LIBRE DISCUSSION DANS LES COULISSES DE DEMAIN

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    Planète : SOS ? - Page 3 Empty Re: Planète : SOS ?

    Message par Glode Dim 18 Jan - 22:32

    Le
    Capitaine Paul Watson


    Planète : SOS ? - Page 3 Capn-paul
    « Je suis honoré d’être
    au service des baleines, des dauphins, des phoques et
    de toutes les
    autres créatures vivant sur cette Terre. Leur beauté,
    leur intelligence, leur force et leur esprit m’ont
    inspiré. Ces êtres m’ont parlé,
    m’ont touché et j’ai reçu de
    nombreux témoignages amicaux de membres de différentes
    espèces.
    Si les baleines survivent et prolifèrent, si les phoques
    continuent à vivre et à donner naissance, et
    si je peux participer à leur assurer un futur prospère,
    alors je serai heureux pour toujours. »
    Paul Watson

    Capitaine Paul Watson
    Fondateur de la Sea Shepherd Conservation Society
    Membre fondateur de Greenpeace


    « Le Capitaine Paul Watson est le défenseur
    de la nature le plus agressif, déterminé,
    actif, et effectif au monde. » - Farley Mowat.

    http://www.seashepherd.fr/capitaine_watson.htm


    En
    1975, Paul fut premier officier, au côté du
    capitaine John Cormack, lors de la confrontation avec
    la flotte baleinière soviétique. En juin
    1975, Robert Hunter et Paul Watson furent les premières
    personnes à mettre leur vie en danger, en plaçant
    leur Zodiac entre un harpon russe et un groupe de cachalots
    sans défense. Durant cette confrontation, un cachalot
    harponné surgit dangereusement au dessus de l’embarcation
    de Paul. Dans son œil, Paul discerna de la compréhension.
    Il sentit que l’animal savait pourquoi il était
    là et ce qu’il essayait de faire. Il vit
    cet énorme animal se dégager de dessus
    le Zodiac, glisser dans l’eau et mourir. Cet échange
    de regards, pendant quelques secondes, changea la vie
    de Paul pour toujours. Il fit dès lors le vœu
    de défendre toute sa vie les créatures marines.

    Paul Watson est un auteur prolifique. Ses ouvrages sont :
    Shepherds of the sea* (1979), Sea Shepherd : my fight
    for Whales and Seals* (1982), Cry Wolf* (1985), Earthforce
    ! (1993), Ocean Warrior (1994), et Seal Wars (2002).

    *
    ces ouvrages sont aujourd’hui épuisés,
    et ne peuvent être trouvés que via des services
    de re-vente de livres.


    Les gardes côtes Canadiens éperonnent le Farley Mowat

    Deux écologistes du Farley Mowat comparaissent à Halifax


    Sea Shepherd Attacks Japanese Whaling fleet. Feb 12, 2007

    https://www.youtube.com/watch?v=KDsZcLVXyn8&feature=related

    http://www.seashepherd.fr/
    Planète : SOS ? - Page 3 Focus_080708_Operation_Musashi_343




    width="100%">





    valign="middle" height="10">
    Campagne 2008-2009 de défense des baleines, l'Opération Musashi
    Nouveau: Vidéos de la campagne en ligne!




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    14, avenue de Messine
    75008
    PARIS
    FRANCE

    http://www.seashepherd.fr/joindre_donner.htm

    Bonne année à tous
    Glode
    bye
    bye
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    Planète : SOS ? - Page 3 Empty Re: Planète : SOS ?

    Message par bye Lun 27 Avr - 16:12

    Une deuxième vie pour le projet Biosphère II?


    Une deuxième vie après le début de l'aventure "Biosphère II, les scientifiques aimeraient bien réitérer l'expérience et réussir à reproduire un système écologique artificiel en vase clos.
    Avec une superficie de 1,27 ha, biosphère II est le plus grand système écologique fermé jamais construit. On y avait reconstitué différents écosystèmes : une forêt tropicale humide, un océan avec sa barrière de corail, une mangrove, une savane, un désert, un terrain dédié à l'agriculture, un habitat humain avec ses quartiers privés et ses lieux de travail, ainsi qu'un étage en sous sol pour les installations techniques. De l'eau chaude et froide circulait à travers un réseau de tuyaux indépendant, et l'énergie électrique était fournie par une centrale au gaz naturel.

    Isolée du sol par une chape de béton et de l'atmosphère terrestre par une structure de verre étanche, Biosphère II est une serre longue de 154 mètres, large de 110 mètres, avec une hauteur maximale de 26 mètres. Des chercheurs continuent à travailler à l'intérieur du complexe de 200 millions de dollars, mais avec des ambitions plus modestes. Actuellement la recherche se concentre davantage sur le fonctionnement des déserts semi-arides plutôt que sur la dynamique écologique d'une planète miniature.

    "Nous avons besoin de faire cette expérience à nouveau, et mieux", a déclaré Daniel Botkin de l'Université de Californie et naturaliste à Santa Barbara. "Nous ne comprenons pas comment les écosystèmes fonctionnent et comment la vie est durable sur
    Terre."

