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    Message par bye Mar 16 Sep - 12:18

    Xynthia: le procès s’ouvre en Vendée, où le risque reste occulté
    http://www.journaldelenvironnement.net/article/xynthia-le-proces-s-ouvre-en-vendee-ou-le-risque-reste-occulte,49950?xtor=EPR-9

    Le 15 septembre 2014 par Stéphanie Senet


    3 ans et demi après la tempête, le procès s'ouvre en Vendée
    Trois ans et demi après la tempête Xynthia, qui a causé la mort de 53 personnes dont 29 à la Faute-sur-Mer (Vendée), le procès s’ouvre ce 15 septembre au tribunal correctionnel des Sables d’Olonne en présence d’une centaine de parties civiles.
    A la barre, René Marratier, l’ancien maire de la Faute-sur-Mer, est poursuivi pour «homicides involontaires aggravés» et «mise en danger de la vie d’autrui». Il encourt 5 ans de prison et 75.000 euros d’amende pour avoir largement sous-estimé le risque de submersion rapide ainsi que le risque d’inondation fluviale (La Faute-sur-Mer est bordée par l’estuaire du Lay), ne pas avoir sensibilisé les habitants et avoir délivré de façon illégale des permis de construire en zone inondable. C’est aussi le cas de Françoise Babin, son ancienne première adjointe, aussi présidente de la commission d’urbanisme, de son fils Philippe Babin, agent immobilier et président de l’association syndicale des marais de la Faute, et de Patrick Maslin, conseiller municipal, qui dirigeait deux entreprises de construction des logements inondés. Enfin, Patrick Jacobsoone, l’ancien directeur départemental adjoint des territoires et de la mer, n’est poursuivi que pour «homicides involontaires aggravés».
    Pendant 5 semaines, les magistrats du tribunal correctionnel des Sables d’Olonne écouteront d’anciens responsables, des experts, les prévenus et les nombreuses parties civiles. Pour rappel, le bilan de Xynthia sur la seule commune de la Faute-sur-Mer est lourd: 29 morts, 47 blessés légers, 767 personnes évacuées et 33 hospitalisées. Sur le plan matériel, 75 kilomètres de digues ont été endommagés, 160 exploitations agricoles inondées et 525 unités foncières décrétées inconstructibles. Xynthia a coûté plus d'un milliard d’euros aux compagnies d’assurance et 487 M€ de dépenses publiques.
    «Un déni complet du risque»
    «Nous avons observé un déni complet du risque d’inondation dans cette zone de lotissements, construits entre le début des années 1990 et le début des années 2000», raconte Yves Le Quellec, président de l’association Vendée Nature Environnement. «Pourtant, les alertes n’ont pas manqué, de la part des associations de défense du littoral comme du préfet de Vendée qui a souligné, dès 2001, le réel danger constitué dans la zone de l’estuaire du Lay. Face à l’obstruction systématique menée par les collectivités locales, et en particulier du maire de la Faute-sur-Mer, le préfet a dû imposer en 2007 la mise en place d’un plan de prévention des risques d’inondation (PPRI). Le problème, c’est que l’ampleur du risque, via le niveau marin de référence, a été complètement occultée dans ce document. Il ne tablait que sur 2,90 mètres. Il a fallu attendre sa version révisée, en 2012, pour que le risque soit élargi à 5,30 m», ajoute-t-il. Sans surprise, la zone pavillonnaire inondée à la Faute-sur-Mer se trouvait au-dessous de ces niveaux de référence.
    Le procès devra établir clairement les responsabilités, alors que chacun se renvoie la balle depuis la tempête. «Les nombreuses parties civiles, qui ont perdu des proches ou subi de lourds dégâts matériels, ont besoin de comprendre pourquoi cette catastrophe s’est produite», rappelle le représentant de Vendée Nature Environnement.
    Le scénario peut se répéter demain
    Autre effet attendu du procès: montrer que la situation reste très risquée en Vendée. «La Faute-sur-Mer et L’Aiguillon-sur-Mer mises à part, on se trouve dans le même schéma qu’avant Xynthia pour le reste du département», alerte Yves Le Quellec. Soit 185 communes exposées au risque inondation, et des arrêtés de prescription de la préfecture. Mais toujours pas de PPRI défini. «Là encore, les collectivités locales font de l’obstruction, et en particulier la communauté de communes de Noirmoutier, deuxième zone la plus à risque du département avec les deux tiers de cette île basse à côtes sableuses constitués de cordons dunaires», précise le défenseur de l’environnement. Tous les éléments de contexte de la tempête Xynthia sont réunis: un risque majeur, sous-estimé par des collectivités locales, qui contestent et cherchent à négocier «l’évaluation de l’aléa» faite par les services de l’Etat. Le jugement est attendu le 12 décembre.
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    tempête Xynthia Empty Re: tempête Xynthia

