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    Message par bye Ven 3 Avr - 5:55

    commentaire lu sur Rue 89 à propos du rapport d'Amnesty sur la police française et son impunité.
    Qu'est-ce qui nous attend ?????? :-(((((



    RAPPEL DES RESERVISTES DE LA POLICE NATIONALE AVANT LE 30 JUIN 2009 ! !
    !
    Le 27/03/2009
    UNE INFORMATION CAPITALE
    tous les policiers à la retraîte, de moins de 60 ans, ont reçu l'ordre
    de se faire recenser avant le 20 mars 2009 et de réintégrer leurs postes avant le 20 juin 2009.
    Comme par-hasard, cet échéancier coïncide entre le g20 et la
    réintégration de la France au sein du commandement de l'otan.
    Au même moment, « le monde diplomatique » publie un article au titre symptomatique : « comment les armées se préparent au combat urbain ».
    L'auteur, mr Leymarie évoque « les manoeuvres de l'armée française dans des villes françaises, notamment Sedan ou Fréjus, en 2008, dans le cadre de la préparation de la Force de réaction rapide de l'Otan pour “sécuriser” et évacuer des populations , face à une menace de groupes paramilitaires ou terroristes ».
    A titre informatif, la France dans le cadre de sa réintégration au sein du commandement de l'otan, récupère 2 centres de commandement majeurs dont celui basé à Lisbonne qui se trouve justement être celui de la force de réaction rapide de l'alliance atlantique !
    L'article 5 de la loi n° 2003-239 du 18 mars 2003 pour la sécurité
    intérieure ainsi que l'article 9 du décrêt n° 2003-1395 du 31
    décembre 2003 ont fixé les modalités de la mise en oeuvre de la réserve civile de la police nationale , les réservistes, dans le cadre de leurs obligations statutaires de disponibilité, ne peuvent faire l'objet d'un rappel au service qu'en cas de menaces ou de troubles graves à l'ordre public.
    Il s'agit donc d'une mesure exceptionnelle prise après arrêté ministériel !
    Bref, en rapprochant ces informations, il est clair que les autorités
    publiques savent à coup sûr qu'un évènement se produira d'ici à
    quelques mois, justifiant l'usage de la force.
    Cette force devra être employée contre les populations civiles, car
    selon nicolas Sarkozy, cf. extrait de son discours du 16 janvier 2009 à l'Elysée : « les forces au service du changement sont considérablement plus fortes que les conservatismes et les immobilismes…on ira ensemble vers ce nouvel ordre mondial. Et personne, je dis bien personne, ne pourra s'y opposer ».
    Voici donc ci dessous la confirmation de cette information par le
    ministère de l'Intérieur français en date du 24 mars 2009.
    A noter, qu'initialement, cette information relative aux réservistes,
    m'a été en date du 15 mars 2009 par une source confidentielle !

    Bonjour,
    En application des textes réglementaires, un plan de rappel de la
    réserve statutaire de la police nationale a été défini dans la perspective de répondre aux rappels individuels ou collectifs du ministre chargé de l'intérieur en cas de menace ou de troubles graves à l'ordre public.
    Il prévoit notamment que les services d'emploi prennent contact avec les réservistes statutaires afin que chacun d'entre eux connaisse son poste d'affectation. Pour le 30 juin, l'ensemble des réservistes statutaires devront être affectés de manière opérationnelle.
    Cordialement.
    Mission nationale pour la réserve civile (MINATREC)
    Cellule de communication
    Place Beauvau
    75800 Paris Cedex 08
    _______________________________________________
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    Message par bye Dim 19 Sep - 17:56

    Comment le fils du patron de la police a échappé aux poursuites
    Frédéric Péchenard, le directeur général de la police nationale, serait intervenu alors que son fils, âgé de 16 ans, avait été interpellé pour état d’ivresse et insultes à agent.
    http://www.leparisien.fr/faits-divers/comment-le-fils-du-patron-de-la-police-a-echappe-aux-poursuites-16-09-2010-1070132.php


    82 réactions | Réagir
    Violette Lazard | 16.09.2010, 07h00
    Présenté comme l’homme qui a ordonné l’enquête des services secrets sur les fuites dans la presse dans l’affaire Bettencourt, Frédéric Péchenard, le patron de la police française, doit affronter un tout autre dossier.
    L’histoire remonte au 17 février 2009. Une plainte est déposée en bonne et due forme par un gardien de la paix parisien pour outrage à agent à l’encontre du fils de Frédéric Péchenard, alors âgé de 16 ans.

    Mais le parquet de Paris n’en retrouve aucune trace.

