La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a dit "craindre" en France le "terrorisme d'extrême gauche", qui viendrait s'ajouter, selon elle, aux risques terroristes "d'Al-Qaïda, d'ETA ou de Corse".
Invitée du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro, la ministre a souligné qu'elle réunissait chaque semaine "tous les responsables de la lutte antiterroriste en France pour suivre avec eux les différentes formes de terrorisme, terrorisme islamiste, terrorisme de l'ETA, terrorisme Corse et risques terroristes d'extrême gauche".
A cet égard, elle a mentionné deux interpellations "le 14 et le 16 janvier (qui) nous ont fait arrêter des gens en possession de matériels, de produits, qui peuvent servir à faire des bombes et sur la dernière nous avons trouvé dans la voiture des manuels pour fabriquer des bombes, nous avons trouvé des plans".
S'appuyant sur "leurs déclarations, les papiers qu'ils avaient en leur possession", la ministre a assuré que les quatre personnes interpellées pouvaient être reliées à l'extrême gauche.
"Dans notre histoire, chaque fois que les partis extrêmes sont considérablement affaiblis nous voyons se créer des groupuscules beaucoup plus radicaux qui dans un certains nombre de cas sont passés à l'acte, nous l'avons vu avec les brigades rouges", a estimé la ministre de l'Intérieur.
Aussi "c'est quelque chose que je crains parce que la situation redevient celle-là", a affirmé Michèle Alliot-Marie. "La réalité aujourd'hui est en train de me donner raison : ces groupuscules qui, il y a quelques mois, se contentaient d'invectives et de provocations sont ensuite passés à des cocktails Molotov", a-t-elle conclu.
Invitée du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro, la ministre a souligné qu'elle réunissait chaque semaine "tous les responsables de la lutte antiterroriste en France pour suivre avec eux les différentes formes de terrorisme, terrorisme islamiste, terrorisme de l'ETA, terrorisme Corse et risques terroristes d'extrême gauche".
A cet égard, elle a mentionné deux interpellations "le 14 et le 16 janvier (qui) nous ont fait arrêter des gens en possession de matériels, de produits, qui peuvent servir à faire des bombes et sur la dernière nous avons trouvé dans la voiture des manuels pour fabriquer des bombes, nous avons trouvé des plans".
S'appuyant sur "leurs déclarations, les papiers qu'ils avaient en leur possession", la ministre a assuré que les quatre personnes interpellées pouvaient être reliées à l'extrême gauche.
"Dans notre histoire, chaque fois que les partis extrêmes sont considérablement affaiblis nous voyons se créer des groupuscules beaucoup plus radicaux qui dans un certains nombre de cas sont passés à l'acte, nous l'avons vu avec les brigades rouges", a estimé la ministre de l'Intérieur.
Aussi "c'est quelque chose que je crains parce que la situation redevient celle-là", a affirmé Michèle Alliot-Marie. "La réalité aujourd'hui est en train de me donner raison : ces groupuscules qui, il y a quelques mois, se contentaient d'invectives et de provocations sont ensuite passés à des cocktails Molotov", a-t-elle conclu.