    Message par bye Mar 16 Sep - 12:18

    Tempête Xynthia : les clés pour comprendre le procès de La-Faute-sur-Mer
    http://www.sudouest.fr/2014/09/14/xynthia-les-cles-pour-comprendre-le-proces-de-la-faute-sur-mer-1669723-4700.php
    17 commentaires
    Publié le 15/09/2014 à 07h00 , modifié le 15/09/2014 à 07h19 par
    Cathy Lafon
    Le procès de "l'affaire de la tempête Xynthia" qui a fait 29 morts à La Faute-sur-Mer (Vendée), dans la nuit du 27 au 28 février 2010, débute lundi. Le point sur le dossier et rappel des circonstances de la catastrophe
    Les sauveteurs recherchent huit personnes encore portées disparues à La Faute-sur-Mer, le 2 mars 2010, trois jours après le passage de la tempête Xynthia. © Photo
    ARchives AFP FRANK PERRY
    L
    Le "procès Xynthia" s'ouvre ce lundi au tribunal correctionnel des Sables-d'Olonne (Vendée).
    René Marratier, ancien maire de La Faute-sur-Mer, comparaît avec deux de ses adjoints devant le tribunal correctionnel pour homicide involontaire, mise en danger de la vie d'autrui et manquement grave à l'obligation d'information des populations, aux côtés d'un promoteur immobilier local, d'un fonctionnaire de l'ancienne Direction départementales de l'équipement et de deux entreprises ayant construit les maisons en zone inondable.
    Que reproche-t-on au maire ?
    Ce procès très particulier, lié à l'une des plus grandes catastrophes naturelles en France depuis plusieurs décennies, devrait durer cinq semaines. L'ex-maire de la petite commune de La Faute-sur-Mer (800 habitants permanents) encourt cinq ans de prison, la commune n'ayant pas mis en place son plan de prévention du risque d'inondation (PPRI) et son plan communal de sauvegarde (PCS).
    Le maire n'aurait pas non plus répondu à son obligation de mise en place de repères de crue. On lui reproche également de ne pas avoir réalisé de document d'information sur les risques majeurs (DICRIM), ni de diagnostic de vulnérabilité des habitations. Enfin, René Marratier aurait illégalement délivré des permis de construire en zone inondable et insuffisamment informé la population et les propriétaires des digues des risques, lors de l'arrivée de la tempête Xynthia qui a fait 29 morts dans la commune.
    23 février 2010 : une tempête hors norme
    Le 23 février 2010, les services météorologiques évoquent pour la première fois une dépression, située en plein cœur de l'Atlantique sur le tropique du Cancer et susceptible de se transformer en forte tempête. Le 25 février, des images prises par les satellites au large de l'archipel portugais de Madère, dans l'Atlantique subtropical, laissent apparaître le creusement rapide de cette dépression baptisée "Xynthia" par les météorologues allemands, qui remonte peu à peu des régions subtropicales vers l'Europe.
    26 février : Xynthia atteint le Portugal
    Le 26 février, le creusement rapide de la dépression et son potentiel «explosif» au sens météorologique du terme conduisent l'Institut météorologique national portugais à émettre un bulletin d'alerte pour dix districts du nord du pays. La protection civile conseille aux habitants des régions du centre et du littoral de limiter les déplacements en raison de rafales de vent estimées à plus de 160 km/h et de pluies soutenues. Une première victime est signalée dans la journée du 27 février : un enfant de 10 ans meurt écrasé par un arbre à Paredes, dans le district de Porto. Neuf personnes sont également blessées dans l'accident.
    27 février : l'Espagne et la France en alerte rouge
    Image satellite de la tempête Xynthia, le 28 février à 02h00 UTC.
    Après les îles Canaries, les premières rafales de vent atteignent rapidement les îles de Tenerife et de La Palma où des bourrasques de 120 km/h, 147 km/h et 160 km/h sont enregistrées. Xynthia touche la Galice dans le courant de l'après-midi du 27 février, avec localement des pointes de vent à 196 km/h. Au Pays basque espagnol, les principaux médias diffusent des messages incitant les habitants à rester chez eux et donnant des consignes en cas d'urgence. La tempête menace désormais la France dont les services météo placent quatre départements en alerte rouge (niveau maximum) dans la journée du 27 février : la Charente-Maritime, la Vendée, les Deux-Sèvres et la Vienne. Au total, 69 départements sont placés en vigilance orange. C'est la deuxième fois qu'un avis de vigilance rouge est mis en place pour des vents violents depuis la mise en place du dispositif dans l'Hexagone en 2001, après les tempêtes Lothar et Martin de décembre 1999. Dans la soirée du 27, Xynthia s'abat sur le golfe de Gascogne, pendant qu'à Orduña, au Pays Basque espagnol, on enregistre des pointes de vent à 228 km/h...