    Un document explicite

    Et un an et demi après avoir été interpellé pour conduite en état d’ivresse sur les Champs-Elysées, le fils du directeur général de la police nationale (DGPN) n’a jamais été poursuivi.
    Les documents que « le Parisien »- « Aujourd’hui en France » s’est procurés, attestent pourtant des événements qui ont émaillé cette nuit du 17 février. Deux procès-verbaux ainsi qu’une note de service laissent penser que le DGPN est bien intervenu. « J’ai reçu pour consigne […] de ne pas placer l’interpellé en GAV (NDLR : garde à vue), de ne pas aviser la permanence de nuit du parquet », raconte l’officier de police judiciaire de permanence cette nuit-là.
    « Tout cela est faux, rétorque l’entourage de Frédéric Péchenard. Il n’a jamais demandé à personne de retirer une plainte, il n’a jamais demandé à personne d’enterrer une procédure. S’il s’est déplacé dans un commissariat pour aller chercher son fils, c’est en tant que père. » Un autre membre de sa garde rapprochée, qui n’a pas souhaité s’exprimer lui-même « compte tenu de l’actualité », admet malgré tout que « le simple nom du DGPN exerce une pression sur les policiers ».
    Pour les faits qui lui étaient initialement reprochés, le fils du DGPN encourait deux ans de prison et 7500 € d’amende, même s’il aurait pu bénéficier de l’excuse de minorité.
    Rappelons enfin qu’il y a quelques jours, le chef du cabinet adjoint à Matignon avait dû démissionner après avoir été contrôlé en état d’ébriété et avoir eu un comportement « insultant » envers la police.
    L'intégralité de cette enquête, nos documents et nos interviews à lire dans Le Parisien et Aujourd'hui-en-France.

    Tous les articles de la rubrique
    Le Parisien
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    Message par bye Sam 11 Déc - 8:20

    Manif et polémique après la condamnation de sept policiers

    http://www.liberation.fr/societe/01012307340-prison-ferme-pour-sept-policiers-menteurs


    Sept policiers jugés à Bobigny pour avoir menti et accusé à tort un homme, ont été condamnés vendredi à des peines de six mois à un an de prison ferme, jugement qui a suscité la fureur de leurs collègues et considéré comme «disproportionné» par Brice Hortefeux.

    Trois mois après les faits, les fonctionnaires, âgés de 23 à 32 ans, ont accueilli dans l’abattement une décision suivie de la colère de leurs collègues, venus manifester à 200, toutes sirènes hurlantes.



    Le parquet a dit son intention d’interjeter appel. Mais si ces condamnations étaient confirmées, elles marqueraient une fin de carrière pour cinq d’entre eux pour qui le tribunal a prononcé une inscription de la peine au casier judiciaire.

    Le jugement a laissé «très étonné» le préfet de Seine-Saint-Denis, Christian Lambert qui a demandé aux policiers de cesser leur manifestation. Il «peut légitimement apparaître, aux yeux des forces de sécurité, comme disproportionné», a renchéri le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux.

    «Culture de l'excuse»

    Les syndicats policiers ont eux violemment mis en cause les magistrats de Bobigny qu’ils accusent régulièrement de laxisme.

    «Ce tribunal est connu pour receler les pires idéologues de la culture de l’excuse quand il s’agit de remettre dehors à tour de bras les trafiquants de stupéfiants, braqueurs, auteurs de tentatives d’homicide, etc.», a déclaré Synergie-Officiers. Son secrétaire général Patrice Ribeiro a condamné «un acte politique et syndical», allusion au Syndicat de la magistrature (SM, gauche) bien implanté dans ce tribunal.

    Jean-Claude Delage, secrétaire général d’Alliance, s’est offusqué que «des multi-récidivistes, dans ce tribunal et ailleurs, ne sont pas, eux, condamnés comme il se doit, ou remis en liberté».

    A la sortie du tribunal, des avocats exprimaient leur réprobation devant la réaction des policiers, l’un d’entre eux jugeant qu’ils devraient «faire profil bas» après une affaire «pas reluisante pour la police».

    Course-poursuite

    Le 9 septembre à Aulnay-sous-Bois, un policier est blessé, percuté par une voiture après une course-poursuite. Lui et ses collègues décident de mentir et accusent sur procès-verbal le conducteur de la voiture qu’ils poursuivaient.

    Ce dernier est placé en garde à vue pour tentative d’homicide sur fonctionnaire de police, passible de la perpétuité. Au fil des heures, les témoignages des policiers s’effondrent: c’était des collègues d’une deuxième voiture qui étaient à l’origine de l’accident.

    Ils ont été jugés le 4 novembre pour «dénonciation calomnieuse» et «faux en écriture». Trois étaient également jugés pour «violence aggravée»: la victime avait reçu des coups après son interpellation.

    Trois prévenus ont été condamnés à 12 mois de prison, un à 9 mois, un autre à 7 mois et deux à 6 mois. Des peines bien au-delà des réquisitions du parquet qui avait demandé du sursis.

    Le tribunal a mis en avant «la gravité des faits» et a expliqué avoir tenu compte de l’attitude des prévenus «devant l’IGS (Inspection générale des services, police des polices) et devant le tribunal».

    «Les raisons politiques l’emportent, (…) il faut nourrir la vindicte des cités», a réagi l’avocat d’un des policiers, Me Stéphane Amrane, selon lequel «d’un côté, on libère des gens qui trafiquent de la cocaïne et de l’autre, on met en prison des policiers innocents».

