ACTUALITÉ SOCIÉTÉ ET POLITIQUE

une petite réponse à la r. du sud

merci grammo!

sans vouloir saturer le site pour ceux et celles qui voudrons lire en français traduit par votre serviteur un article sur la colombie

extrait:

"Les commentaires de membres du gouvernement de la Colombie, sur à une supposée " ; porte de dialogue" ; sont seulement de l'hypocrisie plus profonde."

http://www.periodistadigital.com/foros/viewtopic.php?p=281251

merci de vos commentaires

Dans ma vision ne peu pas avoir d'étonnement comment il y a dans les actes de l'ahurissement. Dans l'action au quotidien il n'y a pas d'effarement mais une volonté forte d'abâtardissement des peuples pauvres par l'enseignement de soumission imposé par les gouvernements. Le servilisme tant applaudit par les politiciens Terreau d'une démocratie tant immorale L'humanisme tant maudit par les politiciens Terreur d'une bourgeoisie dite immortelle. La souveraineté bafouée de la raison Est soudoyée par les médiats Oh combien loin ils sont du pressentiment Sans être une prophétie Des conséquences d'une telle action que des probabilités sans besoins d'être mathématicien. Manquer à la probité est détruire l'environnement Alors qu'en nom de la propriété Le sol nous saccageons Est-ce que je dois par mon silence! Au pire par mon indifférence! Autoriser sans brancher l'injustice? Est-ce que je dois m'armer de patience! Et de la meilleure condescendance! Qu'elle autorité ai-je, devant la justice?

extrait d'une intervention dans le forum du journal LE FIGARO le 20/04/2008 12:07:46

de votre serviteur GRAMOPHONE

Les manoeuvres de notre cher ( sic ) président parlent d'elles-mêmes. Il contente ses amis, son électorat et détruit petit à petit, les foyers de résistance dans l'audio-visuel, les journaux,..

Il n'est pas question pour un certain nombre de quidams de ne rien faire; sur ce forum, dans les rues, les lieux de travail les assos de soutien aux sans-papiers, la résistance est permanente.

Mais il faut convaincre de plus en plus de personnes que la situation est très grave, et que plus que jamais, laisser notre vie, notre destin, celui de nos enfants dans les mains d'un seul individu, est une pure hérésie, un anachronisme !
L'alternative consiste à s'occuper de nos affaires nous-mêmes, sans chef, sans président.Et c'est beaucoup plus compliqué qu'une simple diatribe lâchée sur un forum ( ce que je viens de faire ), mais en dehors de cette prise sur l'évènement, sur la réalité de la vie dans tous ses aspects, aucun espoir de réellement inverser le cours des évènements, à mon avis.

Il y a des liens sur des documents historiques dignes d'être connus


https://www.dailymotion.com/video/x15xwh_un-autre-monde-est-possiblekenyarka_news

Evolution de la société

L'évolution de la société suit des règles, et reste assujetti à des cycles si non pas exactes au moins dans le respect d'une suite qui regardé avec attention par des scientifiques redevienne mathématiquement fiable.

Charles Darwin (http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Darwin) donne à la science et en particulier à la biologie un essor sans précédents, justement là le mot évolution prend tout sa valeur.

En fait, sur la base de la théorie Darwinienne, nous pouvons construire des hypothèses strictement concises, où des faits de l'histoire de l'humanité, du présent sont des fondements indiscutables permettant d'élaborer une simulation très fiable de l'avenir des êtres humains.

L'harmonie et le mouvement cyclique

Si la sélection naturelle; sous la base de Darwin a permis avec une période de temps relativement longue, que les espèces de la terre arrivent à ce qu'elles sont de nous jours, cela suit un schéma logique, appliqué à l'évolution de la société, nous permet de vérifier si besoin est; l'existence d'empires ou systèmes de concentration du pouvoir tout au long de l'histoire de l'humanité.

Les empires ou systèmes de pouvoir, ont tous une constante: "comme les humains d'ailleurs" ils naissent, grandissent et périssent. L'actuel système capitaliste s'inscrit dans cette logique. En vu de l'histoire aucun empire n'aurait été eternel!

