Bonjour,
Vous trouverez ci-dessous et en pièce jointe les informations
concernant ce concert de soutien.
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas encore Dominique Grange, nous vous invitons à visiter son site internet
. Nous pouvons aussi vous envoyer, par courriel, son dossier de presse (4,77 Mo).
Merci de faire circuler.
*
DOMINIQUE GRANGE*
en concert avec PHILIPPE MIRA (piano)
& projection de dessins de TARDI
PREMIÈRE PARTIE
*Mathias Autexier / Catherine Roy*
(percussions, piano & accordéon)
*CONCERT DE SOUTIEN*
*AUX PRISONNIERS POLITIQUES D’ACTION DIRECTE*
à partir de 18 h : PROJECTION, EXPOSITION, INFOS DE LUTTES,
BUVETTE...
*VENDREDI 3 AVRIL - 21 h*
À FORCALQUIER (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE)
CENTRE CULTUREL DE LA BONNE FONTAINE
entrée : 10 euros / précaires : 5 euros
Réservation 06 81 98 80 49
S’inscrivant dans la lignée des mouvements révolutionnaires des
années 1970, Action directe, groupe internationaliste de lutte armée, revendiquait de nombreuses actions anticapitalistes et
anti-impérialistes. C’est dans ce cadre que ces militants ont agi.
Aujourd’hui, alors que l’État utilise l’arsenal des lois antiterroristes
pour surveiller et incarcérer des militants politiques qui s’opposent
au système capitaliste (cf. l’affaire récente des présumés saboteurs de la mouvance anarcho-autonome, les incarcérations d’« islamistes » ainsi que les nombreuses gardes à vue de militants, de syndicalistes, etc.), il nous semble important de se mobiliser largement pour obtenir la libération de tous les prisonniers politiques et l’abrogation de ces lois liberticides qui, sous couvert de « terrorisme », autorisent la surveillance et l’enfermement de nos compagnons de lutte.
*La situation actuelle des prisonniers d’Action directe*
Incarcéré depuis mars 1984, Régis Schleicher a été condamné à
perpétuité, dont quinze ans incompressibles. Libérable depuis 1999,
ses cinq demandes de libération conditionnelle ont été rejetées. En 2003, à Moulins Yzeure, après vingt ans d’enfermement face à cet horizon clos, son aspiration naturelle à la liberté l’a décidé à tenter de s’évader.
Il va entamer sa vingt-sixième année de détention !
Joëlle Aubron, Nathalie Ménigon, Georges Cipriani et Jean-Marc
Rouillan sont arrêtés en février 1987 et condamnés aussi à perpétuité par une cours d’assise composée uniquement de magistrats (en application de la loi de 1986, dite antiterroriste, créant cette juridiction spéciale).
Joëlle Aubron, atteinte d’un cancer, a été libérée pour « raison
médicale ». Elle est morte quelques mois après, le 1er mars 2006.
Nathalie Ménigon a obtenu, en août 2007, un régime de semi-liberté
(travail la journée et retour en prison tous les soirs et les
week-ends), qui lui a permis, au bout d’une année, de bénéficier
d’une libération conditionnelle.
Aujourd’hui, Georges Cipriani, Jean-Marc Rouillan et Régis Schleicher
sont toujours incarcérés pour des faits ayant eu lieu il y a plus de
vingt ans.
Georges et Régis attendent depuis plus d’un an l’avis d’une
commission nouvellement créée qui doit statuer sur leur demande de libération conditionnelle... Georges a terminé, depuis février 2005, la peine de sûreté de dix-huit ans qui accompagnait sa condamnation à la prison à perpétuité. Régis, quant à lui, l’a terminée depuis 1999. Ils peuvent donc tous prétendre à une libération conditionnelle. À ce jour, toutes leurs demandes ont été rejetées.
Jean-Marc a obtenu un régime de semi-liberté en décembre 2007, mais il a été réincarcéré suite à un entretien publié dans la presse, le 1er octobre 2008, et s’est vu refuser la libération conditionnelle dont il aurait dû bénéficier en décembre 2008.
Nous n’oublions pas les conditions spéciales d’incarcération que
subissent les prisonniers politiques et les rebelles :
- isolement (dans certains cas de plusieurs années)
- communication avec l’extérieur entravée (courrier, téléphone)
- permis de visite délivrés au compte-gouttes, etc.
Rappelons que les améliorations des conditions de détention des
prisonniers d’AD ont été acquises par la lutte (notamment des grèves de la faim) et par la solidarité organisée hors des murs.
*Cet acharnement n’a que trop duré ! Affirmons notre refus face à
cette vengeance d’État.*
*Libération des militants d’Action directe et des prisonniers
politiques.*
*LA SOLIDARITÉ EST UNE ARME !*
organisation
*DÉFENSE ACTIVE*
80, rue de Ménilmontant - 75020 PARIS
http://lesmotsenmarche.free.fr
Vous trouverez ci-dessous et en pièce jointe les informations
concernant ce concert de soutien.