    "Le projet biosphère II demeure extrêmement important. Il peut aider à fournir des réponses à des questions jusqu'ici irrésolues de manière classique. Le problème reste qu'aujourd'hui la construction d'une biosphère engendrerait des coûts prohibitifs", a déclaré
    Joaquin Ruiz, doyen de la faculté de sciences à l'Université de l'Arizona, qui a repris la gestion de la biosphère II en 2007.


    http://www.enerzine.com/1037/7469+une-deuxieme-vie-pour-le-projet-biosphere-ii+.html
    bye
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    Planète : SOS ? - Page 3 Empty Re: Planète : SOS ?

    Message par bye Mar 5 Mai - 17:05

    En Europe, la nature disparaît à un rythme inquiétant


    LE MONDE - 05.05.09 - ATHE[/size]
    [size=9]NES ENVOYÉE SPÉCIALE

    Faire un bilan est toujours risqué. Stavros Dimas, le commissaire européen à l'environnement, s'est prêté à l'exercice à Athènes, les 27 et 28 avril, devant la fine fleur des experts de la biodiversité. Ce bilan ne s'imposait pas seulement parce que le mandat de la
    Commission arrive à échéance dans quelques semaines, mais aussi parce qu'il y a sept ans, la communauté internationale s'était fixé rendez-vous en 2010 - autant dire demain - pour mesurer les progrès accomplis en matière de lutte contre la disparition des espèces et la dégradation des écosystèmes constatées sur tous
    les continents.


    L'objectif avait été adopté par les Nations unies, mais l'Union européenne (UE) avait choisi de se montrer encore plus ambitieuse en s'engageant à "stopper l'érosion de la biodiversité" à l'horizon
    2010. L'état des lieux dressé par Jacqueline McGlade, la directrice exécutive de l'Agence européenne de l'environnement (AEE), montre qu'un peu de prudence aurait évité aux Européens de devoir assumer aujourd'hui un véritable échec.
    "L'objectif de 2010 ne sera pas atteint et la biodiversité européenne demeure très fortement menacée", a-t-elle confirmé.


    De 40 % à 70 % des espèces d'oiseaux et de 50 % à 85 % des habitats dans lesquels se déploient la faune et la flore européennes se trouvent ainsi dans "une situation de conservation critique", selon les chiffres d'un rapport que l'AEE s'apprête à publier.
    A-t-on au moins réussi à ralentir la cadence à laquelle la nature dépérit sous l'effet de la fragmentation du territoire, de l'extension des villes, des routes et de l'intensification de l'agriculture ? Le
    débat reste ouvert.

    "Au niveau mondial, la moitié de la nature a disparu depuis l'ère préindustrielle et elle recule encore au rythme de 1 % par an. C'est peut-être moins en Europe depuis la création de Natura 2000", avance Andrew Balmford, professeur à l'université de Cambridge (Royaume-Uni). Avec ses 25 000 sites couvrant 17 % du territoire européen, Natura 2000 constitue le premier réseau d'aires protégées au monde. Mais cette vitrine a surtout vocation
    à préserver les espèces dites "remarquables", pas la biodiversité que l'on pourrait qualifier d'ordinaire, sur laquelle repose l'essentiel des services rendus par les écosystèmes.


    En 2006, l'UE a adopté un plan d'action pour la protection de la biodiversité. La mise en oeuvre n'a pas suivi. "Ce plan n'a aucun caractère contraignant. C'est sa grande faiblesse. Sans menaces de sanctions, il est illusoire de penser que les gouvernements ou les acteurs économiques prendront en compte la biodiversité", remarque Tony Long, représentant du Fonds mondial de la nature (WWF).

    Les scientifiques font aussi leur mea culpa : "Nous n'avons pas réussi à démontrer pourquoi la sauvegarde de la biodiversité
    est si importante", a reconnu John Hutton, du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE). Alors que, grâce au travail du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), à celui de l'économiste britannique Nicholas Stern et à l'engagement de l'ancien vice-président américain Al Gore, le changement climatique s'est hissé au sommet de l'agenda
    mondial, la crise de la biodiversité reste dans l'ombre. Et peu d'hommes politiques en ont saisi la gravité.


    "Nous n'avons pas un indicateur simple - la hausse des températures ou la concentration du CO2 dans l'atmosphère - pour nous alerter. Nous n'avons pas non plus de scénarios nous mettant en garde contre les risques à franchir certains seuils, explique Lucien Chabason, de l'Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri). Enfin, nous n'avons pas encore vécu d'épisodes comme Katrina ou la canicule de 2003 pour
    aider à la prise de conscience du problème." Certains phénomènes commencent cependant à frapper les esprits, tels l'effondrement des stocks de poissons ou la mortalité massive des abeilles.


    "Le changement climatique et la perte de biodiversité sont intimement liés, ces deux crises doivent être traitées avec la
    même importance", a plaidé Stavros Dimas. Les écosystèmes jouent en effet un rôle majeur dans la régulation du climat. Les experts estiment qu'ils absorbent la moitié des émissions de gaz à effet de serre émis par l'homme.