Les instruments de domination

La connaissance reste une autre constante dans les différents empires parsèmes dans différentes époques de l'humanité. Indéniable alors, admettre que la maitrise et le contrôle des sciences, reste l'un des outils majeur, dans d'autres termes l'ignorance et la domination de la conscience sociale par quelque moyen qui se soit est l'outil principal de la domination. D'autres outils non moins puissants font partie de l'arsenal global de gestion du pouvoir: les médiats, la gestion des mœurs (via des coutumes religieuses, de septes et d'associations plus ou moins déguisés), puis sans lieu à aucune doute; le comportement même des humains avec des tendances fanatiques en vers des expressions à vocation sportive mais porteuses du virus du fanatisme.

Petit sujet à la marge sur les passions

La pratique d'un sport reste indispensable à la santé de l'individu, certains individus en âge de pouvoir le pratiquer, sont adeptes et investissent du coup un budget conséquent. D'autres personnes pour des raisons qui ne font pas l'objet du présent texte; pratiquent un sport mais par procuration. Cela reste possible grâce aux nouvelles technologies, ainsi nous pouvons trouver parmi la population des fans des vedettes de différentes pratiques sportives soit à haut niveau soit encore dans des championnats nationaux ou même internationaux.

La pratique par procuration ⁽¹⁾ se transforme dans certains cas en passion fanatique qui dépasse le cadre de vie normal d'une personne. Cela concerne pour tant le sport, mais aussi la musique et par fois d'autres pratiques plus connues comme les collections: numismatique, philatélie, etc. Difficile pour tant de fixer un point limite entre la passion raisonnable et le fanatisme extrême. Par contre ces sujets là, ont besoin du temps pour s'adonner a leur passion, ainsi chaque fois que cela soit possible ils vont plonger dedans, de cette manière leur passion leurs permets une sorte d'évasion du monde réel au même titre que l'alcoolisme, le tabagisme ou d'autres produits narcotiques à usage courant et pour tant interdit. Qui développent en commun la dépendance, motif pour lequel le sujet risque de vivre isolé ou marginalisé de la société. Alors qu'une pratique régulière d'un sport ou la passion pour la collection de ceci ou cela reste chose banalisé.

Les instruments du pouvoir en liste:

La religion, Le fanatisme, La législation, Les forces de l'ordre, les médiats, l'éducation, etc.

La connaissance et la liberté

Il me semble pour tant juste de souligner, à la marge des idées dessus abordés, que l'organisme humain dans sa partie génétique nécessite une pratique sportive régulière. Cliniquement est prouvé que la pratique régulière d'un sport favorise l'hygiène de vie et l'équilibre de la masse musculaire ainsi que un fonctionnement optimal des systèmes respiratoire, cardiaque et de circulation. Le contraire, la sédentarisation, motivé par le confort prédétermine à une longue liste de maladies, une sclérose de l'organisme mais aussi de l'intellect.

La fatalité et la faute à pas de chance![/size]

[size=12]Je ne perds pas de vue la question Quelle société pour demain? Et le titre du post "sociologie et actualité", au contraire cela motive mon subconscient, car je crains que partie des quidams comme moi, se sentent désarmes face aux événements au quotidien.

La société, dispose des instruments percutants, je parle de l'ensemble de quidams maintenant, sans perdre de vue pour tant qu'en démocratie la société reste composé par extension pour tous (le gouvernement, les forces de l'ordre, la législation, les délinquants, les malades et les autres), Le droit d'association se trouve inscrit dans la législation, le droit à la grève semble être effacé, par des russes affutés de l'actuel gouvernement, puisque le service minimum, et les établissements éducatifs ouverts pendant la grève, sont des débuts de mise en place de politiques contre le droit de grève.

D'après l'idéologie d'Etienne de La boétien, et d'après les principes fondamentaux de la démocratie, nous pouvons dans un cadre légale et démocratique opérer des changements indispensables pour une autre société. Dans le respect strict des fondements même inscrits dans la Constitution. Qui reste à mon sens un document indispensable au fonctionnement moral et étique d'une société juste et donc équitable.

Nous sommes alors à des lieues d'une idée fataliste, mais surtout indifférente qui veut que les affaires de la société restent en mains d'une seule classe sociale. Qui se permets alors de légiférer non pas en faveur de plus grand nombre de citoyens mais à vocation de protection des intérêts d'une minorité. En se sens la démocratie telle qu'elle fonctionne est un outil du pouvoir, puisque grâce au phénomène d'abstention et au droit à des minorités de présenter leurs candidats, s'opère un filtre sociale qui permets à une classe politique de conserver le pouvoir.

