UNE GUERRE A MORT
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V.O. in French
NOTES HISTORIQUES DE LA VIOLENCE HUMAINE
LA VIOLENCE NORMALISÉE PAR INTERNET
LA LEGITIMITE DE LA VIOLENCE
SUR LA SUPPOSEE THEORIE DE AYN RAND
L’humanité toute entière est un train de vivre une guerre avec des niveaux de violence sans nom. Hors le système globalisé est conçu pour rendre naturel toute sorte de crime, même le génocide. Ici dessous, en quelques lignes, je vais évoquer par des preuves, sans possibilité de réfutation une réalité qui reste plus sanguinaire de ce qu’elle a l’air.
NOTES HISTORIQUES DE LA VIOLENCE HUMAINE
La violence est devenue depuis peu un sujet important pour les historiens ainsi que pour les archéologues. De nouvelles recherches modifient désormais notre appréciation de l’extension de la violence dans l’ancien Proche-Orient, même si les violences de genre, familiales et professionnelles restent encore le plus souvent silencieuses.
Fabriquées en terre cuite, parfois découvertes dans une jarre (donc préparées à l’avance et stockées), elles sont une arme terriblement efficace. L’histoire des massacres commence au Paléolithique moyen (35.000-15.000 av. J.-C.), lorsque dans la grotte de Shanidar, un homme a été blessé à une côte. Mais c’est à partir du Néolithique Précéramique A-B que les cas de mort violente deviennent plus fréquents. Entre le Néolithique Précéramique A-B et le Néolithique tardif (9000-6000 av J.-C.), 33 sites situés entre l’Anatolie méridionale et le Levant du Sud témoignent de blessures sur des squelettes, sous la forme de coupures, de matériaux fixés dans les os, de fractures squelettiques, en particulier crâniennes. À Tell Brak, les fouilles ont permis de découvrir trois fosses communes et un atelier de scalps datant de la première moitié du IVe millénaire av. J.-C.
D'un point de vue archéologique, trois sont les domaines où cette violence a pu apparaître, en dehors des vestiges architecturaux de fortifications : découverte de nombreuses armes et de massacres, destruction de monuments, représentation de scènes de bousculade. Les balles à fronde se retrouvent depuis le Néolithique jusqu'au Ier moulin. AVANT J C. (source : Violence in Mesopotamia – Sociétés humaines du Proche-Orient ancien (hypotheses.org)
Des nombreuses ruines, éparpillés par tout dans le monde présentent une similitude, ce sont des fortifications, et les premières peut-être seraient celles de Jerico en Cisjournanie qui datent entre 9000 et 8000 ans avant notre ère, la muraille de Chine donc la construction aurait duré entre 475 av. J.-C. - 221 av. J. C. sont des témoignages de la violence, car construire une telle œuvre implique un effort monumental à l’hauteur des enjeux.
Déjà au 3ème millénaire avant J. C. il y a eu une concurrence accrue pour les ressources, en particulier pour les ressources agricoles de la Basse Mésopotamie, ce qui a encore intensifié les affrontements armés. Un bon exemple de cette situation se trouve dans les combats continus qui ont eu lieu entre les villes sumériennes de Lagaš et Umma au 25ème siècle avant J. C., conflits immortalisés dans la soi-disant Stèle des Vautours. C’est de là où nous avons de nous jours les premiers vestiges d’armes en Bronze environs 330 ans avant J. C.
Mais lorsque nous parlons de guerre, il faut aussi aborder la possibilité d’un accord de trêve, voir de solutions cherchant à éviter une fin tragique, c’est donc déjà entre 1600 et 1200 ans avant J. C. que sont trouvés des vestiges des accords de paix, des traités entre les différents peuples, c’est pour ainsi dire la forme ancestrale, ou les germes de ce qu’aujourd’hui nous appelons ; les relations diplomatiques, qui cherchent la non-agression ou la paix. En histoire à la U nous apprenons un peu sur les dites tablettes d’argile des Hittites.