    A Athènes, la Commission et les scientifiques ont appelé les Européens à redoubler d'efforts et à se doter, secteur par secteur - agriculture, équipements, aménagements du territoire, etc. -, d'objectifs chiffrés qui permettront réellement d'enrayer la destruction de la nature.
    Bruxelles devrait lancer prochainement une campagne pour sensibiliser les citoyens européens. En 2007, 75 % d'entre eux ignoraient la signification du mot biodiversité, selon un sondage réalisé pour la Commission.


    Laurence Caramel

    http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/05/05/en-europe-la-nature-disparait-a-un-rythme-inquietant_1189050_3244.html
    bye
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    Planète : SOS ? - Page 3 Empty Re: Planète : SOS ?

    Message par bye Ven 8 Mai - 8:06

    La production de l'huile de palme met en péril l'écologie...



    La production de l'huile de palme pose un sérieux problème aux fervents défenseurs de l'environnement, dans la mesure où celle-ci se glisse un peu partout dans les aliments qui ponctuent notre quotidien. En effet, cette matière première incontournable de l’industrie agroalimentaire occidentale représente un tiers de
    l’huile végétale produite dans le monde.On retrouve l'huile de palme dans plus d'un produit de grande consommation sur dix vendus en Europe: biscuits, huile de friture, sauces, mayonnaise, chips, chocolat et barres chocolatées, etc.



    La production de l'huile de palme inquiète d'autant plus qu'elle semble être omniprésente dans nos habitudes de consommation. On la retrouve notamment également dans les produits cosmétiques, mais aussi dans les agrocarburants.
    Elle a donc su se rendre indispensable alors que sa culture est un véritable fléau pour l'écologie. Déboisement intensif, destruction des habitats d’espèces animales déjà menacées, impact social sur les populations locales... autant de problèmes liés à la fabrication de cette huile.


    La production de l'huile de palme se fait principalement en Malaisie et en Indonésie, totalisant à eux deux plus de 80% du marché mondial. Alors que la Malaisie a d’ores et déjà converti la plupart de ses forêts en plantations, l’Indonésie tente à tout prix de rattraper et dépasser sa rivale, aux dépens de ses forêts tropicales, uniques au monde. Conséquence? On déboise des forêts entières pour y installer des plantations, et la surface dévolue aux palmiers à
    huile en Indonésie a sextuplé depuis 1985, une progression qui ne semble pas près de ralentir.


    D’autres pays tropicaux, comme la Papouasie-Nouvelle-Guinée, Bornéo ou la Colombie, souhaitent aussi se mettre à la production d'huile de palme et aménagent de nouvelles plantations.En 2007, environ 1,3 million d’hectares de forêt seront rasés à Bornéo pour étendre la surface cultivée en palmiers à huile. Tout en comprenant le besoin de nouveaux revenus pour ces pays, les ONG
    environnementales dénoncent ces pratiques et le risque que les forêts en paient le prix.



    Cette déforestation massive menace de plus l'extinction de certaines espèces animales, telles que les orang-outans, qui vivent dans les forêts des principaux pays producteurs. Heureusement; des solutions voient peu à peu le jour pour alléger l'impact de la production de l'huile de palme sur l'environnement. Certaines
    méthodes de culture ménageant les sols permettent par exemple d’éviter leur épuisement trop rapide, qui contraint au défrichement de nouvelles portions de forêt; une meilleure productivité contribue également à alléger la pression exercée sur les forêts.


    Des associations environnementales, telles que Les Amis de la Terre, voire des investisseurs éthiques se mobilisent également pour demander aux entreprises agroalimentaires de s’engager sur les conditions de production de l’huile de palme qu’elles utilisent. Parmi les premiers à réagir, le distributeur suisse Migros, qui s’est tourné vers l’ONG environnementale WWF pour établir des critères garantissant une production durable d’huile de palme.

    Grâce à ces efforts pour concilier la production de l'huile de palm aux enjeux écologiques, 250 acteurs importants de cette industrie ont créé, en collaboration avec le WWF, la RSPO (Roundtable
    on Sustainable Palm Oil), une organisation s’engageant à promouvoir l’huile de palme de production durable et à sauvegarder la forêt tropicale.


    A notre échelle, que peut-on faire? Le premier réflexe à adopter est bien évidemment de restreindre sa consommation d'huile de palme en remplaçant les biscuits, les sauces, les chips ou barres chocolatées par des produits frais, ce qui sera de toute façon bénéfique pour votre santé. Plus globalement, pour contribuer à
    limiter les effets de la production de l'huile de palme sur notre planète, évitez les agrocarburants, diminuez votre consommation d'énergie, afin de ne pas encourager son développement.


    Source : http://www.24pm.fr/Maison-ecologique/alimentation/359-la-production-de-lhuile-de-palme-met-en-peril-lecologie
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    Message par bye Sam 6 Juin - 19:04

    Feu vert pour un barrage géant en Amazonie


    Par Denis Delbecq

    Cette fois, tous les obstacles sont levés. L’agence brésilienne de
    l’environnement (Ibama) a donné son feu vert au projet de barrage de Jirau, qui viendra se mettre en travers du cours de la Madeira, le plus important affluent de l’Amazone. Le barrage, d’une puissance installée de 3300 mégawatts, sera construit par un consortium international, sous l’égide de GDF Suez qui pourra l’exploiter pendant 35 ans. Au travers de sa filiale Tractebel Energia, le
    groupe est le premier producteur privé d’électricité au Brésil avec 7000 MW de puissance installée, dont 73% d’hydroélectricité.