    Nuit du 27 au 28 février : Xynthia dévaste l'Ouest de la France
    Carte vigilance Xynthia, nuit du 28 février 2010.© Photo La Chaine Météo
    C'est durant la nuit du 27 au 28 février et une partie de la journée du 28, que Xynthia se déchaine sur la façade ouest de la France, frappée de plein fouet par la tempête. Météo-France avait bien prévu la tempête et les habitants s'étaient préparés à subir des vents violents, comme en 1999, mais la montée des eaux n'avaient pas été anticipée… Si des rafales de vent à 160 km/h en Charente-Maritime (Île de Ré), voire 200 km/h sur les crêtes des Pyrénées (242 km/h au pic du Midi) sont enregistrées localement, c'est la submersion du littoral par l'océan qui fera le plus de dégâts.
    La submersion du littoral
    Le camping d'Aytré inondé après le passage de Xynthia, le 1er mars 2010.© Photo Archives AFP Xavier Leoty
    En France, la tempête arrive au pire moment sur la côte atlantique. Associées à des marées de fort coefficient (102), les puissantes rafales de vent et des vagues hautes de plusieurs mètres provoquent, durant la nuit, un phénomène de surcote et l'inondation des terres basses par l'océan. Les conséquences sont dramatiques en Vendée et Charente-Maritime où les vents très violents qui soufflent jusqu'à 160 km/h, provoquent une rapide montée des eaux. Les digues rompues, la mer submerge les côtes de la Vendée (La Tranche-sur-Mer, L'Aiguillon-sur-Mer, La Faute-sur-Mer), Charente-Maritime (Aytré, Fouras, Châtelaillon-Plage, Boyardville, La Rochelle) et de la Gironde (Andernos-les-Bains, Cap Ferret). Les îles d'Oléron, de Ré, d'Aix et l'île Madame sont particulièrement touchées. Sur l'île de Ré, les digues cèdent en plusieurs points et les communes de La Couarde, Saint-Clément-des-Baleines et des Portes-en-Ré sont en partie inondées. Les villages de la côte nord, dotés de ports, subissent également l'intrusion de la mer, principalement à La Flotte et à Charron (Charente-Maritime) où l'on déplore respectivement deux et trois décès.
    Le piège mortel de La Faute-sur-Mer
    Les habitants des maisons construites dans les terres situées sous le niveau de la mer sont surpris dans leur sommeil par la montée des eaux. En dépit des secours, au matin du 28 février, le bilan des victimes de la tempête est particulièrement élevé dans le grand Sud-Ouest où l'on dénombre 35 morts dans le seul département de la Vendée, 12 dans le département de la Charente-Maritime, 2 dans les Pyrénées-Atlantiques et 1 dans les Hautes-Pyrénées. La petite commune de La Faute-sur-Mer en Vendée paie le plus lourd tribut à la violence de la tempête : 29 personnes ont trouvé la mort dans une zone située à un mètre sous le niveau de la mer, en contrebas de la digue du fleuve côtier Lay. Parmi elles, beaucoup de retraités mais aussi certains de leurs petits-enfants en vacances, qui ont été piégés durant la nuit dans leurs maisons construites récemment dans la  "cuvette mortifère", cette zone submersible. 47 personnes ont également été blessées et 762 autres évacuées.
     Les leçons de Xynthia
    Dès le lendemain du passage de Xynthia, la polémique a fait rage sur ces maisons construites en zone inondable. Par sécurité, l'État a racheté 700 maisons (à La Faute-sur-Mer et à L'Aiguillon-sur-Mer, de l'autre côté de l'estuaire) pour les raser. Le chantier a démarré en mars 2011. La zone pavillonnaire de La Faute-sur-Mer, aujourd'hui nettoyée, est désormais strictement inconstructible. Après la catastrophe, la politique de prévention des risques a en outre été renforcée. La ministre de l'Écologie d'alors, Nathalie Kosciusko-Morizet, a ainsi présenté en février 2011 un plan de prévention des inondations et des submersions maritimes. Il s'agissait surtout de renforcer les digues sur le littoral français, d'améliorer les systèmes de prévision et d'alerte et de durcir les règles concernant les constructions situées en zone inondable.
    A La Faute-sur-Mer, l'État a racheté et détruit 472 maisons pour un coût de 118 millions d'euros.© Photo ARCHIVES Xavier Leoty
    Après trois ans et demi d'instruction, c'est un procès aux enjeux nationaux qui s'ouvre ce lundi aux Sables d'Olonne où sont attendus de nombreux experts. Il devrait devrait durer jusqu'en octobre. Plus d'une centaine de personnes proches des victimes dont l'avocate n'est autre que Corinne Lepage, l'eurodéputée écologiste, constituées en association -  l'Association des victimes des inondations de La Faute-sur-Mer (Avif) - se sont portées partie civile.
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    Message par bye Mar 16 Sep - 12:19