    A la barre, trois policiers avaient reconnu avoir menti. Les autres avaient nié.

    (Source AFP)



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    Message par bye Mar 14 Déc - 6:48

    http://lmsi.net/Disproportion-crime-emotion

    Disproportion, crime, émotion
    Brèves remarques sur la langue des maîtres
    par Pierre Tevanian, 13 décembre

    « Sans naturellement méconnaître la nature des faits qui ont été reprochés
    aux policiers, ce jugement, dans la mesure où il condamne chacun des sept
    fonctionnaires à une peine de prison ferme, peut légitimement apparaître,
    aux yeux des forces de sécurité, comme disproportionné. Notre société ne
    doit pas se tromper de cible : ce sont les délinquants et les criminels qu’il
    faut mettre hors d’état de nuire. » Ainsi s’exprime Brice Hortefeux,
    ministre de l’Intérieur, aussitôt rejoint par la totalité des élus UMP de
    Seine-Saint Denis : les sénateurs Philippe Dallier et Christian Demuynck
    ainsi que les députés Éric Raoult, Patrice Calméjance et Gérard Gaudron.

    « Soutien et solidarité » avec les sept policiers condamnés, ont même ajouté
    les cinq parlementaires UMP. Que cinq élus et un ministre de l’Intérieur
    désavouent ouvertement une décision de Justice, voilà qui est assurément
    critiquable, et les voix n’ont pas manqué, d’Elisabeth Guigou à Martine
    Aubry, pour le critiquer. Elles ont cruellement manqué, en revanche, pour
    souligner que sur le fond, au-delà de cette question de principe, la
    déclaration ministérielle exprime, avec un cynisme et une décomplexion
    rarement atteintes, une conception de la police plus que critiquable.

    Car de quoi parle-t-on ? D’une peine de six à douze mois de prison, pour des
    policiers qui, en produisant de manière délibérée et concertée un faux
    témoignage sur un accident causé en réalité par un des leurs, ont fait
    accuser un innocent et lui ont fait encourir la prison ferme à perpétuité –
    avec, au passage, un tabassage en règle pendant la garde à vue [1]. Quelques
    mois de prison pour avoir tenté de faire emprisonner à vie un innocent :
    nous sommes encore loin d’une impitoyable Loi du Talion, assez loin même de
    la peine maximale prévue par la loi pour un « faux en écriture publique
    commis par une personne dépositaire de l’autorité agissant dans l’exercice
    de ses fonctions » (quinze ans de réclusion criminelle et 225 000 € d’amende
    [2]), et c’est pourtant dans ces quelques mois de prison que le ministre de
    l’Intérieur voit une sévérité « disproportionnée ».
    C’est ce jugement qui, toujours selon le ministre, « se trompe de cible »
    puisque, selon ses mots toujours, « ce sont les délinquants et les criminels
    qu’il faut mettre hors d’état de nuire ». Ce qui revient à dire ceci : que
    les sept flics ripoux soutenus par les cinq élus pourris ne sont ni des
    criminels ni des délinquants. Ce qui revient à dire ceci : que tabasser,
    mentir, accuser à tort, faire emprisonner à vie un innocent n’est, lorsqu’on
    est policier, ni un crime ni un délit.

    Voici donc en résumé à quelle réforme du vocabulaire nous sommes invités :
    * un policier est par définition, donc quoiqu’il fasse, le contraire d’un
    délinquant ou d’un criminel ;
    * il s’en suit qu’un jugement qui condamne un policier est par définition
    disproportionné et mal cadré [3].
    Ce langage, la pensée qu’il véhicule, et la très réelle impunité policière
    qu’il vient soutenir [4], ni Martine Aubry ni Elisabeth Guigou ne s’en
    inquiètent – Elisabeth Guigou va au contraire jusqu’à « comprendre l’motion » des policiers qui ont manifesté pendant trois heures devant le Palais de
    Justice.

    La responsable socialiste s’oppose en somme au ministre Hortefeux, mais dans
    sa langue. Elle aussi réforme le vocabulaire, en faisant d’une action
    politique particulièrement radicale (manifester en uniforme devant un
    tribunal) une simple « émotion », et en décrétant « compréhensible » un
    corporatisme particulièrement détestable (puisqu’il va jusqu’à soutenir
    collectivement, publiquement, syndicalement, les pires ripoux).

    Dans une autre langue, je conclurai en disant que c’est bel et bien un
    comportement criminel qui a été sanctionné, et que le ministre, les
    parlementaires et les syndicats qui s’en offusquent se posent donc en
    complices – ce que fait aussi, à un degré moindre, l’opposante socialiste
    qui critique les uns mais comprend les autres.