    Le barrage de Jirau fait partie d’un gigantesque complexe hydroélectrique, le plus important d’Amérique latine, sur le bassin de la rivière Madeira. Quatre barrages, pour une puissance maximale de 6450 mégawatts, seront construits, dont un sur le cours bolivien de la rivière.
    L’ensemble représente plusieurs centaines de kilomètres carrés de retenue d’eau.
    Le projet prévoit également un système d’écluses pour faciliter la navigation et le transport de productions agricoles, forestières et minières. Plus de deux mille kilomètres de lignes à haute tension doivent aussi être construites. Au total, quinze à vingt milliards de dollars devraient être investis.


    Bien évidemment, le complexe de Madeira ne fait pas l’unanimité. De nombreuses organisations écologistes brésiliennes et
    internationales combattent âprement ce qu’elles qualifient déjà de désastre écologique. De nombreuses manifestations ont été organisées depuis trois ans, au Brésil comme en Bolivie. Au total, selon le Mouvement des personnes affectées par les barrages (MAB, Brésil), cinq mille familles amazoniennes sont concernées, dont beaucoup devront être déplacées.


    Au MAB, ont met notamment en avant la rupture d’un barrage le 27 mai dernier dans le nord-est du Brésil. Soumis à des pluies
    diluviennes, l’Amazonie a connu des inondations spectaculaires, provoquant la rupture de la retenue d’eau. Une ville a partiellement été noyée, parfois sous vingt mètres d’eau, et quatre personnes ont trouvé la mort dans l’accident.
    L’organisation a dénoncé à maintes reprises la manière dont l’agence gouvernementale Ibama évalue l’impact environnemental des projets qui lui sont soumis.


    [size=9]Selon le WWF, ce sont potentiellement un million
    de kilomètres carrés qui seront, directement ou indirectement, concernés par le complexe de Madeira. Presque deux fois la superficie de la France. L’organisation met en avant l’exceptionnelle biodiversité, notamment aquatique, et la présence de poissons dont la longue migration sur le fleuve Madeira depuis l’estuaire de l’Amazone sera perturbée par la présence des barrages. Les
    organisations écologistes craignent aussi que la création de voies navigables ne favorise la déforestation (production de soja, élevage de bovins) et stimule l’orpaillage clandestin, qui génère d’importants rejets de mercure dans l’environnement.


    Face aux multiples contestations, le gouvernement brésilien tient bon, arguant de la nécessité de produire de l’électricité pour
    développer le pays, et notamment les états amazoniens, tout en améliorant son indépendance énergétique. Une fois achevé, le complexe de Madeira produira à lui seul près de 8% de l’électricité du pays! Une énergie renouvelable, dont l’impact sur le climat est loin d’être négligeable. En raison des températures élevées qui règnent dans les régions tropicales, la végétation noyée sous les
    eaux des barrages libère du méthane, un gaz au pouvoir réchauffant vingt fois supérieur à celui du gaz carbonique, ainsi que du gaz carbonique et du protoxyde d’azote.


    Suivant les estimations, les grands barrages de la planète émettraient entre 70 et 100 millions de tonnes de méthane par an dans l’atmosphère, soit autant que l’ensemble des rizières. Des travaux conduits au CNRS avaient montré il y a quelques années que le barrage de Petit-Saut (Guyane Française) est susceptible —sur une période d’un siècle— de rejeter autant de gaz à effet de serre qu’une centrale à gaz de puissance équivalente (1). De
    nombreuses études sont conduites pour déterminer si ce gaz, qui est essentiellement libéré lors du passage dans les turbines, pourrait être récupéré.


    (1) L’ouvrage a été mis en eau en 1994.

    http://mondedurable.science-et-vie.com/2009/06/feu-vert-pour-un-barrage-geant-en-amazonie/
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    Message par bye Lun 15 Juin - 19:37

    Six degrés en plus d'ici 2100?



    L’existence et l’importance des
    changements climatiques ont été contestées pendant des années, mais aujourd’hui
    le débat est clos. Le phénomène existe bel et bien. Le travail de milliers de
    chercheurs autour du groupe international d’experts sur le climat (GIEC) a
    permis de trancher – un résultat récompensé par le prix Nobel en 2007. Mais de
    nombreux points techniques restent à éclaircir.

    L’effet de serre est un mécanisme bien connu. Il a été
    découvert dès le XIXe siècle : Joseph Fourier le décrit en 1824. En quelques
    mots, les gaz de l’atmosphère absorbent une partie de l’énergie du rayonnement
    solaire et, ce faisant, réchauffent la planète. Plus il y a de gaz, plus ils
    réchauffent. Ces gaz sont nombreux : vapeur d’eau, CO2, méthane, protoxyde
    d’azote, etc. Grâce à ces gaz, la température moyenne de la Terre est compatible
    avec la vie. Sans eux, elle chuterait à -18°C.