Une preuve majeure de la violence dans l’histoire, est supportée par les engins de siège Romains, sans lesquels, l’empire n’aurait pas arrivé à coloniser autant de surface lui permettant de devenir un des plus grands empires connus dans l’histoire de l’humanité.
Rome avait naturellement une armée dès ses débuts en tant que village sur les rives du Tibre. Au début, il se composait du roi, de ses gardes du corps et de ses serviteurs, ainsi que des membres des groupes claniques vivant dans la ville et son maigre territoire. L'armée comprenait à la fois de l'infanterie et de la cavalerie. Les découvertes archéologiques de Rome et des environs suggèrent des boucliers circulaires ou ovales, des corsets de cuir avec des pectoraux en métal protégeant le cœur et la poitrine et des casques coniques en bronze. Il faut cependant souligner d’emblée que nous disposons de très peu de preuves solides de l’organisation de la première armée romaine.
L’histoire de l’humanité nous montre que l’homme a été pour toujours un prédateur, et même avant que l’homme deviens sédentaire, il aurait sans doute existé des conflits à mort entre les plus forts, pour un tas de raisons, pour une proie, pour un territoire favorable à la chasse, etc. Pour certains érudits il est considéré le passage de la vie de nomade à sédentaire, non pas comment un fait unique avec une seule date mais évidement un procès très complexe et évidement long dans le temps pendant une période étendue de l’histoire humaine. C’est dont entre 10 000 et 4 000 ans avant J. C. qu’il se parle de la révolution Néolithique, où l’humanité abandonne la vie de nomade. Pour Jean Jacques Rousseaux c’est alors qui naisse l’exploitation de l’homme pour l’homme. Mais sans doute pendant l’époque des nomades, il y avait déjà des gens plus forts qui exerçaient de toute sa force la dominations d’autres humains, sans doute avec sévice, abus sexuel et toute sorte de formes de esclavage pas encore répertoriés par absence de vestiges anthropologiques
Le procès donc où l’humanité deviens sédentaire, favorise le développement de l’agriculture, la créations des communautés, avec bien évidement une persécution directe dans l’évolution des langues, des mœurs, et en fin de la culture. Pour arriver à même parler du début de la civilisation ; Sans que pour autant que l’esprit de guerre disparaisse de la conscience humaine.
Aujourd’hui la vie humaine, deviens secondaire, dans la course à l’enrichissement accéléré, voulu, par une partie de l’humanité, celons l’organisation anglaise OXFAM, nous pourrions parler de moins de un pour cent (1%) de la population qui réussie a s’approprier de plus de deux tiers du fruit du travail de l’humanité. Dans les travaux de Thomas Piketty, Monique Pinçon-Charlot, Frédéric Lordon entre autres, comment Joseph Stiglitz ou David Card les deux prix Nobel d’économie, ainsi que le travail de l’anglais John Christensen, nous trouvons la cause fondamentale de nombreux conflits encore présents dans l’histoire contemporaine hélas. Il faut croire qu’il est difficile d’enlever de la psychologie humaine, l’envie de sang des autres. Bien qu’il est probable que des guerres puissent être présentés comment la conséquence d’une opposition idéologique, les confrontations auraient toujours, un fond de géopolitique où c’est des intérêts économiques et l’ambition expansionniste qui priment.
LA VIOLENCE NORMALISÉE PAR INTERNET
Il y a des difficultés épistémologiques pour affirmer que les jeux et l’internet auraient une implication dans la normalisation de la violence, comment il y avait dans les années cinquante aux états Unis cette difficulté a admettre les dommages causés par la télévision sur les résultats des étudiants universitaires.
Ma vieille rengaine de que les jeux sur internet étant violents, ajouté au fait que les parents oublient de contrôler leurs enfants ; et en soit un catalyseur du développement de la violence, finira un jours pour me donner raison.