    Procès Xynthia : les élus de La Faute en première ligne
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/09/14/01016-20140914ARTFIG00186-proces-xynthia-les-elus-de-la-faute-en-premiere-ligne.php
    Par Stéphane Durand-Souffland
    Publié le 14/09/2014 à 20:24
    L'ancien maire de la commune et deux de ses adjoints comparaissent ce lundi devant le tribunal correctionnel des Sables-d'Olonne.
    À scruter la carte Michelin, quatre ans après, on se dit qu'on aurait pu se douter qu'ici, il se passerait forcément quelque chose de grave. Cette langue de sable volée à l'Atlantique et à la rivière Lay et sur laquelle avait prospéré une station balnéaire de 7 km2 a tout d'une Atlantide en sursis et, connaissant le caractère ombrageux de l'Océan, on aurait pu gager qu'un jour ou l'autre, il viendrait réclamer son dû.
    Mais quatre ans après le passage de la tempête Xynthia, qui a provoqué la mort de 29 personnes à La Faute-sur-Mer (Vendée), il est facile de décréter que la tragédie était écrite. Le tribunal correctionnel des Sables-d'Olonne ne se cantonnera pas à ces réflexions d'apparent bon sens lors du procès qui commence ce lundi et doit s'achever le 17 octobre. Sur le banc des prévenus, cinq personnes physiques: René Marratier, 62 ans, ancien maire de la commune ; Françoise Babin, 70 ans, à l'époque première adjointe du précédent ; Alain Jacobsoone, 54 ans, ex-directeur départemental adjoint des territoires et de la mer de la Vendée ; Philippe Babin (fils de Françoise), 43 ans, agent immobilier et ex-président de l'association syndicale des Marais de La Faute ; Patrick Maslin, 55 ans, ex-adjoint au maire, membre de la commission d'urbanisme. Ils encourent, principalement, 5 ans de prison et 75 000 € d'amende pour homicides involontaires aggravés. Deux sociétés de BTP sont également poursuivies en tant que personnes morales.
    La Faute a des allures paisibles en cette fin d'été, avec ses rues bien nettes aux noms de fleurs, ces pavillons bas souvent dotés de noms qui s'affichent en anglaises de fer forgé - du grand classique «Abri côtier» au couleur locale «Chouans les pins». On pique-nique sur la plage et, dans les sentiers, claquent pour quelques jours encore les tongs des derniers vacanciers.
    Mais, dans la nuit du 27 au 28 février 2010, le vent hurle et les eaux du Lay renforcées par celles du large deviennent folles. Submergeant les digues dérisoires destinées à protéger un village édifié en dessous du niveau de la mer, elles se ruent vers les lotissements bâtis dans une zone incurvée qui les capture: c'est «la cuvette» de La Faute, la nasse complice de Xynthia. Arrachés à leur sommeil par la tornade, les résidents voient littéralement leur maison - essentiellement des constructions de plain-pied - se remplir à toute allure. Le plus chanceux se réfugient sur le toit. Les autres se noient. Une fois explorées toutes les habitations englouties, le bilan est insoutenable: 29 morts dont trois enfants, sans compter les blessés. Une famille compte, à elle seule, quatre personnes décédées.
    Nombreuses parties civiles
    La procédure judiciaire se met en branle sans tarder. Tandis que les pouvoirs publics, manifestement pris de court, redessinent à la va-vite le plan d'occupation des sols, rayant de la carte des bâtisses qui, peut-être, n'auraient pas dû être et créant du même coup d'inutiles traumatismes en période de deuil collectif ; la justice, elle, retrace l'histoire de l'urbanisation de La Faute-sur-Mer. Elle exhume la trace de crues précédentes, et confie à des experts le soin de déterminer la probabilité d'un tel drame: selon eux, elle était «non négligeable», en tout cas «plus importante que celle de gagner au Loto».
    La municipalité de l'époque se retrouve dans le collimateur des enquêteurs. À les en croire, le maire a manqué à tous ses devoirs en matière de prévention et d'information de ses administrés. Et ce, bien que la préfecture lui ait régulièrement enjoint de se mettre à jour sur ces points. Les conditions de délivrance de permis de construire sur des zones inondables seront particulièrement étudiées par le tribunal. Le fait que, de surcroît, la première adjointe, Mme Babin, soit liée à une agence immobilière gérée par son fils, avait conduit à envisager des faits de prise illégale d'intérêts que le juge d'instruction n'a finalement pas retenus à charge. De l'autre côté de la barre, de nombreuses parties civiles, regroupées, ou non, au sein de l'Association de défense des victimes des inondations de La Faute-sur-Mer et des environs (Avif), attendent une vérité judiciaire.
    Au cours de la procédure, les prévenus ont mis l'accent sur le caractère exceptionnellement dévastateur et donc, selon eux, totalement imprévisible de la tempête Xynthia. Reste que pour l'accusation, la municipalité a cru faire prospérer la commune en lotissant à qui mieux mieux, oubliant les noires leçons du passé, comme si le déluge, c'était toujours après soi.
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    Message par bye Mar 16 Sep - 12:19