    P.-S.
    Rencontre avec Pierre Tevanian, Sylvie Tissot et Sébastien Fontenelle le
    jeudi 16 décembre 2010 à 19h30 à la librairie-galerie Le Monte-en-l’air (2
    rue de la Mare-71 rue de Ménilmontant, Paris 20ème. Métro Ménilmontant)
    autour de leurs livres respectifs : Les mots sont importants et Même pas
    drôle. La rencontre sera précédée d’un film : Les mots sont importants, de
    Frédéric De Carlo, Pierre Tevanian et Sylvie Tissot (2010).
    Notes
    [1] Cf. Nouvelobs.com.
    [2] Article 441-4 du Code Pénal
    [3] La phrase d’Hortefeux est, si on la relit, d’une remarquable – et
    terrifiante – transparence : « fonctionnaire » et « prison ferme », ça ne
    peut pas aller ensemble !
    [4] Cf. aussi Pierre Tevanian, « Pour le Malien ».

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    Message par bye Ven 24 Déc - 13:50

    QUE FAIT LA POLICE ? - numéro 46 - janvier 2011
    >
    >
    >
    > Le dernier numéro de Que fait la police ? est disponible en ligne sur
    >
    > http://quefaitlapolice.samizdat.net/?p=321
    >
    > L'ensemble des numéros en ligne est disponible sur
    >
    > http://quefaitlapolice.samizdat.net
    >
    >
    > Editorial : Police de quelle République ?
    >
    > Il y a beau temps que les brutalités policières ne sont plus à démontrer.
    > Sans qu'il soit possible de le contester, la force a remplacé le droit. Ce
    > qui ne semble pas émouvoir vraiment les bons citoyens à qui l'on explique
    > qu'ils sont ainsi mieux protégés. En clair, que leur sécurité est assurée.
    > Peu importent les droits de l'homme, fréquemment foulés aux pieds.
    > Particulièrement dans les cités où nombreux sont les policiers qui se
    > comportent tels les affidés d'une bande légale. Cela face à des jeunes qui
    > peuvent avoir le sentiment de s'affronter à une bande d'un quartier
    > voisin. Bien évidemment, les chocs ne manquent pas d'êtres rudes car les
    > policiers de la République ne connaissent pas, ou ont oublié l'article 9
    > de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, du 26 août 1789,
    > qui stipule :
    >
    > « Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré
    > coupable, s'il est jugé indispensable pour 1′arrêter toute rigueur
    > qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être
    > sévèrement réprimé par la loi. »
    >
    > Comment ne pas regretter que ce texte soit tombé en désuétude. Au point
    > que, le 18 mars 1986, il avait été jugé nécessaire d'établir, par décret,
    > un Code de déontologie de la police. Dans ce petit manuel, que chaque
    > policier devrait avoir dans une poche de sa veste, étaient indiquées les
    > limites de l'intervention policière, et la force dont « le fonctionnaire
    > de police ne peut faire qu'un usage strictement nécessaire et
    > proportionnée au but à atteindre. « La lecture de ce Code avait dû
    > provoquer bien des ricanements dans les commissariats. Particulièrement
    > son article 10 :
    >
    > « Toute personne appréhendée est placée sous la responsabilité et la
    > protection de la police ; elle ne doit subir de la part des fonctionnaires
    > de police ou de tiers, aucune violence ni aucun traitement inhumain ou
    > dégradant ».
    >
    > Il est vrai que le langage injurieux utilisé par trop de policiers et même
    > parfois au sommet de cette institution, « racaille » par exemple, ne peut
    > qu'exacerber les conflits permettant d'établir une frontière hermétique
    > entre une population considérée comme convenable et une jeunesse traitée
    > tel un ennemi héréditaire. La dégradation du comportement de certains
    > policiers, avait même conduit le ministère de l'Intérieur à réagir
    > fermement, en 1991 :
    > « Les agissements violents, au cours de l'interrogatoire, de la part de
    > certains policiers, dans un illusoire souci d'efficacité, sont
    > inadmissibles et dégradants de la part de celui qui les commettraient »
    >
    > N'insistons même pas sur les abus de droit classiques : menottage illégal,
    > palpations corporelles, fouilles à corps exécutées de façon humiliante,
    > basses injures, etc. Qu'est devenue la police républicaine, si elle a
    > jamais existé au plein sens du terme ?
    >
    > Maurice Rajsfus
    >
    > Lire la suite sur
    >
    > http://quefaitlapolice.samizdat.net/?p=321
    >
    >
    > Informations nécessaires
    >
    > Depuis notre passage du bulletin papier à Internet, l'audience de Que fait
    > la police ? s'est considérablement développée mais, dans le même temps,
    > votre courrier n'a fait que se tarir. N'oubliez pas que les coupures de la
    > presse régionale sur les bavures et les dérives de la police et de la
    > gendarmerie nous sont précieuses car nombre de ces « faits divers » ne
    > sont pas relatés dans la pesse nationale. Nous vous rappelons notre
    > adresse : Observatoire des libertés publiques, C/O NSP-Agora, 20, rue
    > Courat. 75020 Paris.
    >
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    Message par bye Ven 24 Déc - 18:32

    La ville de Labruguière encerclée par les gendarmes

    En fin d'après midi hier, entre 18h et 20h, les services de gendarmerie de la compagnie de Castres ont mené une opération «coup de poing» sur la ville de Labruguière dans le cadre des opérations spécifiques de sécurité publique dans la période de fêtes. Menée par le commandant Mathias Cazajous de la compagnie de Castres, accompagné par le sous-préfet Colin Miège, l'opération a mis en place une vingtaine d'hommes en bleu en différents points de la ville, dotés d'une réquisition de type «78.2.2» qui permet aux forces de l'ordre de contrôler les véhicules mais aussi les personnes.