C’est simplement considérant les travaux d’Ivant Plavlov, Jean Piaget, B. F. Skinner entre autres, que nous pouvons déduire que des adolescents, renfermés dans leur chambre, une fois qu’ils sont accrus au jeux, par l’exposition continue à cette violence, qui prolifère par le biais des jeux dédiés exclusivement à toutes les formes connues et imaginables de violence ; vont conditionné celui qui joue a la normalisation de la violence.
Sous le contrôle des travaux des spécialistes cités dans le paragraphe ci-dessus, il y a nécessairement plusieurs effets sur le comportement des joueurs, d’autant plus que le cerveau des enfants de moins de huit ans sont déjà exposés, donc «conditionnées » à adopter des comportements éminemment très violents, il faut admettre que l’enfant introduit dans sont cerveau, donc dans sont comportement nécessairement une partie importante du contenu violent des jeux aux quels il passe des heures a jouer. À un moment donnée, en devenant adulte, il pourra être tout simplement un « soldat dormant » pouvant être exploité par des leaders à des fins terroristes.
Au fait se facilité un endoctrinement qui renforce les croyances déjà existantes et, dans certains cas, normaliser des attitudes violentes au sein de communautés en ligne.
Une autre forme de normalisation de la violence par le biais de l’évolution des technologies, est la cybercriminalité, qui deviens du fait une autre forme « normale » de violence, il est donc banale trouver que des criminels, réussissent à contourner ou détourner la protection informatique d’une entreprise, même dédiée à la santé, tel un centre hospitalier, sans parler de la multitude d’arnaques et autres délits du genre contre les comptes bancaires.
Fait partie aussi de la normalisation de la violence, par le biais de l’internet la diffusion d’idéologies extrémistes, puisque via les réseaux sociaux sont diffusées des consignes, des messages, de la pédagogie et la publicité de toute sorte de groupe idéologique, religieux ainsi que groupes avec une large listes de passions communes.
Il y a nécessairement une violence normalisée par effet de contagion, qui trouve un terrain fraîchement préparé dans le cerveau des nouvelles générations, generations donc déjà désensibilisées et facile de contagion.
Il est évident que les réseaux sociaux sont juste un facteur parmi bien d’autres qui contribue a la normalisation de tas de formes de violence.
Les réponses à ces problématiques sont souvent des efforts depuis l’éducation (L’état) pour sensibiliser, éduquer et promouvoir des comportements en ligne sains.
LA LEGITIMITE DE LA VIOLENCE
La violence historique, normalisée par la presse et l’internet est directement responsable de la mort des plus frêles, qui sont d’ailleurs les grandes majorités, démontre avec la mort des gens tel que survenu en Colombie, où il est estimé que la législation qu’aura installé un service de santé «privatisé » d’une manière très particulière puisque l’état transfère le budget à «simples intermédiaires » qui sans aucun contrôle, avec l’argent des assurés, font du commerce du tout genre, depuis l’investissent dans d’autres domaines, jusqu’à la création de toute pièce des prestataires de service. Là où le service avait plus de cent cinquante Entreprises dédiées à l’origine aux transfert du budget aujourd’hui il ne restent en Colombie même as trente en état de fonctionner, même si dans une croissante il faut une figure juridique, depuis les tribunaux appelée «toutela » pour que les assurés puissent recevoir une indemnisation, ou une prestation du service que d’office devraient recevoir.
Les articles 46, 47 et 48 de la reforme à la santé de l’année 2023, auraient été, modifiés de la sorte que les contrats, les licitations, continuent à être dans les mains de la classe politique transactionnelle. Fait qui vienne affaiblir l’efficience de la réforme.