    En 1896 déjà, le chercheur suédois Arrhenius calcule
    qu’un doublement de la quantité de CO2 dans l’atmosphère augmentera la
    température moyenne de 4°C.

    Une modification historique
    Les activités humaines ont amené une augmentation
    considérable de certains gaz à effet de serre. Pour le CO2, la concentration
    atmosphérique mondiale est passé d’environ 280 ppm (parties par million) en 1750
    à 380 ppm en 2005. Cette augmentation est due essentiellement à l’utilisation
    des combustibles fossiles (transports et chauffage…) et au changement
    d’utilisation des terres. Les augmentations du méthane et du protoxyde d’azote
    sont principalement dues à l’agriculture.



    Cette augmentation laisse logiquement prévoir une
    augmentation de la température de la planète. C’est effectivement ce que l’on
    observe. En un siècle, entre 1906 et 2005, la température moyenne a augmenté de
    0,74 °C. Onze des douze dernières années figurent parmi les douze années les
    plus chaudes depuis qu’on dispose d’enregistrements (depuis 1850). Cela peut
    sembler une modification modeste, mais à titre de comparaison, une glaciation
    planétaire ne correspond qu’à une baisse de 2 à 4 degré.

    Précédents
    La planète alterne des périodes de réchauffement et de
    refroidissement (glaciations). Celles-ci sont dues à des oscillations de
    l’orbite de la Terre et des modifications du rayonnement solaire. Mais ces
    modifications correspondent à des phénomènes cycliques. Ce n’est pas le cas de
    l’effet de serre. Les gaz s’accumulent et les effets s’additionnent. Pour
    l’instant, il n’y a pas de régulation naturelle prévisible. Par ailleurs, les
    modifications observées actuellement semblent beaucoup plus rapides que celles
    du passé.

    Débats
    L’existence du réchauffement climatique ne s’est imposée
    que progressivement. Pendant des années diverses personnalités ont nié la
    réalité du phénomène, son importance ou l’implication de l’homme dans celui-ci.
    Quoique provenant d’horizons divers, et défendant des points de vue parfois très
    différents, voire contradictoires, ces opposants ont été regroupés sous le terme
    de « sceptiques », d’après un ouvrage de l’économiste Bjorn Lomborg : The
    skeptical environmentalist
    (l’environnementaliste sceptique)
    [voir débat]. En France, Claude
    Allègre s’est fait un relai de ces idées. Souvent, les sceptiques profitent
    d’inconnues sur des parties du sujet pour remettre en cause l’ensemble du
    phénomène. Certains de ces sceptiques ont été financés par l’industrie
    pétrolière et en particulier Exxon (Esso en France).

    Aujourd’hui, pourtant, le débat est clos. La communauté
    scientifique s’est organisée dans un effort collectif international autour du
    Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC, en anglais
    IPCC). Elle a mis à jour les différentes inconnues, les zones d’ombre et aussi
    les points sur lesquels les scientifiques étaient d’accord. Le Giec a publié
    plusieurs rapports - le dernier, en 2007- qui forment un état de l’art en la
    matière et qui font référence aujourd’hui : le Giec a même été récompensé par le
    prix Nobel de la paix en 2007 pour ses travaux.

    Les projections du Giec
    Les scientifiques du Giec ont, entre autres choses,
    élaborés différents scénarios sur l’évolution possible du climat. Ces scénarios
    s’organisent en familles, sur la base d’hypothèses sur les mode de développement
    – plus ou moins globalisés, plus ou moins rapide, plus ou moins énergivores,
    etc. Ils évaluent les quantités de gaz à effet de serre qui pourraient être
    libérés dans l’atmosphère et l’augmentation des températures correspondantes. Il
    existe de grandes divergences entre ces scénarios, entre les modèles qui les
    sous-tendent et entre les prévisions qu’ils amènent. Toutefois, on peut en
    retirer au moins deux conclusions.

    La première est que si l’humanité ne change pas son mode
    de fonctionnement, la quantité de gaz à effet de serre va atteindre des seuils
    qui affecteront profondément notre climat : le seuil habituellement retenu est
    de 450 ppm de CO2 dans l’atmosphère (voir ci-dessus).
    Ensuite, l’hypothèse
    moyenne du réchauffement est de l’ordre de +2°C en 2100, mais des scénarios bien
    plus pessimistes (+6°C et même davantage) ne sont plus exclus.

    Le Giec a analysé les conséquences que pourrait avoir un
    tel réchauffement.
    [voir fiche Conséquences].
    Feedback positifs
    Si les lignes générales du fonctionnement climatiques
    sont aujourd’hui bien comprises, restent de nombreux points à éclaircir, de
    l’aveu même des scientifiques. Parmi ceux-ci, on peut noter différents
    mécanismes qui viennent interagir avec l’effet de serre et pourraient
    l’amplifier. On parle de rétroaction positives (ou positive feedback).