    Croix Rouge française : Xynthia : un an de mobilisation
    http://www.croix-rouge.fr/Actualite/Xynthia-un-an-de-mobilisation-1277?gclid=CjwKEAjwnNqgBRDdgOitrZPj6yYSJACM86tDnA6HQsvhOhwjkp3MAtQPnMOOKYr13dR4RAHUpHoNXRoCVsDw_wcB
    Il y a un an, dans la nuit du 27 au 28 février 2010, des rafales de vent allant jusqu’à 150 km/h balayaient les départements de la Charente-Maritime, des Deux-Sèvres, de la Vendée et de la Vienne.
    Cette tempête n’était pas sans précédent, mais, conjuguée à une élévation importante du niveau de la mer et à une marée à fort coefficient, elle a dévasté les digues, inondé l'intérieur des terres, et laissé derrière elle des milliers de maisons sinistrées et un terrible bilan humain : 35 morts en Vendée, 12 en Charente-Maritime, les deux départements les plus touchés.
    Grâce à la générosité du public, s’élevant à 346.000 euros, la Croix-Rouge française a eu les moyens d’accompagner les victimes de Xynthia de l’urgence à la post-urgence.
    Aujourd’hui encore, les bénévoles de l’association œuvrent au quotidien pour permettre à des familles de se relever.
    De l’urgence…
    Porter secours aux sinistrés : une trentaine de délégations locales et départementales de la Croix-Rouge française se sont mobilisées, des centres d’hébergement d’urgence et de centres d’accueil ont été mis en place, plus de 400 habitations ont été nettoyées, une centaine de volontaires a été déployée…