Pour conclure nous allons confronter la réalité de l’histoire de l’humanité avec les théories, où depuis une hypothèse valide le rationalisme, se fondent des principes fallacieux. Le rationalisme ne pourrait pas être objectif, la raison en tant que concept n’étant pas mesurable par aucune machine, n’est pas une unité quelconque, pour parler de rationalité dans le comportement humain, il serait nécessaire, que l’acquisition de connaissances et la prise de décisions soient semblables parmi les êtres humains. Hors l’acquisition des concepts pour chaque être est différente et va dépendre d’une alchimie complexe entre l’individu et l’environnement
SUR LA SUPPOSEE THEORIE DE AYN RAND
Il y a donc pas possibilité d’installer comment base d’une idéologie le rationalisme, pour de surcroît la nommer objectivisme, par contre pour la même base idéologique, lorsque nous parlons de l’individualisme, celui-ci, ne réussi à transcender même pas le seuil du matérialisme dialectique, déjà parce que l’individu n’existe que s’il y a une communauté, (Pour pédagogie, le nombre un est acquis dans la raison humaine que parce qu’il y a un zéro et un deux).
L’unicité de linguistique naisse exclusivement parce qu’il y au moins un emmerdeur et un récepteur, sans quoi tout simplement il n’y pas possibilité aucune de langage. D’ailleurs la notion de commerce pour simple qu’il puisse paraître exige parce qu’il y une société. (pour être pédagogique, je ne pourrait prospérer dans le commerce sans la présence de la société de consommation)
L’égoïsme, des libertaires ou des anarchistes que d’ailleurs sont supportés par des principes vieux depuis Vincent de Gournay et Jean Baptiste Say (avec toutes les formes de libéralisme) est supporté pour une argumentation bien trop frêle, pour arriver à prendre les idées libertaires, pour une idéologie, digne de crédit.
Il est connu dans le discours des sociologues et certains économistes dans la ligne de Stiglitz que personne pourra inclure dans la ligne de code d’un programme, (un logarithme) des équations que puissent ressembler de prêt ou de loin à une équation étique, fait qui balaye du revers de la main, tout intention de supporter une quelconque théorie sur une « supposée » objectivité étique.
Pour ce qu’est de l’individualisme politique, c’est seul la conséquence directe du népotisme et d’ hegémonies séculaires, pour terminer avec les bases profondes des idées qui sont le support « grandieux » des libertaires et anarchistes, Ayn Rand se trompe en absolu, dans la vision d’un individualisme épistémologique, puisque en soit l’épistémè reste déjà un ensemble, de connaissances, propres à une « société » à des années lumière d’un quelconque individualisme.
L’altruisme ne peu pas être irrationnel ; puisqu’il est profondément enraciné dans la pensée humaine, Aristote avance l’importance de l’amitié, de la bienveillance dans le développement des vertus, pour arriver à la conception occidental de l’étique moderne. Bien que le matérialisme dialectique à la base s’écarte des principes chrétiens, la charité aura dépassé la religion. L’intérêt dans le crédit va à l’encontre de l’altruisme, car en réalité il y a une monétisation des besoin des autres. Justement cette monétisation permet au système bancaire de vivre en grande partie du crédit, et plus particulièrement du crédit institutionnel.
Il y a une erreur grossier d’interprétation de la notion d’utilitarisme car c’est grâce aux progrès des lois et de l’éducation,
L'utilitarisme vise en effet un idéal social et politique dans lequel, grâce au progrès des lois et de l'éducation, il ne serait plus indispensable de sacrifier son bonheur pour celui des autres. Car l’utilitarisme passe par la thèse initiale du progrès des lois et de l’éducation avec ses conséquences majeures sur la culture « d’une société » a force menant à l’évolution des lois et normes, nécessairement en faveur des majorités de la population dans une société éloignée des maladies telles que hégémonie et népotisme, qui sont que ça soit dit au passage le terrain fertile de la corruption. C’est évident que dans une société idéal il y a dans la protection sociale intégrale la protection d’office des droits individuels, qui conduit mécaniquement au changement exactitude en vers les minorités, les gens différents à nous, les minorités ethniques etc., au fait une vision altruiste nous éloigne carrément de thèses de l’extrême droite comment l’eugénisme, la xénophobie, les libertaires autant que les anarchistes, les ultralibéraux, sont en synthèses une population, que si bien, auraient réussi en Argentine en 2023 à installer un président, ne sont pas moins des individus, sans un fond solide, valide de leurs principes, ce sont des élites politiques, qui réussissent à convaincre des pauvres travailleurs, des chromeurs, contre cela, je cherche depuis mon très humble niveau à lutter de toutes mes forces.
