIIe arrondissement mais elle paye le "prix du marché, comme si elle était dans n'importe quel autre immeuble", a appris l'AFP vendredi auprès de son entourage.
"Je serais prête à payer un surloyer si la réglementation l'exige", a expliqué Marie-Christine Blanchard-Amelin. "Cela fait 30 ans que je vis dans cette cité, j'y ai créé un tissu amical, je ne souhaite pas quitter cette cité, c'est ma vie", a-t-elle déclaré vendredi à RTL. "Je n'ai pas d'états d'âme par rapport à ça. Moi je pense qu'il faut que toutes les couches de la population soient mélangées, de façon à ce qu'on évite les ghettos et qu'on sorte de cette situation qui devient impossible, dans les banlieues par exemple", a-t-elle ajouté.
La chef de cabinet n'envisage pas de démissionner, contrairement à Jean-Paul Bolufer, ex-directeur de cabinet de Christine Boutin, qui y a été contraint à la suite de révélations sur le logement qu'il occupe à bas prix dans le Ve arrondissement de Paris. "200.000 personnes sont dans cette situation", a assuré jeudi l'intéressé.
Selon une information de RTL, celle-ci vit dans une HLM d'une zone urbaine sensible de Boulogne-Billancourt dans les Hauts-de-Seine. Elle avait obtenu cet appartement il y a 23 ans quand elle était fonctionnaire au bas de l'échelle.
Fadela Amara, elle-même, "habite dans un immeuble HLM" dans le XIIIe arrondissement mais elle paye le "prix du marché, comme si elle était dans n'importe quel autre immeuble", a appris l'AFP vendredi auprès de son entourage.
"Pas d'états d'âme"
"Je serais prête à payer un surloyer si la réglementation l'exige", a expliqué Marie-Christine Blanchard-Amelin. "Cela fait 30 ans que je vis dans cette cité, j'y ai créé un tissu amical, je ne souhaite pas quitter cette cité, c'est ma vie", a-t-elle déclaré vendredi à RTL. "Je n'ai pas d'états d'âme par rapport à ça. Moi je pense qu'il faut que toutes les couches de la population soient mélangées, de façon à ce qu'on évite les ghettos et qu'on sorte de cette situation qui devient impossible, dans les banlieues par exemple", a-t-elle ajouté.
La chef de cabinet n'envisage pas de démissionner, contrairement à Jean-Paul Bolufer, ex-directeur de cabinet de Christine Boutin, qui y a été contraint à la suite de révélations sur le logement qu'il occupe à bas prix dans le Ve arrondissement de Paris. "200.000 personnes sont dans cette situation", a assuré jeudi l'intéressé.
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