politique d'expultion

Quand un conseiller de Hortefeux "pratique l’insulte raciste"...
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Quand un gars du ministére de la honte insulte les gens

Un haut fonctionnaire du ministère de l’immigration et de l’idéntité nationale est poursuivi pour "injures racistes" par un vigile de supermarché. "Sale Noir !", lui aurait-il dit avant de le menacer de le "renvoyer dans son pays", alors que le vigile appliquait une procédure habituelle de l’enseigne.

Une plainte pour "injures racistes" a été déposée contre le responsable du pôle communication du ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale, Gautier Béranger, apprend-on mercredi 30 avril dans le Canard enchaîné.

Cet adjoint du secrétaire général du ministère Patrick Stefanini, est accusé d’avoir traité de "sale noir" un vigile de l’hypermarché Carrefour Bercy de Charenton (Val-de-Marne) qui appliquait une procédure habituelle de l’enseigne lorsqu’un paiement par chèque excède les 250 euros. "Vous n’avez pas le droit de toucher mes papiers, vous pouvez faire une croix sur votre carrière, c’est moi qui donne les accréditations aux sociétés de gardiennage", se serait emporté Gautier Béranger, selon Le Canard, alors que le vigile emportait ses papiers pour vérification. Et de menacer l’homme de le "renvoyer dans son pays", ce qui selon l’hebdomadaire "serait difficile", le vigile étant Français.

Démenti

Soutenu par des employés et des clients qui lui proposent alors de témoigner, l’insulté a déposé plainte au commissariat du XIIème arrondissement parisien tout proche. Gautier Béranger nie pourtant les faits rapportés. "Impossible !" dit-il au Canard enchaîné. "J’ai discuté très gentiment avec un monsieur fort sympathique d’ailleurs, je me suis inquiété de savoir où il partait avec mes papiers et lui m’a demandé où je travaillais" assure le conseiller.

Un fonctionnaire du ministère de l’Immigration accusé de racisme

Par La rédaction du Post , le 30/04/2008

Un vigile de supermarché aurait porté plainte contre lui pour "injures racistes", ce qu’il nie en bloc.

C’est quoi cette histoire ?

C’est Le Canard Enchaîné qui rapporte cette histoire. D’après le journal satirique, tout débute le samedi 26 avril, à la caisse d’un supermarché, à Charenton (Val-de-Marne).

Le responsable communication du ministère de l’Immigration fait ses courses. Comme il devait payer plus de 250 €, un vigile lui aurait demandé de présenter une pièce d’identité. Cela n’aurait pas plu au fonctionnaire du ministère, qui s’en serait alors pris verbalement à ce vigile.

Qu’aurait dit le fonctionnaire du ministère de l’Immigration au vigile ?

D’après Le Canard Enchaîné, le fonctionnaire se serait emporté en déclarant : "Sale noir ! Vous n’avez pas le droit de toucher mes papiers, vous pouvez faire une croix sur votre carrière, c’est moi qui donne les accréditations aux sociétés de gardiennage !", avant de le menacer le vigile de le "renvoyer dans son pays". Difficile : il serait français, selon Le Canard Enchaîné...

Suite à cet épisode, le vigile du supermarché aurait porté plainte pour "injures racistes" au commissariat du XIIe arrondissement de Paris, selon le journal satirique.

Mais le fonctionnaire du ministère de l’Immigration nie en bloc ces accusations.

Contacté par Le Canard Enchaîné, il se serait montré surpris d’apprendre que le vigile aurait porté plainte contre lui pour "injures racistes", avant de raconter une autre version : "J’ai discuté très gentiment avec un monsieur fort sympathique d’ailleurs, je me suis juste inquiété de savoir où il partait avec mes papiers et lui m’a demandé où je travaillais", aurait-il assuré au Canard Enchaîné.

(Source : Le Canard Enchaîné)

Il me semble que dans le contexte actuel, le retour au c'était bien avant, de la crise économique, de la questions sur l'appartenance et pour finir la création d'un ministère de l'immigration et de l'identité nationale (le simple fait de l'association des deux mots) permet de comprendre le retour en arrière.

Car il est évident autant dans les discours, que dans les actes que le doute de la mondialisation en particulier, produit un effet de retour sur soi et d'analyse de l'autre en fonction de son éducation et de son alterité.

