Bettina a écrit: Anarc a écrit:j'aimerais ne plus figurer sur le réseau et que soit retiré mon profil, mon état dans le tableau des membres,..
Merci
Pas de souci. Vous pouviez supprimer vous-même votre profil. Mais je le fais de suite.
De rien.
Bonjour Bettina,
Je parcours de bon matin le Forum. Et je viens de voir ce qui s’est produit avec ce Anarc. J’ai relu plus d’une fois le contenu de votre désaccord sur le forum religion, ses interventions sur le forum philosophie et maintenant je vois sa décision finale ici. Et je ne peux en conclure qu’une chose : voilà un type qui n’avait rien à faire dans un Forum qui porte pour titre Libre Discussion et qui a pour slogan : parler librement sur des sujets divers qui nous tiennent à cœur.
Je remercie mes amis Rabasse du Sud et Aissachris d’avoir su voir la prétention de cet énergumène et de t’avoir soutenu face à ses invectives. Son agressivité qu'il a retourné contre toi, je la prends également contre moi et contre nous tous ici d'autant qu'il insultait tous les forumeurs par la forme de son expression.
Cet homme affecte de montrer son savoir (merci d’avoir montré à ce pédant comment on écrit : Nietzsche) et n’a pas supporté qu’une jeune femme de 21 ans lui apporte une contradiction. Avouant lui-même, je cite : “Ce que tu as pu prendre pour du fanatisme était dû à de l'énervement devant tes propres affirmations… ta propre logique.” Il réclame son droit de s’exprimer librement, d’avoir ses conceptions, ses interprétations ; et le fait sur une tonalité qui laisse entrevoir que c’est un cuistre. Mais qu’une personne lui oppose son sentiment, sa logique, il s’outrage, perd sa maitrise et montre ainsi son vrai visage. Il a même l’outrecuidance de vouloir t’imposer ce que tu dois lui dire, je le cite : “Ce que tu aurais dû faire, c'est plutôt creuser l'intérieur de ce que tu crois.”
Mais il ne s’arrête pas là. Il dévoile son indélicatesse en révélant une discussion privée. Je cite toujours : “Ce n'est pas le sens du message perso que tu m'as adressé ce matin, lorsque je voulais déjà partir, suite à des propos que j'avais (déjà) trouvés légers, ou lourds !” Voilà qui devrait d’ailleurs montrer à chaque forumeur à quel point ce vaniteux nous prenait pour des ignares ! A ce sujet, j’aimerais te remercier sincèrement de ne pas avoir volontairement (j’en suis convaincu, connaissant ta discrétion) ce point. Cela nous prouve, si besoin était, que nous pouvons te faire confiance quant à la confidentialité de ce que l’on peut te dire en messagerie privée.
On aurait pu penser que l’histoire s’arrêtait là, qu’il accepterait son erreur sur la mauvaise interprétation de tes propos, qu’il assumerait de s'être emporté de manière peu digne en s’excusant ou alors en tournant la page. Mais c’était trop attendre de ce suffisant.
Il te poursuit sur le forum philosophie où tu nous montres les balbutiements de l’anarchisme. Et là encore témoigne avec emphatique, que ce n’est qu’un vaniteux. Voulant nous prouver sa grandeur d’âme, il s’impose comme un chevalier servant pour femmes en détresse, mais ne peut s’empêcher de le faire avec ostentation. Et a de plus l’arrogance de penser que ce serait à cette occasion qu’il aurait été contacté pour participer au Forum. Il dénigre à ce Forum sa tonalité ouverte, libre, alors qu’il est intolérant à l’égard des idées qui ne sont pas les siennes et fermé à tout débat qui n’irait pas dans son sens, ou a des personnes qui n’auraient pas lu Nietzsche.
Preuve s’il en était besoin de l’étroitesse de son esprit, il veut faire je cite “verrouiller un peu mieux, l'accès des messageries”. Quel personnage, épris de liberté, d’ouverture d’esprit aurait pu utiliser ce genre d’expression et aurait eu cette mesquinerie ?
Il feint ensuite de tenter une explication à son attitude : “hier soir, des propos d'une rare intensité, d'une rare violence ont été tenus, auxquels j'ai largement participé.” Alors qu’il est l’unique personne qui est utilisé des propos d’une rare intensité et violence. Il affirme ne pas se reconnaitre, dire que ce n’était pas lui, ce qu’on aurait pu croire, bien qu’il sous-entende que nous sommes responsables de ses états d’âme. Mais achève par “nous n'avons plus rien, dorénavant, à nous lire.” Confirmant par-là même son caractère borné et exigu.
Il demande à s’en aller, demande à ce que son pseudonyme n’apparaisse plus dans la liste des membres : bien lui en a prit ; nous n’avons absolument pas besoin d’un personnage aussi médiocre parmi nous.
J’achèverais ici par une de ses phrases “Ce sont des gamineries dignes du Net” dont il est le parfait illustrateur.
Merci Bettina.