Fait à Cunare Caqueta en Colombie le 10 décembre 2023 , par Nick Ravise (sur Facebook) @gramophonefr (sur Twitter)
Traducción al Español
GUERRA A MUERTE : CONTRA LAS IDEAS DE AYN RAND
Toda la humanidad está viviendo una guerra con niveles de violencia indescriptibles. Sin embargo, el sistema globalizado está diseñado para hacer que todo tipo de delitos, incluso el genocidio, sean naturales. A continuación, en unas pocas líneas, evocaré a través de pruebas, sin posibilidad de refutación, una realidad que sigue siendo más sanguinaria de lo que parece.
NOTAS HISTÓRICAS SOBRE LA VIOLENCIA HUMANA
La violencia se ha convertido recientemente en un tema importante tanto para historiadores como para arqueólogos. Nuevas investigaciones están cambiando nuestra evaluación de la propagación de la violencia en el antiguo Medio Oriente, incluso si la violencia de género, familiar y profesional sigue siendo mayoritariamente silenciosa.
Hechos de terracota, a veces encontrados en un frasco (por lo tanto preparados de antemano y almacenados), son un arma terriblemente eficaz. La historia de las masacres comienza en el Paleolítico Medio (35.000-15.000 a.C.), cuando en la cueva de Shanidar, un hombre resultó herido en una costilla. Pero es a partir del Neolítico Precerámico A-B cuando los casos de muerte violenta se vuelven más frecuentes. Entre el Neolítico Precerámico A-B y el Neolítico tardío (9000-6000 aC), 33 yacimientos situados entre el sur de Anatolia y el sur de Levante dan testimonio de lesiones en los esqueletos, en forma de cortes, de materiales fijos en los huesos, fracturas esqueléticas, especialmente craneales fracturas. En Tell Brak, las excavaciones revelaron tres fosas comunes y un taller de cuero cabelludo que data de la primera mitad del IV milenio antes de Cristo.
Desde el punto de vista arqueológico, tres son los ámbitos donde podría haber aparecido esta violencia, además de los restos arquitectónicos de fortificaciones: descubrimiento numerosas armas y masacres, destrucción de monumentos, representación de escenas de estampidas. Las bolas de tirachinas se encuentran desde el Neolítico hasta el primer milenio. BC (fuente: Violencia en Mesopotamia – Sociedades humanas del antiguo Cercano Oriente (hypotheses.org)
Las numerosas ruinas, esparcidas por todo el mundo, tienen una similitud, son fortificaciones, las primeras quizás serían las de Jericó en Cisjordania que datan entre 9000 y 8000 años antes de nuestra era, la muralla de China por tanto la la construcción habría durado entre el 475 a.C. - 221 a.C. J. C. son testimonios de violencia, porque construir una obra así implica un esfuerzo monumental igual en importancia a lo que está en juego.
Ya en el tercer milenio a. C. hubo una mayor competencia por los recursos, particularmente por los recursos agrícolas de la Baja Mesopotamia, lo que intensificó aún más los enfrentamientos armados. Un buen ejemplo de esta situación lo podemos encontrar en los continuos combates que tuvieron lugar entre las ciudades sumerias de Lagaš y Umma en el siglo XXIV a.C., conflictos inmortalizados en la llamada Estela del Buitre. Aquí es donde tenemos hoy los primeros vestigios de armas de bronce de alrededor del año 330 a.C.
Pero cuando hablamos de guerra, también debemos abordar la posibilidad de un acuerdo de tregua, o incluso de soluciones que busquen evitar un final trágico, por lo que ya entre 1600 y 1200 años a.C. se encuentran vestigios de los acuerdos de paz. , tratados entre distintos pueblos, esta es, por así decirlo, la forma ancestral, o el germen de lo que hoy llamamos; relaciones diplomáticas, que buscan la no agresión o la paz. En historia aprendemos un poco sobre las llamadas tablillas de arcilla hititas.