    L’un est la fonte des glaces. Les glaces réfléchissent la
    lumière du soleil : elles en renvoient une partie importante dans l’espace. En
    revanche, l’eau absorbe la chaleur. La fonte de l’arctique qui est une
    conséquence du réchauffement renforce à son tour ce mécanisme.
    Un autre est
    la fonte du pergélisol, la couche de terre glacée en Sibérie ou en Amérique.
    Quand celle-ci fond, les microorganismes qui sont présents se mettent à libérer
    des gaz à effet de serre.

    Enfin, il existe des quantités importantes de CO2
    stockées dans les océans et dans les forêts. Il est possible que le
    réchauffement modifie les fonctionnements des deux, en diminuant
    considérablement leur capacité de stockage, voire en provoquant la libération de
    gaz stockés. Mais il n’est pas clair dans quelle mesure.

    Protocole de Kyoto
    La mobilisation internationale, en particulier autour des
    scientifiques du Giec, a interpellé les politiques qui ont mis en place un
    premier accord, l’
    UNFCC, puis un second qui en
    dépend, le
    protocole de Kyoto. Celui-ci fixe
    des objectifs de réduction des émissions pour les six principaux gaz à effet de
    serre d’ici 2012. Ces réductions ne concernent que certains pays développés, et
    pas les USA, qui ne l’ont pas ratifié. Cet accord reste toutefois modeste. Les
    objectifs de réduction sont insuffisants (-5,2% par rapport aux émissions de CO2
    de 1990) et certains pays ne les respectent même pas, comme le Canada, l’Espagne
    ou le Japon.

    Le protocole arrive bientôt à échéance et se pose la
    question de la période post-2012. Parmi les enjeux des négociations, il y a
    comment faire participer aux efforts les pays émergents - la Chine, qui n’est
    pour l’instant tenue à aucune limitation, est devenue le premier émetteur
    mondial de gaz à effet de serre, et comment faire rentrer les Etats-Unis dans le
    protocole.

    Source : http://www.goodplanet.info/goodplanet/index.php/fre/Energie-climat/Changement-climatique/Changement-climatique/(theme)/268
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    Message par bye Ven 19 Juin - 23:46

    L'ONU publie un indice d'exposition aux
    risques naturels





    Le 19 Juin 2009

    Les Chinois et les Indiens figurent parmi les
    populations les plus exposées dans le monde à un risque "extrême" de catastrophe
    naturelle, affirment les Nations unies dans un rapport publié cette
    semaine.


    L'organisation internationale cite également le
    Bangladesh, la Colombie, l'Indonésie et la Birmanie comme étant les autres pays
    où le risque de catastrophes meurtrières -séisme, cyclone, inondations et
    glissement de terrain-est le plus élevé.


    L'indice de l'ONU classe les pays en fonction d'une
    série de facteurs, dont la prévalence des catastrophes naturelles, l'existence
    d'infrastructures permettant d'y répondre et le niveau de préparation des Etats.
    Deux échelles sont utilisées : l'une classe les pays en prenant en compte le
    nombre absolu de morts qu'une catastrophe est susceptible de causer, alors que
    l'autre se fonde sur le taux de mortalité relatif.


    Le Bangladesh, la Chine, l'Inde et l'Indonésie ont un
    indice de dix sur dix, devant la Colombie et la Birmanie (neuf sur dix). Suivent
    parmi les pays les plus dangereux l'Afghanistan, le Guatemala, l'Iran, le
    Pakistan, le Pérou, les Philippines, la Roumanie et
    l'Ouzbékistan.


    Par rapport au nombre d'habitants, la Colombie, les
    Comores, la République dominicaine, le Guatemala, la Birmanie et le Vanuatu sont
    les pays les plus exposés. De nombreuses petites Îles, comme les Fidji, les îles
    Salomon, Timor Leste, Sao Tome présentent également des risques
    élevés.


    Les Etats-Unis sont exposés à tous les types de
    catastrophes naturelles, avec un indice moyen de six sur dix et de sept sur dix
    pour les séismes. Le Japon a un indice de sept.


    Par ailleurs, le Bangladesh, la Chine, l'Inde et
    l'Indonésie figurent dans la catégorie "extrême" quant au nombre moyen
    d'habitants exposés au risque de catastrophes naturelles. A l'inverse, certains
    Etats du Golfe arabo-persique font face à un risque très faible de décès par
    catastrophe naturelle. Le Danemark, l'Estonie, la Finlande et la Lettonie sont
    également parmi les "endroits les plus sûrs" au monde pour ce qui est du risque
    de catastrophe soudaine.


    Parmi les pays européens, l'Albanie et la Turquie
    sont les plus exposés avec un indice de sept sur dix, en raison d'un fort danger
    de tremblements de terre et de glissements de terrain à la fois. La Grèce et
    l'Italie présentent un risque de cinq sur dix. Les autres pays européens sont au
    même niveau que la Suisse ou plus sûrs.