    «Il s'agit pour nous de créer l'insécurité auprès des délinquants et de rassurer la population et les commerçants. Nous ciblons un espace et une durée bien concentrée en espérant resserrer l'étau sur ceux qui auraient de mauvaises intentions.»

    Les trois entrées principales de Labruguière ont été filtrées par les gendarmes, route de Toulouse, de l'aéroport et vers Mazamet. Mais en ville aussi, plusieurs patrouilles, en tenue ou en civil, ont ratissé les lieux.

    Pour le sous-préfet Colin Miège: «Nous appliquons des consignes ministérielles qui nous demandent de mettre en place ces contrôles renforcés. Tant pour la sécurité routière que pour toute sorte de délits et en particulier des délits d'acquisition. D'autres opérations de ce type seront d'ailleurs menées dans notre région tout au long des fêtes de fin d'année.»
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    Message par bye Dim 30 Jan - 18:05

    Les policiers ripoux volaient des cartes bleues au commissariat

    Les deux gardiens de la paix toulousains utilisaient notamment les cartes bancaires des personnes placées en garde à vue.

    Nadia E et Sébastien M., deux gardiens de la paix Toulousains, avaient la folie des grandeurs. Seulement, leurs émoluments de fonctionnaires de police ne leur permettaient pas de mener grand. Alors, par goût du luxe et de l’argent facile, ils ont, de 2007 à mars 2009, basculé dans la délinquance.

    Leur amitié, pour ne pas dire leur complicité, a vu le jour au cours d’une partie de tennis. Entre deux sets, Sébastien a expliqué à sa collègue, une jolie joueuse de très haut niveau, comment il arrondissait ses fins de mois en continuant à utiliser ses cartes bleues qu’il avait faussement déclarées volées. Pour preuve, il lui a fait état de tous ses achats de vêtements de marques et de produits high-tech, lui qui roulait en grosse voiture allemande.

    Ils arnaquent les gardés à vue et leur collègue

    Des « emplettes » qui ont parfois dépassé les 8 000 € ! Tout de suite conquise, la jeune policière a rapidement déclaré le vol de trois de ses cartes bancaires. Et, avec fougue, elle s’est mise, comme lui, à acheter des vêtements de luxe et des produits de haute technologie comme un Iphone, un appareil photo numérique… Ensemble, ils vont ensuite récupérer les numéros de cartes bleues de plusieurs personnes gardées à vue et de personnes venues déclarer le vol de leur CB ! Et s’en servir allégrement sur Internet. Ils vont même dérober celui d’une collègue et Nadia celui d’un ami tennisman. Sans crainte, c’est souvent au commissariat qu’ils faisaient livrer leurs colis frauduleux. Mais, l’un de ces achats leur a été fatal. Lundi, Nadia et Sébastien, qui ont déjà fait quatre mois de prison préventive, ont été condamnés à trois ans de prison dont deux avec sursis.


    --------------------------------------------------------------------------------

    Le frère de la policière jugé aussi

    La policière ripou a également conseillé à son frère de faussement déclarer sa carte bleue volée. Le jeune homme fragilisé par son divorce, s’est exécuté et à, lui aussi, effectué des achats. Jugé, hier, avec sa sœur et l’autre policier, il a écopé de 6 mois de prison avec sursis.

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    Message par bye Sam 2 Avr - 23:21

    Au sens premier depuis le XIIIe siècle, la police est le gouvernement de la cité - gestion et discipline, exercice du pouvoir politique - avant de désigner l’organisation rationnelle de l’ordre public.



    Subterfuge & Pièces et Main d’oeuvre
    présentent


    RFID : la police totale

    un film de 28 minutes contre la tyrannie technologique et l’avènement de la société de contrainte.

    On peut voir et télécharger ce film sur http://websuterfuge.free.fr/rfid.html

    On peut le commander en DVD, en envoyant un chèque de 5 euros (à l’ordre des Bas-Côtés) aux Bas-Côtés, 59 rue Nicolas Chorier, 38000 Grenoble, en précisant lisiblement sa commande et son adresse.

    Nous encourageons évidemment tout un chacun à le télécharger, à le diffuser, et à organiser des projections et des débats contre l’invasion des RFID.

    Peu de gens encore, hors des laboratoires, des services vétérinaires et de logistique, connaissent les RFID (Radio Frequency Identification), aussi nommées "étiquettes électroniques", "intelligentes", "smart tags", "transpondeurs", "puces à radiofréquences", "puces sans contact". Ces mouchards nés durant la seconde guerre mondiale supplantent désormais les codes-barres dans les objets de consommation et sont implantés dans les animaux, les titres de transport et d’identité, les livres des bibliothèques, les arbres des villes, toutes choses de proche en proche, et même de plus en plus d’êtres humains. Sans les nanotechnologies, qui permettent de réduire leur taille et leur prix, les puces RFID n’infesteraient pas nos vies et IBM ne pourrait pas proposer aux décideurs son programme de puçage généralisé de tout et de tous (des espaces "naturels" aux décors urbains, des marchandises aux infrastructures d’énergie, de transports et aux services, de santé, d’éducation, des animaux aux humains) baptisé "planète intelligente".