Una prueba importante de la violencia en la historia la respaldan las máquinas de asedio romanas, sin las cuales, el imperio no habría logrado colonizar tanta superficie que le permitió convertirse en uno de los imperios más grandes conocidos de la humanidad.
Naturalmente, Roma tuvo un ejército desde sus inicios como aldea a orillas del Tíber. Al principio, estaba formado por el rey, sus guardaespaldas y sirvientes, así como por miembros de los grupos de clanes que vivían en la ciudad y su exiguo territorio. El ejército incluía tanto infantería como caballería. Los hallazgos arqueológicos de Roma y sus alrededores sugieren escudos circulares u ovalados, corsés de cuero con pectorales de metal que protegen el corazón y el pecho y cascos cónicos de bronce. Sin embargo, hay que subrayar desde el principio que tenemos muy pocas pruebas sólidas de la organización del primer ejército romano.
La historia de la humanidad nos muestra que el hombre siempre ha sido un depredador, e incluso antes de que el hombre se volviera sedentario, sin duda hubo conflictos a muerte, entre los más fuertes contra los más fragiles, por múltiples razones, por una presa, por un territorio propicio a la caza, etc. Para algunos estudiosos se considera la transición de la vida nómada a la sedentaria, no como un evento único con una sola fecha sino obviamente como un proceso muy complejo y largo en el tiempo a lo largo de un extenso período de la historia humana. Es entre el 10.000 y el 4.000 a.C. cuando se habla de la revolución neolítica, donde la humanidad abandonó la vida nómada. Para Jean Jacques Rousseaux, es entonces cuando nace la explotación del hombre por el hombre. Pero sin duda durante la época de los nómadas, ya existían pueblos más fuertes que ejercían con todas sus fuerzas el dominio sobre otros humanos, sin duda con abusos, abusos sexuales y todo tipo de formas de esclavitud no catalogadas aún por ausencia de restos antropológicos.
Por tanto, el proceso de sedentarización de la humanidad favorece el desarrollo de la agricultura, la creación de comunidades, con una perfeción obviamente directa en la evolución de las lenguas, las costumbres y, en última instancia, la cultura. Incluso para llegar a hablar del comienzo de la civilización; Sin que el espíritu de guerra desaparezca de la conciencia humana.
Hoy la vida humana pasa a ser secundaria, en la carrera por el enriquecimiento acelerado, anhelado por una parte de la humanidad, según la organización inglesa OXFAM, podríamos hablar de menos del uno por ciento (1%) de la población que logra apropiarse de más de dos tercios del fruto del trabajo de la humanidad. En las obras de Thomas Piketty, Monique Pinçon-Charlot, Frédéric Lordon entre otros, como Joseph Stiglitz o David Card, ambos Premios Nobel de Economía, así como en la obra del inglés John Christensen, encontramos la causa fundamental de desafortunadamente, muchos conflictos que siguen ocurriendo en la historia contemporánea. Hay que creer que es difícil sacar de la psicología humana el deseo de la sangre ajena. Aunque es probable que las guerras puedan presentarse como consecuencia de oposición ideológica, los enfrentamientos siempre tendrían un trasfondo geopolítico donde priman los intereses económicos y las ambiciones expansionistas.
VIOLENCIA NORMALIZADA POR INTERNET
Existen dificultades epistemológicas para afirmar que los juegos e Internet tendrían una implicación en la normalización de la violencia, como en los años cincuenta en Estados Unidos existía esta dificultad para admitir el daño causado por la televisión en los resultados de los estudiantes universitarios.
Mi viejo dicho de que los juegos de Internet son violentos y que los padres se olvidan de controlar a sus hijos; es sí mismo un catalizador para el desarrollo de la violencia, algún día acabarán dándome la razón.
Es simplemente considerando los trabajos de Ivan Plavlov, Jean Piaget, B. F. Skinner entre otros, que podemos deducir que los adolescentes, confinados en su habitación, involucrados en el juego, con continua exposición a esta violencia, que proliferan todas las formas de violencia conocidas e imaginables; quienes jueguen estarán condicionados por la normalización de la violencia.