    Très vite, la Croix-Rouge française a pu compter sur une très large mobilisation de ses bénévoles pour venir en aide aux victimes. Ce sont ainsi plusieurs centaines de volontaires par jour, issus de tout le territoire français qui se sont déployés progressivement sur les zones touchées pour renforcer les équipes de volontaires locaux. Leurs missions : accueillir, héberger, accompagner les victimes, leur apporter un soutien psychologique et social, offrir des repas, des vêtements et des produits de première nécessité, aider les sinistrés à réhabiliter leur habitat… Un numéro vert a par ailleurs été ouvert pour recueillir les propositions d’aide en nature et financière.
    Afin de répondre aux besoins immédiats des personnes sinistrées, la Croix-Rouge française a fourni des appareils électroménagers, réfrigérateurs, cuisinières et lave-linges neufs. Des meubles, de la literie et des vêtements ont également été distribués en lien avec les mairies.
    …à la post-urgence…
    Aider les personnes à se reconstruire : la Croix-Rouge française a accompagné plus de 1500 familles au travers de plus de 3000 rencontres individuelles et collectives.
    Cette action passe par l’accueil, l’écoute des familles sinistrées, la réalisation d’un diagnostic matériel ou financier, en complément des actions menées par les travailleurs sociaux auprès des personnes, mais aussi des conseils promulgués pour les accompagner dans leurs démarches, les orienter, les informer sur l’accès à leurs droits et surtout les aider à se reconstruire…
    Ainsi, dès le début du mois de mars 2010, deux permanences d’accueil ont été ouvertes par la Croix-Rouge française, l’une à la Faute-sur-Mer en Vendée, l’autre à Aytré en Charente-Maritime. Encore aujourd’hui, ces permanences favorisent l’écoute, l’orientation vers les organismes compétents, les visites à domicile, l’activité de microcrédit ou toutes autres aides nécessaires aux personnes en difficulté.

    La communauté scientifique s’accorde aujourd’hui à dire que 50 % des victimes d’une catastrophe s’en remettent spontanément mais qu’environ 40 % doivent bénéficier de soutien psychologique et de réconfort. D’une manière générale, dans toutes les situations auxquelles ils doivent faire face, les volontaires et bénévoles de la Croix-Rouge française, tous formés au soutien psychologique, mènent une action de proximité, d’écoute et de dialogue auprès de tous et en particulier auprès des plus vulnérables.

    Enfin, différents projets collectifs ont été initiés afin d’aider les victimes à retisser des liens sociaux. Randonnées, sorties culturelles, séjours à Eurodisney et Paris, repas festifs… ont permis à de nombreux sinistrés de sortir de leur isolement et de renouer des liens mais aussi des relations de voisinage que le relogement a tendance à déliter.

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