    Voici venu le temps du marquage électronique, universel et obligatoire. Bientôt il sera criminel d’extraire de son corps sa puce d’identité.
    - Avez-vous quelque chose à vous reprocher ?

    *******
    A l’attention des Grenoblois et voisins

    Le collectif “Stop caméras 38” poursuit dans l’agglomération grenobloise sa campagne de protestation contre le flicage technologique.
    Il appelle à un rassemblement devant l’Hôtel de Ville de Fontaine lundi 28 mars de 18h à 20h, pour protester contre l’installation de caméras de vidéosurveillance dans la ville par la mairie communiste.

    Merci de faire circuler,
    Pièces et Main d’oeuvre

    bye
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    Message par bye Dim 3 Avr - 9:25

    Surveillez la police | Novaplanet

    http://www.novaplanet.com/novaactu/combats/surveillez-la-police
    bye
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    Message par bye Jeu 12 Mai - 13:17

    http://www.interieur.gouv.fr/sections/a_la_une/toute_l_actualite/securite-interieure/lancement-patrouilleurs-mantes-jolie

    Lancement des « patrouilleurs » à Mantes-la-Jolie
    Mis à jour le : 11/05/2011 12:05


    Vendredi 6 mai 2011, Claude GUÉANT, ministre de l'intérieur, de l'outre-mer, des collectivités territoriales et de l'immigration s'est rendu à Mantes-la-Jolie afin de lancer l'expérimentation d'un nouveau mode d'action de la police sur le terrain : les « patrouilleurs ».
    Le lancement des « patrouilleurs » à Mantes-la-Jolie

    Un dispositif très différent de la police de proximité


    Claude GUÉANT a d’abord insisté sur les deux différences majeures opposant le nouveau dispositif des « patrouilleurs » et la police de proximité.

    Première différence, les « patrouilleurs » sont bien des acteurs de la lutte contre la délinquance et non des animateurs sociaux jouant un rôle pour lequel ils n’étaient ni formés ni légitimes.

    Deuxième différence, les « patrouilleurs » sont déployés sur le terrain en fonction d’une analyse spatio-temporelle en temps réel de l’évolution de la délinquance. Ils agissent, en particulier, de jour comme de nuit, à l’inverse de le police de proximité, active essentiellement en milieu de journée.

    Une police plus visible pour un sentiment de sécurité accru


    En démultipliant les patrouilles en uniforme, au contact direct de la population, et sur des zones particulièrement peuplées ou faisant l’objet d’un fort passage, le dispositif des « patrouilleurs » permet de rendre l’action de la police plus visible sur la voie publique.

    Cette visibilité accrue est un triple gage d’efficacité :

    * sur le plan préventif, d’abord, en permettant à la population et notamment aux commerçants d’alerter les patrouilleurs sur des actes de délinquance ou d’incivilités répétés ;
    * sur le plan dissuasif, ensuite, en contraignant les voyous à réfléchir à deux fois avant de passer à l’acte au vu et au su d’un policier ;
    * sur le plan répressif, enfin, en multipliant les occasions de flagrant délit.

    Une expérimentation qui fera l’objet, dans deux mois, d’une évaluation précise


    Après avoir souligné l’aspect prometteur du dispositif ainsi que l’accueil positif qui lui avait été réservé par la population, Claude GUÉANT a rappelé qu’il devait maintenant faire ses preuves sur le terrain.

    Parce que l’un des objectifs du « patrouilleur » consiste à lutter contre le développement d’un sentiment d’insécurité au sein de la population, le ministre a souhaité associer celle-ci à l’évaluation du dispositif. C’est pourquoi des représentants des commerçants, des professions exposées et des établissements scolaires participeront aux réunions de suivi organisées régulièrement autour du préfet.

    A l’issue des deux mois d’expérimentation prévus pour ce nouveau dispositif, Claude GUÉANT envisagera son extension à d’autres villes de notre pays.

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    Message par bye Mer 1 Juin - 15:11

    Nicolas Sarkozy a créé 44 fichiers policiers

    Posted: 31 May 2011 05:19 AM PDT

    En 2006, le groupe de travail sur les fichiers de police et de gendarmerie, dépendant du ministère de l’Intérieur et présidé par Alain Bauer, recensait 34 fichiers. En 2009, le rapport des députés Delphine Batho et Jacques-Alain Bénisti, mandatés par l’Assemblée suite au scandale Edvige, en répertoriait 58, soit une augmentation de 70% en trois ans.