Bajo el control del trabajo de los especialistas citados en el párrafo anterior, se producen necesariamente varios efectos sobre el comportamiento de los jugadores, sobre todo porque el cerebro de los niños menores de ocho años ya está expuesto, por lo tanto "condicionados" a adoptar comportamientos extremadamente violentos, hay que admitir que el niño introduce en su cerebro y por tanto, en su comportamiento necesariamente una parte importante del contenido violento de los juegos en los que pasa horas. En algún momento, al convertirse en adulto, puede ser simplemente un “soldado durmiente” que puede ser explotado por los líderes con fines terroristas. De hecho, se facilita un adoctrinamiento que refuerza creencias ya existentes y, en algunos casos, normaliza actitudes violentas dentro de las comunidades en línea.
Otra forma de normalización de la violencia a través de la evolución de las tecnologías es el cibercrimen, que por lo tanto se convierte en otra forma "normal" de violencia, por lo que es común encontrar que los delincuentes logran eludir o desviar la protección informática de una empresa, incluso una dedicada a la salud. , como un centro hospitalario, sin olvidar la multitud de estafas y otros delitos de este tipo contra cuentas bancarias.
También forma parte de la normalización de la violencia, a través de Internet, la difusión de ideologías extremistas, ya que a través de las redes sociales se difunden instrucciones, mensajes, pedagogía y publicidad de todo tipo de grupos ideológicos, tanto religiosos como grupos con una amplia lista de pasiones comunes. .
Se trata necesariamente de una violencia normalizada por un efecto contagio, que encuentra un terreno recién abonado en el cerebro de las nuevas generaciones, generaciones por lo tanto ya son insensibles y fáciles de contagiar.
Está claro que las redes sociales son sólo un factor entre muchos que contribuyen a la normalización de muchas formas de violencia.
LA LEGITIMIDAD DE LA VIOLENCIA
La violencia histórica, normalizada por la prensa e internet, es directamente responsable de la muerte de los más frágiles, que también son la gran mayoría, como lo demuestra la muerte de personas como ocurrió en Colombia, donde se estima que la legislación instaló un servicio de salud "privatizado" de manera muy particular ya que el estado transfería el presupuesto a "simples intermediarios" que sin ningún control, con el dinero de los asegurados, realizan comercio de todo tipo, ya que están invirtiendo en otras áreas hasta en el extranjero, incluso creando proveedores de servicios desde cero. Donde la salud contaba con más de ciento cincuenta empresas originalmente dedicadas al traslado del presupuesto hoy en Colombia sólo quedan treinta en funcionamiento, aunque en un número cada vez mayor requiere de una figura juridicas, que los tribunales llaman “tutela” para que el asegurado puede recibir una indemnización, o una prestación del servicio que automáticamente debería recibir.
Se habrían modificado los artículos 46, 47 y 48 de la reforma de la salud de 2023 para que los contratos, las licitaciones, sigan estando en manos de la clase política transaccional. Un hecho que debilita la eficacia de la reforma, permitiendo a los corruptos seguir en su cotidianidad.
Para concluir, confrontaremos la realidad de la historia de la humanidad con teorías, donde a partir de una hipótesis que valida el racionalismo, se basan principios falaces. El racionalismo no podría ser objetivo, la razón como concepto no siendo mensurable por ninguna máquina, no es ninguna unidad, para hablar de racionalidad en el comportamiento humano, sería necesario, que la adquisición de conocimientos y la toma de decisiones sean similares entre los seres humanos. Además la adquisición de conceptos para cada ser es diferente y dependerá de una compleja alquimia entre el individuo y el entorno.