L'inconvénient étant que le pouvoir ne réside pour tant en mains des politiques mais dans les mains des décideurs, grandes entreprises à taille mondiale, qui profite pour obtenir du profit aux dépenses de la majorité c'est-à-dire les petits consommateurs…

http://www.risal.collectifs.net/dist/vignettes/mp3.png


Un document audio; en mp3, en français sur le Bolivie, qui me semble digne de faire partager

Dans la suite du sujet central bien sur: sociologie et actualité.

Au fait un système ou empire donc, présente des signes ou de symptômes, de sa santé.

Je crois personnellement que par exemple la "théologie de la libération" est un symptôme, en autre l'arrivé au pouvoir de certains présidents en Amérique Latine et même en Europe.

Reste une erreur, croire que les idées socialistes sont dénudé de sens. Par contre j'ai la certitude au sein de la théorie Darwinienne, que la nécessité est un moteur majeur de l'évolution des peuples.

Curieusement en Amérique Latine nous avons des exemples de ce qui est les résultats de la nécessité de la population sur la même ligne de la conception d'Etienne de La Boètie.

Dans d'autres continents pour tant se trouvent des conditions de misère semblable à celle de l'Amérique Latine, sauf que la religion reste l'outil fondamental de cohésion de la conscience des peuples. Alors dans ce point particulière nous sommes dans l'obligation de donner un crédit ainsi soit indirect au travail courageux d'une partie des prêtes, sous forme philosophique exprimé dans la théorie de la libération.

La théologie de la libération ( Dom Helder Camarra par exemple ) a consisté en une stratégie d'une partie de l'Eglise catholique, s'appuyant sur des réalisations concrètes d'entraide, pour ne pas laisser les populations les plus défavorisées ( notamment Amérique du Sud ) aux mains des "rouges ".
En Europe, une version de cet engagement a vu le jour, par la prise en compte de l'exploitation des couches les plus opprimées, par les prêtres-ouvriers. Marc Sangnier et tout le courant du " Sillon " ont exprimé la nécessité de " porter plusieurs fers au feu : garder la parole et la porter par toute la hiérarchie écclésiastique et descendre au fonds de la cuve, dans le monde ouvrier, pour contrecarrer notamment l'influence des socialistes et communistes."
Né dans un milieu bourgeois parisien, il reçoit une éducation profondément chrétienne. Il est élève au collège Stanislas de 1879 à 1894. C'est un brillant élève, et décroche un prix de philosophie en 1891 au concours général. Bachelier, il réussit ensuite en 1895 le concours d'entrée à l'École polytechnique avant d'obtenir une licence en droit en 1898.

Encore jeune étudiant en 1894, il anime un journal philosophique, Le Sillon, journal du mouvement pour un christianisme démocratique et social, fondé par son ami Paul Renaudin. Il travaille à cette publication avec des camarades du Collège Stanislas de Paris, et en fait un lieu de réflexion politique, dans l'esprit du "Ralliement" des catholiques au régime républicain prôné par le pape Léon XIII et de son encyclique Rerum novarum.

Militant pour un catholicisme progressiste [modifier]

En 1899, Le Sillon devient l'organe d'un vaste mouvement d'éducation populaire qui réunit la jeunesse ouvrière et les fils de notables afin de réconcilier les classes laborieuses avec l'Église et la République. En s'appuyant sur les patronages catholiques, Sangnier crée en 1901 des Instituts Populaires qui donnent bientôt des cours et des conférences publiques. Lors du congrès national de 1905, près de mille cercles venus de la France entière sont ainsi représentés.

«Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n'est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n'est pas une œuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n'empêche pas qu'il soit aussi un mouvement profondément religieux.»

Cependant, le mouvement doit combattre l'opposition de l'extrême gauche marxiste qui parfois perturbe les réunions organisées par Le Sillon ou la presse de l'Action Française monarchiste qui l'attaque à partir de 1906 en raison de ses positions démocratiques et sa politique de ralliement. Charles Maurras entame alors une violente polémique avec Sangnier, publiant coup sur coup articles et pamphlets pour la défense d'un catholicisme traditionnel (débat stratégique car Maurras se dit lui-même agnostique, mais la plupart des sympathisants de l'Action française sont foncièrement antimodernistes).