    Plusieurs d’entre-eux avaient échappé aux radars du groupe d’Alain Bauer parce qu’expérimentaux, ou non déclarés. Les deux députés notaient par ailleurs que le quart des fichiers identifiés par les députés n’avaient aucune base légale… Un comble, pour des fichiers de police judiciaire.

    En consultant les avis de la CNIL publiés au Journal Officiel et relatifs aux traitements de données mis en oeuvre par la police ou la gendarmerie, OWNI a dénombré, à ce jour, au moins 70 fichiers policiers (plusieurs autres sont en cours de création, ou d’expérimentation, et non encore déclarés), soit 12 de plus en seulement deux ans.

    Les députés, suite au scandale Edvige, avaient pourtant expressément réclamés d’être saisis de toute création d’un nouveau fichier. Mais leur proposition de loi avait été copieusement enterrée, “en grande pompe (et) sur ordre du gouvernement“, fin 2009.

    44 de ces 70 fichiers ont été créés, ou officialisés, depuis que Nicolas Sarkozy est arrivé Place Beauvau, en 2002. Quelques-uns avaient en effet été créés avant son arrivée, à l’instar de JUDEX, le fichier des suspects de la gendarmerie, créé en 1985 et qui a fonctionné en toute illégalité jusqu’à sa régularisation, en… 2006. En tout état de cause, le nombre de fichiers a explosé de 169% depuis 2002.

    Dans le même temps, Nicolas Sarkozy a également fait adopter pas moins de 42 lois sécuritaires… et fait modifier la loi informatique et libertés, en 2004, de sorte que lorsque le gouvernement veut créer un fichier “de sûreté” ou portant sur l’ensemble de la population (carte d’identité, dossier médical partagé, etc.), il ne soit plus obligé de tenir compte de l’avis de la CNIL, mais seulement de le publier au Journal officiel. Ce qui explique aussi ce pour quoi le nombre de fichiers policiers explose véritablement à partir de 2005 :


    Fichiers d’étrangers, de “non-admis“, de passagers, d’interdits de stade, d’analyse de crimes et délits, de renseignement, de prélèvements (biométriques, génétiques)… la quasi-totalité relève du “profiling“. Très peu relèvent de l’anti-terrorisme, mais nombreux sont ceux qui visent la sécurisation des frontières, et tout particulièrement les étrangers.

    Le nombre de fichiers créés ces dernières années est tellement important que, pour les visualiser, il nous a fallu étirer l’application dans toute sa hauteur. Cliquez sur les noms des fichiers pour afficher leurs descriptions, et utiliser la souris pour visualiser les plus récents, à droite du tableau (voir aussi le tableur où ont été répertoriés tous ces fichiers) :


    Lorsqu’elle s’est sérieusement penchée, en 2008, sur le plus connu des fichiers policiers, le STIC (Système de Traitement des Infractions Constatées, casier judiciaire bis qui répertorie plus de la moitié des Français : 5 millions de “suspects” et 28 millions de victimes), la CNIL avait constaté 83% d’erreurs dans les 1400 fiches qu’elle avait été amenée à contrôler.

    Dans son rapport, la CNIL déplorait également le fait que, faute d’être mis à jour par le ministère de la Justice, le STIC continuait à ficher comme “suspects” plus d’un million de personnes qui avaient pourtant été blanchies par la Justice.

    Aucune évaluation d’ensemble de la fiabilité des fichiers policiers, de leurs taux d’erreur et du nombre de “présumés innocents” fichés, à tort, comme “suspects“, n’a jamais été effectué. Personne ne sait exactement combien de personnes y sont fichés, mais on estime que l’emploi de plus d’un million de salariés dépend de leur inscription, ou non, dans ce fichier, et que plusieurs milliers d’entre-eux ont d’ores et déjà été licenciés, ou se sont vus refuser tel ou tel emploi, parce qu’ils y figuraient.


    --------------------------------------------------------------------------------

    A noter que, pour faciliter la visualisation, nous n’avons pas mentionné les 6 fichiers créés de 1942 à 1987, à savoir :

    Fichier de la batellerie (1942)
    Fichier relatif à la carte nationale d’identité (1955)
    FAR – Fichier alphabétique de renseignements (1971)
    FNPC – Fichier national des permis de conduire (1972)
    FPNE – Fichier des personnes nées à l’étranger (1975)
    FAC – Fichier des avis de condamnations pénales (1982)
    FTPJ – Fichier de travail de la police judiciaire (1987)
    http://owni.fr/2011/05/31/nicolas-sarkozy-a-cree-44-fichiers-policiers/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+Owni+%28Owni%29
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    Message par bye Lun 15 Aoû - 18:07

    http://www.lexpress.fr/actualite/societe/le-long-combat-de-sihem-souid_1020123.html

    Le long combat de Sihem Souid
    Par Eric Kuoch, publié le 12/08/2011 à 07:00


    Cette jeune fonctionnaire de police, suspendue par le ministère de l'Intérieur pour avoir publié le livre Omerta dans la police et manqué ainsi au "devoir de réserve", cherche à obtenir la levée de ces sanctions, ce vendredi, devant le tribunal administratif de Paris.
    Sihem Souid le dit et le répète: il n'est pas question, pour elle, de baisser les bras. Cette fonctionnaire de police âgée de 30 ans espère que son combat contre l'administration française cessera vendredi matin, devant le tribunal administratif de Paris. Celui-ci, saisi en référé par son avocat, Me William Bourdon, doit examiner la sanction de 18 mois de suspension, dont 12 avec sursis, prise le 26 juillet à l'encontre de la jeune femme pour "manquement au devoir de réserve". Son livre, Omerta dans la police, publiée aux éditions du Cherche Midi, est au coeur de ce conflit. Elle y porte un regard très critique sur certains de ses collègues.