SOBRE LA SUPUESTA TEORÍA DE AYN RAND
Por lo tanto, no hay posibilidad de establecer cómo la base de una ideología es el racionalismo, para llamarla además objetivismo, por otra parte para la misma base ideológica, cuando hablamos de individualismo, éste no logra trascender ni siquiera el umbral de la materialismo dialéctico, porque el individuo sólo existe si hay comunidad, (para la pedagogía, el número uno se adquiere en la razón humana sólo porque hay un cero y un dos).
La unicidad de la lingüística surge exclusivamente porque hay al menos un emisor y un receptor, sin los cuales simplemente no hay posibilidad de lenguaje. Es más, la noción de comercio, por simple que parezca, funciona porque existe una sociedad. (para ser educativo, no podría prosperar en el comercio sin la presencia de la sociedad de consumo)
El egoísmo de los libertarios o anarquistas, por otra parte, se apoyan en principios antiguos desde Vincent de Gournay y Jean Baptiste Say (con todas las formas de liberalismo) se apoya en un argumento que es demasiado frágil para poder tomar las ideas libertarias, por una ideología, digna de crédito.
Es sabido en el discurso de sociólogos y de ciertos economistas de la línea de Stiglitz que nadie puede incluir en la línea de código de un programa (un logaritmo) ecuaciones que puedan parecerse cercana o remotamente a una ecuación ética, hecho que deja de lado cualquier intención de sustentar teorías sobre una “supuesta” objetividad ética.
En cuanto al individualismo político, que es sólo la consecuencia directa del nepotismo y de las hegemonías seculares, para terminar con las bases profundas de las ideas que son el "gran" apoyo de libertarios y anarquistas, Ayn Rand se equivoca en términos absolutos, en la visión de un individualismo epistemológico, puesto que en sí misma la epistéme ya surge siendo un conjunto de conocimientos, propios de una “sociedad” a años luz de cualquier individualismo.
El altruismo no puede ser irracional; al estar profundamente arraigado en el pensamiento humano, Aristóteles avanza en la importancia de la amistad y la benevolencia para el desarrollo de las virtudes, para llegar a la concepción occidental de la ética moderna. Aunque el materialismo dialéctico en su esencia se desvía de los principios cristianos, la caridad habrá superado a la religión. El interés por el crédito va en contra del altruismo, porque en realidad hay una monetización de las necesidades de los demás. Precisamente esta monetización permite al sistema bancario vivir en gran medida del crédito, y más particularmente del crédito institucional.
Hay un grave error al interpretar la noción de utilitarismo porque es gracias al progreso de las leyes y de la educación, que instalaba John Stuart Mill su concepto.
De hecho, el utilitarismo apunta a un ideal social y político en el que, gracias al progreso de las leyes y de la educación, ya no sería esencial sacrificar la propia felicidad por la de los demás. Porque el utilitarismo atraviesa la tesis inicial del progreso de las leyes y de la educación con sus mayores consecuencias sobre la cultura de "una sociedad", una fuerza que conduce a la evolución de las leyes y de las normas, necesariamente a favor de las mayorías de la población en una sociedad. Sociedad muy alejada de enfermedades como la hegemonía y el nepotismo, que, dicho sea de paso, son terreno fértil para la corrupción.
Es obvio que en una sociedad ideal existe en la protección social integral la protección automática de los derechos individuales, lo que conduce mecánicamente al cambio hacia minorías, personas diferentes a nosotros, minorías étnicas, etc., para hacer que una visión altruista nos aleje de lleno. Las tesis de la extrema derecha de que la eugenesia, la xenofobia, tanto los libertarios como los anarquistas, los ultra liberales, son en síntesis una población, que si bien, habría logrado en Argentina en 2023 instalar un presidente, son solo individuos sin un base ideológica sólida, válida por sus principios; Son élites políticas, que logran convencer a los trabajadores pobres contra para elegir sus propios verdugos, aquí busco desde mi humilde nivel, luchar con todas mis fuerzas para que las clases populares logren despertar y no dejarse convencer de un peligro eminente contra el futuro
Hecho en Cunare Caquetá en Colombia el 10 de diciembre de 2023, por Nick Ravise (en Facebook) @gramophonefr (en Twitter)