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas encore Dominique Grange, nous vous invitons à visiter son site internet
. Nous pouvons aussi vous envoyer, par courriel, son dossier de presse (4,77 Mo).
Merci de faire circuler.
*
DOMINIQUE GRANGE
en concert avec PHILIPPE MIRA (piano)
& projection de dessins de TARDI
PREMIÈRE PARTIE
*Mathias Autexier / Catherine Roy*
(percussions, piano & accordéon)
*CONCERT DE SOUTIEN*
*AUX PRISONNIERS POLITIQUES D’ACTION DIRECTE*
à partir de 18 h : PROJECTION, EXPOSITION, INFOS DE LUTTES,
BUVETTE...
*VENDREDI 3 AVRIL - 21 h*
À FORCALQUIER (ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE)
CENTRE CULTUREL DE LA BONNE FONTAINE
entrée : 10 euros / précaires : 5 euros
Réservation 06 81 98 80 49
S’inscrivant dans la lignée des mouvements révolutionnaires des
années 1970, Action directe, groupe internationaliste de lutte armée, revendiquait de nombreuses actions anticapitalistes et
anti-impérialistes. C’est dans ce cadre que ces militants ont agi.
Aujourd’hui, alors que l’État utilise l’arsenal des lois antiterroristes
pour surveiller et incarcérer des militants politiques qui s’opposent
au système capitaliste (cf. l’affaire récente des présumés saboteurs de la mouvance anarcho-autonome, les incarcérations d’« islamistes » ainsi que les nombreuses gardes à vue de militants, de syndicalistes, etc.), il nous semble important de se mobiliser largement pour obtenir la libération de tous les prisonniers politiques et l’abrogation de ces lois liberticides qui, sous couvert de « terrorisme », autorisent la surveillance et l’enfermement de nos compagnons de lutte.
*La situation actuelle des prisonniers d’Action directe*
Incarcéré depuis mars 1984, Régis Schleicher a été condamné à
perpétuité, dont quinze ans incompressibles. Libérable depuis 1999,
ses cinq demandes de libération conditionnelle ont été rejetées. En 2003, à Moulins Yzeure, après vingt ans d’enfermement face à cet horizon clos, son aspiration naturelle à la liberté l’a décidé à tenter de s’évader.
Il va entamer sa vingt-sixième année de détention !
Joëlle Aubron, Nathalie Ménigon, Georges Cipriani et Jean-Marc
Rouillan sont arrêtés en février 1987 et condamnés aussi à perpétuité par une cours d’assise composée uniquement de magistrats (en application de la loi de 1986, dite antiterroriste, créant cette juridiction spéciale).
Joëlle Aubron, atteinte d’un cancer, a été libérée pour « raison
médicale ». Elle est morte quelques mois après, le 1er mars 2006.
Nathalie Ménigon a obtenu, en août 2007, un régime de semi-liberté
(travail la journée et retour en prison tous les soirs et les
week-ends), qui lui a permis, au bout d’une année, de bénéficier
d’une libération conditionnelle.
Aujourd’hui, Georges Cipriani, Jean-Marc Rouillan et Régis Schleicher
sont toujours incarcérés pour des faits ayant eu lieu il y a plus de
vingt ans.
Georges et Régis attendent depuis plus d’un an l’avis d’une
commission nouvellement créée qui doit statuer sur leur demande de libération conditionnelle... Georges a terminé, depuis février 2005, la peine de sûreté de dix-huit ans qui accompagnait sa condamnation à la prison à perpétuité. Régis, quant à lui, l’a terminée depuis 1999. Ils peuvent donc tous prétendre à une libération conditionnelle. À ce jour, toutes leurs demandes ont été rejetées.
Jean-Marc a obtenu un régime de semi-liberté en décembre 2007, mais il a été réincarcéré suite à un entretien publié dans la presse, le 1er octobre 2008, et s’est vu refuser la libération conditionnelle dont il aurait dû bénéficier en décembre 2008.
Nous n’oublions pas les conditions spéciales d’incarcération que
subissent les prisonniers politiques et les rebelles :
- isolement (dans certains cas de plusieurs années)
- communication avec l’extérieur entravée (courrier, téléphone)
- permis de visite délivrés au compte-gouttes, etc.
Rappelons que les améliorations des conditions de détention des
prisonniers d’AD ont été acquises par la lutte (notamment des grèves de la faim) et par la solidarité organisée hors des murs.
*Cet acharnement n’a que trop duré ! Affirmons notre refus face à
cette vengeance d’État.*
*Libération des militants d’Action directe et des prisonniers
politiques.*
*LA SOLIDARITÉ EST UNE ARME !*
organisation
*DÉFENSE ACTIVE*
80, rue de Ménilmontant - 75020 PARIS
http://lesmotsenmarche.free.fr