    Tout commence en avril 2009, quand cette jeune femme en poste depuis 2006 à l'aéroport d'Orly, s'indigne du comportement qualifié de "raciste", "sexiste", et "homophobe", de plusieurs fonctionnaires de la Police de l'air et des frontières (PAF). Avec sept de ses collègues, Sihem Souid décide de déposer plainte. Mais le dossier sera classé sans suite.

    Cette démarche, considérée comme une provocation par sa hiérarchie, marque le début d'un feuilleton judiciaire. Accusée par la PAF d'Orly d'avoir fourni des documents internes à un journaliste, Sihem Souid est suspendue une première fois en juin 2009. Elle réussit à prouver son innocence, puis à être réintégrée le 23 novembre de la même année, au service de la prévention à la Préfecture de police de Paris.

    "C'est un acharnement pur et simple"

    Le conflit est relancé avec la publication de son livre, en octobre 2010. "Je ne pouvais pas ne pas en parler. Les actes dont j'avais été témoin étaient indignes des principes républicains que la Police est sensée suivre", explique-t-elle à LEXPRESS.fr.

    L'ouvrage sort le 14 octobre 2010, et connaît un fort retentissement. Dès le lendemain, elle comparaît devant le tribunal correctionnel de Créteil pour "divulgation du secret professionnel", soit les mêmes raisons qui lui ont valu une exclusion temporaire.

    Dans l'attente de jugement, cette procédure judiciaire se double d'une procédure disciplinaire, c'est à dire interne à la police, sur intervention du ministère de l'Intérieur. "C'est un acharnement pur et simple, estime Sihem Souid. Lorsqu'ils enclenchent la machine, c'est pour vous démolir, rien d'autre. "A la suite de la parution du livre, le ministère la suspend, le 1er décembre 2010, pour " manquement au devoir de réserve."

    "La sanction est disproportionnée avec les faits reprochés"

    Sihem Souid pense voir le bout du tunnel le 18 mars 2011, quand le tribunal correctionnel de Créteil lui donne finalement raison et prononce la relaxe. Elle est une nouvelle fois réintégrée le 1er avril. Une petite victoire judiciaire. Mais la machine administrative, elle, ne s'arrête pas. Nouvelle convocation le 28 avril. A peine un mois après sa réintégration, elle se retrouve devant le Conseil de discipline de l'Inspection Générale des Services (IGS), où elle va bénéficier d'un coup de pouce des élus syndicaux...

    "On a boycotté la réunion, car l'administration devait nous délivrer l'ouvrage de Mme Souid, pour que l'on puisse l'examiner. On ne peut pas se réunir sur un dossier sans le connaître", explique Philippe Bouchu, élu Unsa-intérieur. Mais rien n'y fait, Sihem Souid retourne devant ce même Conseil le 24 mai. Et le couperet tombe: 18 mois de suspension sans salaire, dont 12 mois fermes. "La sanction est disproportionnée avec les faits reprochés", se désole Philippe Bouchu.

    Offensive médiatique

    En réaction, Sihem Souid lance une offensive médiatique, et plaide sa cause auprès du grand public. Claude Guéant, le ministre de l'Intérieur, met deux semaines à valider la sentence. Le 26 juillet, celle-ci est officialisée, mais ramenée à 18 mois d'exclusion, dont 6 mois fermes. "Claude Guéant a fait un geste", reconnaît Philippe Bouchu. L'intéressée, elle ne décolère pas: "C'est parce qu'il a senti la pression médiatique, qu'il a réduit la peine. De toute façon je n'abandonnerai pas, j'irai jusqu'au bout. Je n'ai commis aucune faute."

    Impatiente de connaître la décision du tribunal administratif, elle a déjà prévu une stratégie en cas d'échec. "Si demain, ça ne donne rien, le Conseil d'Etat me donnera raison, annonce-t-elle. Et si au Conseil d'Etat, ça ne marche pas, je saisirai la Cour Européenne des Droits de l'Homme. Il y a une jurisprudence européenne qui restreint le devoir de réserve..."

    Sihem Souid n'a pourtant rien d'une mauvaise élève de la police. Major de sa promotion, elle représente même, d'après Philippe Bouchu, "un modèle d'intégration républicaine". Ces deux années de lutte n'ont pas altéré son moral. "J'ai confiance en la justice française, assure-t-elle. La France ne peut se permettre d'avoir de tels manquements à l'esprit républicain. Et je suis déterminée à les combattre".



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