    Source :http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2025.php
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    Message par bye Sam 8 Aoû - 19:13

    Ecologie : pour H. Reeves, nous sommes face au pire des scénariosC ette année, le thème du festival de musique de chambre Pablo Casals est "Cosmophonia" ce qui permet au scientifique que vous êtes de vous exprimer sur des sujets d'actualité ?
    Michel Lethiec, directeur du festival, aime ajouter des dimensions écologiques à la manifestation. J'ai déjà eu l'occasion de présenter des sujets qui tournent autour de l'astronomie et de l'écologie. C'est un peu ce que je vais refaire lors de la conférence en évoquant l'histoire de l'impact de l'Homme sur la planète avec tous les problèmes que nous connaissons.
    Galilée est l'invité de cette édition. Pourquoi ce choix ?
    C'est l'Année mondiale de l'astronomie car c'est le 400 e anniversaire du moment où Galilée a regardé pour la première fois dans le ciel avec des lunettes. Grâce à ses observations il a vraiment bouleversé la pensée humaine : c'était la confirmation du fait que la Terre n'est pas le centre du monde... Pour célé brer ce grand moment historique, Michel Lethiec a décidé de faire jouer ce soir (NDLR : hier soir) une oeuvre de son père, Vicenzo Galilei, qui était musicien. Il y aura aussi du Messiaen, "Appel interstellaire" , ensuite "Les échos" de Haydn : c'est un peu l'image des planètes habitées qui échangeraient des messages...

    On vient de fêter le 40 e anniversaire des premiers pas de l'homme sur la Lune. Est-ce vraiment important pour l'humanité ?

    Scientifiquement, modérément ; psychologiquement, énormément. L'idée que des êtres humains puissent marcher sur la Lune, c'était quelque chose que l'on avait de la difficulté à croire. Ça a l'air tellement lointain !

    Revenons sur Terre. Aujourd'hui vous êtes fortement préoccupé par l'avenir de notre planète : qu'est-ce qui vous inquiète le plus ?

    Il y a tellement de causes d'inquiétude. La plus spectaculaire c'est le réchauffement climatique. C'est le fait que les glaces des pôles et des glaciers fondent à des vitesses qui sont supérieures à tout ce que l'on avait prévu dans les années 2000. Il avait été envisagé le scénario le "plus pire" et le "moins pire" et la réalité est plus grave que le "plus pire". Alors que l'on pensait que les glaces au Pôle Nord disparaîtraient dans les années 2050, maintenant on pense que c'est en 2020. Ça se rapproche très, très vite. C'est vraiment inquiétant d'abord parce que ça amène une montée du niveau de la mer qui va faire des millions de réfugiés écologiques. Tous les gens qui vivent près du bord de l'eau, au Bangladesh ou dans des grandes villes comme New York, Shanghaï... seront touchés. Les tempêtes aussi sont de plus en plus violentes...
    Moins spectaculaire, il y a l'érosion de la biodiversité. C'est visible quand on voit disparaître les rhinocéros gris ; ce n'est pas visible quand on voit disparaître les vers de terre, et les vers de terre c'est toute la fertilisation des sols. La disparition des abeilles, c'est visible aussi et les abeilles, c'est toute la pollinisation. Alors que la population continue à augmenter, les ressources en nourriture sont en diminution. La quantité de terres arables diminue aussi. U n autre problème important, c'est l'usage des pesticides. J'ai des enfants et des petits-enfants et je suis très inquiet de savoir comment ils vont vivre en 2040-2050.

    Quelles vous paraissent être les priorités ?

    C'est d'abord diminuer les émissions de gaz carbonique. Il va y avoir en décembre une conférence à Copenhague où vont se prendre des décisions qui vont influencer l'humanité pour des siècles. On sait qu'il y a des progrès, on sait qu'il y a des prises de conscience. On a bien vu comment aux Etats-Unis le gouvernement Obama est prêt à envisager le problème, ce que n'envisageait même pas M. Bush. On a vu également que les Chinois sont conscients du problème. Le gouvernement français aussi avec le Grenelle de l'environnement. Un peu partout on voit des signes positifs. La question c'est : "Est-ce que c'est assez rapide ?" Par exemple, les Chinois disent : "On veut bien diminuer mais si les Américains diminuent plus que nous ? Car nous on est encore nouveaux dans le niveau de vie convenable, vous, vous êtes installés..." On sait qu'il faudrait diminuer de 60 à 70 % les émissions de CO2, ce qui veut dire qu'il faudra avoir un mode de vie très différent.

    Sommes-nous prêts à agir et qui doit agir, l'individu, le politique ?

    Entre dire "il faudrait faire ça", c'est une chose, et le faire, c'est une autre chose. On l'a vu avec le Grenelle de l'environnemen t, beaucoup de choses vont dans le bon sens. Je crois que le gouvernement a été très influencé par Nicolas Hulot qui a joué un rôle majeur. Il se fait des choses. Est-ce qu'il s'en fait assez ?
    Comment cela se passe-t-il dans les autres pays du monde ?L'Europe, ça va. L'Amérique s'y met. La Chine aussi. L'Inde, ça ne bouge pas beaucoup. Quant aux pays d'Afrique, ils ont d'autres préoccupations alors qu'ils seront les premiers à en souffrir.