Le vote en 1905 de la Loi de séparation des Églises et de l'État constitue un nouveau tournant qui va créer un conflit entre les idées libérales du Sillon et l'épiscopat français. En 1910, dans son encyclique Notre Charge Apostolique, le pape Pie X condamne les idées des sillonistes, la « fausse doctrine du Sillon » qui prône le nivellement des classes, la triple émancipation politique, économique et intellectuelle. Il déplore qu'un trop grand nombre de prêtres se fassent les apôtres de ces erreurs et les invite à se replacer désormais sous l'autorité du clergé. Marc Sangnier se soumet à la directive mais décide peu après d'abandonner l'action religieuse pour la politique. ( source Wikipédia )

J'ai eu la chance de connaître un de ces valeureux prêtres-ouvriers ( secrétaire du Comité d'entreprise Renault-Cléon, qui continuait à travailler à la chaîne d'assemblage ), militant CGT et homme d'exception.

Si la France se situe à un niveau élevé de confort, un nombre de personnes important n'en bénéficie aucunement.La disparité est totale, à tous niveaux: budget, salaire, logement, éducation, santé, vacances,..
Et c'est le lot de tous les pays " riches ". Aux USA, le nombre de démunis est également très élevé, avec un certain nombre de gens qui ne bénéficient d'aucune couverture sociale.
La Grande-Bretagne, après un redressement surtout économique ( la sécurité du travail, la couverture- maladie y sont très aléatoires), la situation s'inverse. Tout simplement que, dans une économie libérale, avec de fortes disparités socio-économiques, la situation peut être redressée ( par des mesures de blocage de salaires, de flexibilité du travail accrue ) mais le cycle ralentit à un moment donné: pressurer les salaires donne une marge aux entreprises, mais ensuite si la relance par l'augmentation des salaires ne s'opère pas, l'économie ralentit. Je tente d'expliquer une des contradictions du système, je n'y adhère nullement.
Face à celà, une société moins inégale, avec un tissu solidaire mieux consolidé est en meilleure position, pour épouser les aléas de la situation économique interne, et aussi internationale.
C'est un peu ce qui se passe dans les pays nordiques, même si dans certains de ceux-ci ( Danemark et Finlande, me semble-t-il ) un ralentissement proche de la récession est observé depuis quelques mois.

oui, Grammophone, tu es subversif; la subversion commence lorsque l'on commence à réfléchir.

Principe de base de l'économie de marché: socialisation des pertes, privatisation des bénéfices. On le constate encore hier, où 2 principales banque américaines, ont été renflouées par l'apport de deniers publics, à hauteur de 200 milliards de dollars.
De même, en GB, les chemins de fer notamment, pourtant privatisés sous l'ère Thatcher, ont été recapitalisés par l'Etat britannique voici quelques années, par suite de déficiences portant sur l'entretien et la maintenance.
En France, à la Libération, un grand plan de nationalisations de l'énergie, transports, la mise en place d'une couverture sociale avancée, a permis de reconstruire le pays.

Mais lorsque ces secteurs sont remis à flots, les dents des capitalistes s'aiguisent, d'une part: d'autre part, l'Etat veut se désengager en diminuant sa part de capital; EDF, Air-France, France Télécom,..Récemment, Sarkozy a déclaré que les chantiers de Saint-Nazaire recevraient des capitaux de l'Etat à hauteur de 7 %, pour maintenir une sécurité minimum aux Chantiers.

Mais il s'est opéré un virage important ces derniers temps: les Directives européennes ne garantissent plus la solidarité et la pérennité des services publics.
C'est justement le sommet de Barcelone et les Directives européennes qui ont accéléré la privatisation des services publics.
Au nom de la sacro-sainte concurrence, les Etats membres ( qui ont peu résisté ) ont été astreints à briser les monopoles de l'énergie, des transports ( bientôt des trains Air-France,..).
Le traité de Maastricht avait ouvert une brèche dans l'édifice; le pire a été évité par le rejet du Traité Constitutionnel, pour l'instant..

Quant aux organismes mondiaux, comme la Banque Mondiale, le FMI, ceux-ci ne concèdent des aides qu'en échange de privatisation des économies administrées, même dans les pays les plus pauvres de la planète.

Très juste, Grammophone.

Les constructeurs français ont accumulé un énorme retard en la matière.