Alterité:

L'altérité implique une relation laïque, accueillante, qui s'associe au métissage des cultures, éloignée de la notion de tolérance. L'altérité est étroitement liée à la conscience de la relation aux autres en tant qu'ils sont différents et ont besoin d'être reconnus dans leur droit d'être eux-mêmes et différents.
L’altérité est un témoignage de compréhension de la particularité de chacun, hors normalisation, individuellement ou en groupe.
L'altérité est une attitude développée en .


C'est aujourd'hui ce qui est un fait, mais dont simplement l'analyse du facteur de décolonisation (qui date de 1965 a peu près) permet de comprendre qu'un format correspondant a cette période et est toujours existant.

40 ans, ce qui est soit explique aussi le vote de 2007 par le biais d'une idéologie qui a conçut le ministère de "l'immigration et l'identité nationale".

Ou comment souhaiter définir l'identité d'un pays qui a de multiples identités.


Ce qui explique par le fait, le discour de Dakar, les allusions et sous entendus qui aujourd'hui permettent donc d'avoir une idée sur la situation et objectivement sur les pratiques.

Lorsque l'on accepte le fait que 75% des employeurs déclarent discriminés et 66% des RH, vous pouvez donc imaginer la question de l'idéologie qu'il peut y avoir derrière.


Je pense aussi qu'il est important de détacher la notion de communeauté a la simple perception de l'oeil ou de l'interprétation, mais de ce qui peut rassembler les gens, les idées, les concepts, les partages.


Bref construire une histoire commune dont le révèlateur sera sans doute l'image dans les médias.

Pour le moment, il y a un blocage ethnique qui lorsque l'on voyage est plus fort en france que dans les autres pays.

Les autres pays sont souvent devant la xénophobie, nous sommes dans le racisme.

C'est aussi une différence de taille, que le discour de dakar est un lapsus révèleur sur ce sujet.

Ce discour est empreint d'une idéologie encore spécifique a la france puisqu'il est possible d'avoir un président capable d'avoir un tel discour, en Afrique!!!!!!!!


Mais plus loin, le danger est dans le fait des pratiques de retour que se produiront manifestement a la fin de cette période.


C'est mécanique, voir logique et surtout contre productif, mais cependant l'humain a malheureusement la difficultées a pouvoir percevoir dans le temps, autant les discours que les actes (même si a la base un président doit être le premier a avoir cette dimension).

L'alterité des personnes a bougés, je pense même que conceptuellement, il n'est plus possible d'oublier, car il est évident que l'atmosphère et les témoignages des personnes par exemple ayant véçu la fin du colonialisme indique qu'il y a un retour de ces valeurs.....



En sachant aujourd'hui le mélange culturel devant lesquels nous sommes de manière innéluctable, les dégâts sont et seront
sans aucun doute inscrit sur plusieurs générations.

(ce qui est déja le cas quand vous appartenez a la diversité, mais qui est en train de se généraliser.



La clef demeure l'europe, car 27 pays, X régions, X modes de vies, X pensées et phylosophies permet d'affirmer que l'alterité est possible en europe, avec le respect qui va avec.


Je suis de ceux qui ont passé le cap, et n'attendent rien puisque sachant le véçu, mais plus loin afin de protèger les enfants métisses, mécaniquement les parents feront de façon a inscrire la défiance de l'autorité et de l'état comme la première valeur et non plus liberté égalité fraternité.

Car tout le monde sait a présent, autant par ailleur en europe qu'en france.


Il est important que ces mécanismes soient analysés en dehors de la couleur et l'ethnie, mais en face de ceux qui prennent les décisions, car il faut assumer une idéologies et les actes qui vont avec.


Mais actuellement le plus gros danger, n'est pas l'acculturation, mais la déculturation.

Acculturation: (c'est aussi l'europe)

L'acculturation, qui englobe les processus dynamiques par lesquels une société évolue au contact d'une autre, empruntant et adoptant des éléments de sa culture.


La déculturation:

La déculturation est une perte de toutes les valeurs de référence, sans assimilation en contre partie de celles des autres. Elle touche les sociétés les plus archaïques, les plus vulnérables (ce qui en soit pour la culture française est le cas des années 2000.


Ce qui me semble être le scénario a venir.


Et ceci n'a pas de rapport avec l'étranger, mais avec un eugénisme culturel et le refus d'accepter le multiculturalisme.

Car la mondialisation, ne peut être sans multiculturalisme.