    Alors que la situation écologique est inquiétante et doublée d'une crise économique, quel message allez-vous délivrer ?
    Un message alarmant mais pas alarmiste. Jean Monnet dans les années 1950, dans une période où personne ne croyait à l'Europe, disait "L'important ce n'est pas d'être optimiste ou pessimiste, c'est d'être déterminé". Déterminé à faire ce qu'on pense qu'il faut faire quoi qu'il arrive. On ne peut pas prévoir l'avenir. On ne peut qu'espérer.
    Recueilli par Colette Chiffre Conférence ce matin, à 11 h
    au cinéma Le Lido, à Prades.
    Entrée libre.

    Le Midi Libre.com
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    Message par bye Mar 11 Aoû - 19:39

    Le pays redoute une crise alimentaire






    • Kenya

      "Après le manque d'eau et d'électricité, le Kenya s'apprête à connaître une nouvelle pénurie", annonce le quotidien kenyanDaily Nation. Le journal souligne que "le gouvernement estime que plus de dix millions de personnes auraient besoin d'une aide alimentaire", sur une population de prés de 38 millions d'habitants. Une réunion gouvernementale est prévue ce mardi 11 août pour tenter d'éviter une famine dans le pays, rapporte le quotidien. Ils se pencheront sur un rapport réalisé par une commission spéciale dressant un portrait alarmant de la situation alimentaire du pays. Selon ce document, "la sécheresse est si sévère qu'elle a même remis en cause la sécurité alimentaire dans des régions normalement très productives. Pendant la saison des pluies - de mars à mai - le pays n'a connu que très peu de précipitations et certaines régions n'en ont même pas reçu du tout ".

      Courrier International
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    Message par Rabasse du sud Jeu 20 Aoû - 16:26

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    Message par bye Sam 27 Mar - 7:02

    A l'attention de : Commission européenne Secrétariat général B-1049 Bruxelles BELGIQUE


    Pétition européenne concernant l'interdiction du commerce de l'huile de palme en provenance des forêts tropicales dévastées pour la circonstance.

    Ou au sujet de l'obligation de la mention exacte du végétal d'où est extraite la graisse en question, ainsi que sa provenance.


    Nous savons depuis un certain temps que l'Huile de palme est utilisée dans de nombreux produits de consommation (biscuits, plats préparés, margarines, cosmétiques, savons etc. ) Elle a même envahi les rayons des supermarchés à l'insu des consommateurs.

    Pourquoi l'industrie alimentaire utilise-t-elle subitement massivement ce produit ?

    D'abord parce qu'il est moins cher et ensuite parce qu'il permet de fabriquer des aliments soit disant plus élaborés.

    L'industrie vante même les bienfaits de l'huile de palme, alors que toutes les études scientifiques indépendantes montrent qu'elle n'a sur la santé aucune des vertus indiquées.

    Bien au contraire. Il est un concentré d'acides gras saturés qui collent à la paroi des artères et finissent à la longue par les boucher.

    Ce n'est pas le cas des huiles végétales utilisées auparavant -tournesol, colza, maïs, soja...- qui contiennent des acides gras polyinsaturés dont le besoin est absolument vital pour l'organisme humain, puisqu'il n'en fabrique pas.

    Le plus grave est que cette huile provient du palmier à huile cultivé en Asie du Sud-Est et dont la production intensive provoque la destruction de la forêt tropicale de la région concernée qui, à ce rythme, disparaîtra en 2022, entraînant l'extinction des derniers peuples premiers qui y vivent, des Orang-Outangs et des gibbons.

    Mais, nous direz-vous, on les verra encore dans les zoos!

    Tout cela pour satisfaire les caprices des industriels des pays riches qui ne pensent qu'à s'engraisser au grand mépris des populations, des animaux et de l'ensemble de la biodiversité planétaire.

    Nous a-t-on demandé notre avis ? Non ! La grande majorité des consommateurs ne connait rien de cette géante politique de l'autruche.

    Si l'interdiction de cet ingrédient dans la communauté européenne est impossible pour des raisons sinistres, nous exigeons que la mention "Huile ou graisse de palme" -et son origine, puisque tous les palmiers ne poussent pas en pleine jungle!- soit lisiblement indiquées sur les produits en contenant, tout consommateur ayant le droit de savoir ce qu'il mange !

    Parallèlement, dans le cadre de la protection de la biodiversité, des animaux et des hommes vivant dans les régions concernées par ces cultures intensives, nous encourageons les citoyens des pays occidentaux à prendre leur responsabilité en faisant une grève générale de l'huile de palme.

    Par cette action, nous aurons fait un geste pour la planète, un geste qui ne demande pas beaucoup d'effort et qui permet de ne pas laisser à d'autres le soin de décider de notre avenir.

    Merci pour ce que vous ferez.

    L'équipe de Terre sacrée

    Cette pétition est en cours de traduction en anglais et en allemand.



    Lien vers le texte : http://terresacree.org/huiledepalme.html#palme





    Planète : SOS ? - Page 3 Orang36





    Merci de signer la nouvelle pétition de Terre sacrée à ce lien :

    http://www.mesopinions.com/Stop-a-l-huile-de-palme-qui-detruit-les-forets-tropicales-petition-petitions-6406bf314363593c3f5fdd1c8c1052a8.html

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